Note de la fic :
Publié le 30/10/2013 à 03:54:58 par JustAGirl
-Je t'ai brisé ?
-Parfaitement, dit-il en prenant une gorgée de whisky.
À ce moment-là je me demandais si ce qu'il disait était dû au fait qu'il ai bu ou s'il le pensait vraiment. Jamais je ne l'avais vu comme ça, dans une colère si noire, même quand il me protégeait contre des mecs il l'était beaucoup moins.
-J'ai le droit de savoir comment ?
Soudain cette musique fût mise :
et Noé partit à toute vitesse en laissant couler une larme. Je savais pourquoi mais je me mise à crier.
-Noé ! Noé !! Reviens merde !
Il ne revint pas. Cela m'attristait de m'engueuler avec lui quelle que soit la raison, alors, comme à chaque dispute, je m'écroulais en pleure. Je me disais que je pourrais le rejoindre, pourquoi pas ? Peut-être qu'il me pardonnerait, pourquoi pas ? Peut-être qu'il me dirait pourquoi il me dit ça, pourquoi pas ? Pourquoi pas.... Cette phrase résonner dans ma tête "Pourquoi pas, pourquoi pas, pourquoi pas ?". C'était sa phrase, celle qu'il me disait quand tout allait mal.
Celle que je regretterai peut-être si je ne faisais rien, alors je me mis à courir après lui dans la nuit à 2h34 du matin.
Je fis plusieurs rues sans succès. Je cherchais dans tous les endroits où nous avions souvent parlé ensemble. Rien. Chez lui. Rien. Dans le parc où nous avions été. Rien. Devant chez ses potes. Rien. Je me remise à pleurer en pleine rue tandis que la pluie se mise à tomber à grosse goûtes.
Un homme d'une soixantaine d'années passa par là au même moment et me releva avec une douceur déconcertante et me dit :
-Ma petite, je ne sais pas ce que tu fais là mais rester sous cette pluie sans rien pour te couvrir te fera attraper froid.
Je ne saisis pas de suite les mots du vieil homme, encore dans mes pensées.
-Hé oh ! Y'a quelqu'un ?
-Oui oui. Lâcher moi, j'ai besoin d'être seule.
-Oh non ma petite je ne te lâche pas, être seule dehors à cette heure sous cette plus à ton âge c'est bizarre.
Je ne l'écoutais pas je pleurais juste. Je pensais à Noé. Je me disais qu'il n'allait peut-être jamais me reparler, pourquoi pas ? Qu'il ne reviendrait peut-être jamais, pourquoi pas ? Qu'il ferait peut-être une connerie à cause de moi comme il me l'avait toujours dit, pourquoi pas ?
Soudain en pensant cette phrase je me relevai brusquement puis partit en courant devant chez moi laissant le vieil homme seul derrière moi.
-Parfaitement, dit-il en prenant une gorgée de whisky.
À ce moment-là je me demandais si ce qu'il disait était dû au fait qu'il ai bu ou s'il le pensait vraiment. Jamais je ne l'avais vu comme ça, dans une colère si noire, même quand il me protégeait contre des mecs il l'était beaucoup moins.
-J'ai le droit de savoir comment ?
Soudain cette musique fût mise :
et Noé partit à toute vitesse en laissant couler une larme. Je savais pourquoi mais je me mise à crier.
-Noé ! Noé !! Reviens merde !
Il ne revint pas. Cela m'attristait de m'engueuler avec lui quelle que soit la raison, alors, comme à chaque dispute, je m'écroulais en pleure. Je me disais que je pourrais le rejoindre, pourquoi pas ? Peut-être qu'il me pardonnerait, pourquoi pas ? Peut-être qu'il me dirait pourquoi il me dit ça, pourquoi pas ? Pourquoi pas.... Cette phrase résonner dans ma tête "Pourquoi pas, pourquoi pas, pourquoi pas ?". C'était sa phrase, celle qu'il me disait quand tout allait mal.
Celle que je regretterai peut-être si je ne faisais rien, alors je me mis à courir après lui dans la nuit à 2h34 du matin.
Je fis plusieurs rues sans succès. Je cherchais dans tous les endroits où nous avions souvent parlé ensemble. Rien. Chez lui. Rien. Dans le parc où nous avions été. Rien. Devant chez ses potes. Rien. Je me remise à pleurer en pleine rue tandis que la pluie se mise à tomber à grosse goûtes.
Un homme d'une soixantaine d'années passa par là au même moment et me releva avec une douceur déconcertante et me dit :
-Ma petite, je ne sais pas ce que tu fais là mais rester sous cette pluie sans rien pour te couvrir te fera attraper froid.
Je ne saisis pas de suite les mots du vieil homme, encore dans mes pensées.
-Hé oh ! Y'a quelqu'un ?
-Oui oui. Lâcher moi, j'ai besoin d'être seule.
-Oh non ma petite je ne te lâche pas, être seule dehors à cette heure sous cette plus à ton âge c'est bizarre.
Je ne l'écoutais pas je pleurais juste. Je pensais à Noé. Je me disais qu'il n'allait peut-être jamais me reparler, pourquoi pas ? Qu'il ne reviendrait peut-être jamais, pourquoi pas ? Qu'il ferait peut-être une connerie à cause de moi comme il me l'avait toujours dit, pourquoi pas ?
Soudain en pensant cette phrase je me relevai brusquement puis partit en courant devant chez moi laissant le vieil homme seul derrière moi.