Note de la fic : Non notée
Publié le 17/10/2013 à 23:12:22 par DAURS
_ C’est pour quoi ?
_ Un meurtre, 60 rue Jean Jaurès.
_OK j’arrive.
Voilà ce que Pierre entendait toute la journée. Des meurtres oui, mais sans preuve, sans empreinte. Donc pas de piste. Encore un. Pierre travaillait dans la police depuis longtemps, près de 15 ans et depuis quelques temps, que des meurtres sans solution. Bientôt, il arrivait devant le lieu du crime. Une petite maison coquète, entourée d’un jardin ou fleurissaient quelques tulipes. Il pensa alors a sa femme qui voudrait certainement la même ou pourrait s’épanouir leur fils Théo. Il savait surtout qu’avec son petit salaire de policier il ne pouvait se payer que son minable 2 pièce. Le commissaire l’attendait. Il y avait à son coté, une femme d’un certain âge, éplorée. Celle-ci, comme l’expliqua le commissaire, était la mère de la victime. Elle venait rendre visite à sa fille quand elle a été assommée. Pierre entra dans la maison. Dans la cuisine un corps gisait sur le carrelage, elle devait avoir 30 ans. Même si il savait que cela ne servirait à rien, Pierre prit tout de même le temps d’interroger la mère de la victime. Il allait faire une enquête de voisinage, sans espoir… C’était l’une des nombreuses victimes dont le meurtre ne serait jamais résolu. Il ne voulait pas rentrer chez lui tout de suite. Premier jour de la semaine que déjà un autre meurtre semblable venait d’être commis. Pierre n’avait pas le moral, pourtant il aimait son travail, résoudre les énigmes.
_ Un meurtre, 60 rue Jean Jaurès.
_OK j’arrive.
Voilà ce que Pierre entendait toute la journée. Des meurtres oui, mais sans preuve, sans empreinte. Donc pas de piste. Encore un. Pierre travaillait dans la police depuis longtemps, près de 15 ans et depuis quelques temps, que des meurtres sans solution. Bientôt, il arrivait devant le lieu du crime. Une petite maison coquète, entourée d’un jardin ou fleurissaient quelques tulipes. Il pensa alors a sa femme qui voudrait certainement la même ou pourrait s’épanouir leur fils Théo. Il savait surtout qu’avec son petit salaire de policier il ne pouvait se payer que son minable 2 pièce. Le commissaire l’attendait. Il y avait à son coté, une femme d’un certain âge, éplorée. Celle-ci, comme l’expliqua le commissaire, était la mère de la victime. Elle venait rendre visite à sa fille quand elle a été assommée. Pierre entra dans la maison. Dans la cuisine un corps gisait sur le carrelage, elle devait avoir 30 ans. Même si il savait que cela ne servirait à rien, Pierre prit tout de même le temps d’interroger la mère de la victime. Il allait faire une enquête de voisinage, sans espoir… C’était l’une des nombreuses victimes dont le meurtre ne serait jamais résolu. Il ne voulait pas rentrer chez lui tout de suite. Premier jour de la semaine que déjà un autre meurtre semblable venait d’être commis. Pierre n’avait pas le moral, pourtant il aimait son travail, résoudre les énigmes.