Note de la fic :
Noelfic : Dawn of war
Par : Nirvana, Snake-suicide
Genre : No-Fake
Statut : C'est compliqué
Chapitre 17 : IL ET MAUDIT
Publié le 15/09/2013 à 17:50:53 par Snake-suicide
Aller savoir pourquoi mais dans ma notation, on était rendu au chapitre 13 et en fait, pas du tout donc à la base, il devait y avoir une blague avec Chapitre 13 et le katana maudait mais là, ça foire un peu mais c'est pas grave, faites comme si c'était le chapitre 13
Alors comme ça, il faut écrire la suite de cette merde, hein ? Et en plus, il faut faire rire les béotiens qui lisent ? Très bien, je vais dépoussiérer la chose et la reprendre en main comme un si c'était un sexe turgescent !
Résumé de l'épisode précédent :
Greenstatik : Prout.
Fin du résumé de l'épisode précédent.
* Musique de Hans Zimmer *
Le groupe fonçait comme des damnés pour fuir la prison. Comment un simple pet pouvait créer une telle émeute ? Je n'en sais rien, il faudrait demander à Bachar El Assad.
JeanJean, euh Greenstatik : Ce pet n'était absolument pas écologique !
L'alarme retentissait dans les couloirs agencés comme un labyrinthe, les hurlements de terreurs et de fureurs se mêlaient aux cris de désespoir des gardiens qui se faisait sodomisé, si je puis me permettre, et croyez bien que je le peux, je qualifierais cela de vulgaire enculade. Le groupe arriva devant une étrange porte, elle était massive et protégée par de multiples verrous magnétiques et lecteur de carte de couleurs différentes
Nirvana : On dirait bien qu'il va falloir trouver le laisser A 38...
Khamsou : Ainsi que des cartes de différentes couleurs !
Dubmood : Nous n'allons pas sauver Sal' ?
Snake-suicide : Bonne idée, y a peut-être des mines, des chiens et... des fusils d'assauts !
CrazyMarty : Il est vrai que ce freluquet me paraît fort pleutre mais il n'en reste pas un moins un éminent membre de notre confrérie !
Sipro : Oh putain, les relous much quoi !
Le groupe se tourna vers le nouvel interlocuteur
Sipro : Y avait de la lumière, je suis entré.
Nirvana : Oh, d'accord !
La discussion reprit normalement
Snake-suicide Bon, allons faire une mission suicide pour le sauver !
Nirvana : Bon, ok, ok, approchez-vous, je vais vous raconter l'histoire... de Petit Jean...
Greenstatik : En fait, un plan serait plus utile...
Nirvana : Très bien, alors, approchez-vous... Je vais vous raconter l'histoire... du Petit Plan...
Salmanzare était toujours nu, il lui manquait désormais un morceau de sa « personnalité », son chibre.
Sal' : Ma bite, vous m'avez coupé la bite !
Pedro : J'en fais quoi du saucisson là ?
Lucille : Foutez ça dans un couscous royal et envoyez le tout chez Arbu, ils adorent se faire une soirée couscous le vendredi !
Le petit monde de Salmanzare venait de s'effondrer, il pourrait toujours draguer des midinettes mais il ne pourrait plus les envoyer au 7ème ciel, adieu aussi les plaisirs de la bifle matinale.
Sal' : Je ferais remplacer mon sexe par une bite sulfateuse et je te jure que je te plomberais le cul avec !
Lucille : Non, tu vois, je vais devoir te garder un petit moment ici pour te torturer, car on est en concurrence avec Game of Thrones, ils piquent toutes nos idées, les salauds !
Sal' : Mais je m'en bats les couilles !
Lucille : T'inquiète pas, je reprends les droits de propriété sur ça aussi !
Sal' : Mais pourquoi ?
Lucille : J'ai toujours rêvé de me faire greffer des couilles sous les bras.
Sal' : Sous... Les bras ?
Lucille : Oui, je trouve ça rigolo !
Sal' : Ah bah oui, putain, qu'est-ce qu'on rigole !
La porte du bureau explosa avec fracas, le Groupe entra avec sans pertes, ce qui est plutôt pas mal.
Nirvana : Nous sommes armés de couteau en plastique et nous sommes dangereux !
Lucille : PERSONNE NE PRENDRA SAL ! PERSONNE !
Elle dégaina son Magnum et tira deux balles dans la poitrine de Sal'
Sal' : ROSEBUD !
Elle se tira ensuite une balle dans la tête. Son cerveau explosa en dehors de boîte crânienne, le liquide céphalo-rachidien mélangé au sang avait désormais repeint la pièce.
Nirvana lâcha un hurlement de désespoir et tomba à genou, Suicide-snake aussi, non pas qu'il en avait quelque chose à foutre mais il était toujours menotté à Nirvana. CrazyMarty se précipita vers le corps de Sal' pour le prendre dans ses bras
CrazyMarty : Salmanzare... T'es entrain de mourir...
Sal' : Oh... Merci... J'avais pas remarqué...
Greenstatik : Ne t'en fais pas, Sal', ton corps sera composté selon les rituels écologistes.
Sal' : Oh, euh génial...
C'est ainsi que Salmanzare s'éteignit dans les bras de CrazyMarty qui leva la tête vers le plafond et hurla de sa voix mi-robot mi-poney
CrazyMarty : CAAAAAAAAAAAANNE !
Dubmood : Bon, les méchants arrivent, on doit partir !
Sipro récupéra le Magnum ainsi que le brassard nazi
Sipro : Bon sang... Elle était fan de Adolf Butler... Le frère de Gérard...
Le groupe fit donc marche arrière mais au détour d'un couloir, les méchants attendaient et le pauvre Dubmood, qui ouvrait la marche, fut plombé assez méchamment et s'effondra dans les bras de Khamsou qui hurla de désespoir
Khamsou : Mon amour de Bieber, non !
Snake-suicide : Bon sang, c'est comme si quelqu'un essayait de se débarrasser des anciens personnages !
Sipro se plaqua contre le mur et commença à tirer sur les vilains
Sipro : tkt ! On est dans une fic, j'ai munition illimitée !
Le click click caractéristique d'une arme vide se fit entendre
Sipro : Ok, je me suis trompé mais on s'en fout !
C'est alors que Khamsou commença à entamer le refrain de « Baby » de Justin Bieber, il se releva lentement
Greenstatik : Khamsou, non !
Mais c'était trop tard, le jeune freluquet fonça vers les méchants en chantant de plus en plus fort, les balles traversaient son corps mais ils continuaient de courir jusqu'à atteindre l'un des nazis, il chopa la goupille d'une grenade qui se trouvait à la ceinture de l'un deux. L'explosion fit voler des morceaux de chair dans tout le couloir.
Snake-suicide : Ca me rappelle une histoire de marsouin...
Nirvana : On s'en fout, pas de temps à perdre !
Le Groupe reprit donc leur course folle jusqu'à atteindre la porte massivement sécurisée
Nirvana : On ne passera jamais !
Snake-suicide : Oh bah mince, on va mourir !
Sipro s'approcha de l'un des lecteurs de carte pour y mettre le brassard nazi, la porte s'ouvra alors lentement mais sûrement.
Sipro : Je savais bien que personne ne se ferait chier à utiliser un système aussi chiant !
À l'intérieur de la pièce se trouvait une sorte de cabine téléphonique bleu montée à l'envers
Nirvana : C'est... C'est le DISTARD !
Snake-suicide : Oui ! C'est le TARDIS mais pour les tards !
La porte du DISTARD s'ouvra d'elle-même et le groupe s'engouffra dedans alors que les vilains nazis roux arrivaient en force. Sipro appuya sur les boutons
Sipro : Tkt les keums ! Je sais comment ça marche, je vais directement nous renvoyer lors du meurtre de MotherFakeur !
Nirvana et Snake-suicide entamèrent le générique de Dr Who à la bouche.
La machine émit plusieurs sons assez particuliers, notamment des prouts, ce qui fit bien rire Greenstatik. Lorsque le DISTARD entama enfin sa course à travers l'espace et le temps, de violentes secousses projetèrent le groupe dans différents endroits de la pièce principale. Lorsque l'objet se posa enfin, tout le monde retomba lourdement sur le sol. CrazyMarty se précipita vers la sortie
CrazyMarty : Oh... Voilà qui est fort intéressant...
Le reste du groupe s'approcha pour découvrir le lieu d'atterrissage qui était un hammam naturiste. Il y avait pas mal de monde, des filles et des garçons, plutôt jeunes.
Nirvana : Oh bordel...
Il leva un peu les yeux pour découvrir le nom du hammam : Noelfic XVI : Noir et Blanc.
Alors comme ça, il faut écrire la suite de cette merde, hein ? Et en plus, il faut faire rire les béotiens qui lisent ? Très bien, je vais dépoussiérer la chose et la reprendre en main comme un si c'était un sexe turgescent !
Résumé de l'épisode précédent :
Greenstatik : Prout.
Fin du résumé de l'épisode précédent.
* Musique de Hans Zimmer *
Le groupe fonçait comme des damnés pour fuir la prison. Comment un simple pet pouvait créer une telle émeute ? Je n'en sais rien, il faudrait demander à Bachar El Assad.
JeanJean, euh Greenstatik : Ce pet n'était absolument pas écologique !
L'alarme retentissait dans les couloirs agencés comme un labyrinthe, les hurlements de terreurs et de fureurs se mêlaient aux cris de désespoir des gardiens qui se faisait sodomisé, si je puis me permettre, et croyez bien que je le peux, je qualifierais cela de vulgaire enculade. Le groupe arriva devant une étrange porte, elle était massive et protégée par de multiples verrous magnétiques et lecteur de carte de couleurs différentes
Nirvana : On dirait bien qu'il va falloir trouver le laisser A 38...
Khamsou : Ainsi que des cartes de différentes couleurs !
Dubmood : Nous n'allons pas sauver Sal' ?
Snake-suicide : Bonne idée, y a peut-être des mines, des chiens et... des fusils d'assauts !
CrazyMarty : Il est vrai que ce freluquet me paraît fort pleutre mais il n'en reste pas un moins un éminent membre de notre confrérie !
Sipro : Oh putain, les relous much quoi !
Le groupe se tourna vers le nouvel interlocuteur
Sipro : Y avait de la lumière, je suis entré.
Nirvana : Oh, d'accord !
La discussion reprit normalement
Snake-suicide Bon, allons faire une mission suicide pour le sauver !
Nirvana : Bon, ok, ok, approchez-vous, je vais vous raconter l'histoire... de Petit Jean...
Greenstatik : En fait, un plan serait plus utile...
Nirvana : Très bien, alors, approchez-vous... Je vais vous raconter l'histoire... du Petit Plan...
Salmanzare était toujours nu, il lui manquait désormais un morceau de sa « personnalité », son chibre.
Sal' : Ma bite, vous m'avez coupé la bite !
Pedro : J'en fais quoi du saucisson là ?
Lucille : Foutez ça dans un couscous royal et envoyez le tout chez Arbu, ils adorent se faire une soirée couscous le vendredi !
Le petit monde de Salmanzare venait de s'effondrer, il pourrait toujours draguer des midinettes mais il ne pourrait plus les envoyer au 7ème ciel, adieu aussi les plaisirs de la bifle matinale.
Sal' : Je ferais remplacer mon sexe par une bite sulfateuse et je te jure que je te plomberais le cul avec !
Lucille : Non, tu vois, je vais devoir te garder un petit moment ici pour te torturer, car on est en concurrence avec Game of Thrones, ils piquent toutes nos idées, les salauds !
Sal' : Mais je m'en bats les couilles !
Lucille : T'inquiète pas, je reprends les droits de propriété sur ça aussi !
Sal' : Mais pourquoi ?
Lucille : J'ai toujours rêvé de me faire greffer des couilles sous les bras.
Sal' : Sous... Les bras ?
Lucille : Oui, je trouve ça rigolo !
Sal' : Ah bah oui, putain, qu'est-ce qu'on rigole !
La porte du bureau explosa avec fracas, le Groupe entra avec sans pertes, ce qui est plutôt pas mal.
Nirvana : Nous sommes armés de couteau en plastique et nous sommes dangereux !
Lucille : PERSONNE NE PRENDRA SAL ! PERSONNE !
Elle dégaina son Magnum et tira deux balles dans la poitrine de Sal'
Sal' : ROSEBUD !
Elle se tira ensuite une balle dans la tête. Son cerveau explosa en dehors de boîte crânienne, le liquide céphalo-rachidien mélangé au sang avait désormais repeint la pièce.
Nirvana lâcha un hurlement de désespoir et tomba à genou, Suicide-snake aussi, non pas qu'il en avait quelque chose à foutre mais il était toujours menotté à Nirvana. CrazyMarty se précipita vers le corps de Sal' pour le prendre dans ses bras
CrazyMarty : Salmanzare... T'es entrain de mourir...
Sal' : Oh... Merci... J'avais pas remarqué...
Greenstatik : Ne t'en fais pas, Sal', ton corps sera composté selon les rituels écologistes.
Sal' : Oh, euh génial...
C'est ainsi que Salmanzare s'éteignit dans les bras de CrazyMarty qui leva la tête vers le plafond et hurla de sa voix mi-robot mi-poney
CrazyMarty : CAAAAAAAAAAAANNE !
Dubmood : Bon, les méchants arrivent, on doit partir !
Sipro récupéra le Magnum ainsi que le brassard nazi
Sipro : Bon sang... Elle était fan de Adolf Butler... Le frère de Gérard...
Le groupe fit donc marche arrière mais au détour d'un couloir, les méchants attendaient et le pauvre Dubmood, qui ouvrait la marche, fut plombé assez méchamment et s'effondra dans les bras de Khamsou qui hurla de désespoir
Khamsou : Mon amour de Bieber, non !
Snake-suicide : Bon sang, c'est comme si quelqu'un essayait de se débarrasser des anciens personnages !
Sipro se plaqua contre le mur et commença à tirer sur les vilains
Sipro : tkt ! On est dans une fic, j'ai munition illimitée !
Le click click caractéristique d'une arme vide se fit entendre
Sipro : Ok, je me suis trompé mais on s'en fout !
C'est alors que Khamsou commença à entamer le refrain de « Baby » de Justin Bieber, il se releva lentement
Greenstatik : Khamsou, non !
Mais c'était trop tard, le jeune freluquet fonça vers les méchants en chantant de plus en plus fort, les balles traversaient son corps mais ils continuaient de courir jusqu'à atteindre l'un des nazis, il chopa la goupille d'une grenade qui se trouvait à la ceinture de l'un deux. L'explosion fit voler des morceaux de chair dans tout le couloir.
Snake-suicide : Ca me rappelle une histoire de marsouin...
Nirvana : On s'en fout, pas de temps à perdre !
Le Groupe reprit donc leur course folle jusqu'à atteindre la porte massivement sécurisée
Nirvana : On ne passera jamais !
Snake-suicide : Oh bah mince, on va mourir !
Sipro s'approcha de l'un des lecteurs de carte pour y mettre le brassard nazi, la porte s'ouvra alors lentement mais sûrement.
Sipro : Je savais bien que personne ne se ferait chier à utiliser un système aussi chiant !
À l'intérieur de la pièce se trouvait une sorte de cabine téléphonique bleu montée à l'envers
Nirvana : C'est... C'est le DISTARD !
Snake-suicide : Oui ! C'est le TARDIS mais pour les tards !
La porte du DISTARD s'ouvra d'elle-même et le groupe s'engouffra dedans alors que les vilains nazis roux arrivaient en force. Sipro appuya sur les boutons
Sipro : Tkt les keums ! Je sais comment ça marche, je vais directement nous renvoyer lors du meurtre de MotherFakeur !
Nirvana et Snake-suicide entamèrent le générique de Dr Who à la bouche.
La machine émit plusieurs sons assez particuliers, notamment des prouts, ce qui fit bien rire Greenstatik. Lorsque le DISTARD entama enfin sa course à travers l'espace et le temps, de violentes secousses projetèrent le groupe dans différents endroits de la pièce principale. Lorsque l'objet se posa enfin, tout le monde retomba lourdement sur le sol. CrazyMarty se précipita vers la sortie
CrazyMarty : Oh... Voilà qui est fort intéressant...
Le reste du groupe s'approcha pour découvrir le lieu d'atterrissage qui était un hammam naturiste. Il y avait pas mal de monde, des filles et des garçons, plutôt jeunes.
Nirvana : Oh bordel...
Il leva un peu les yeux pour découvrir le nom du hammam : Noelfic XVI : Noir et Blanc.