Note de la fic :
Publié le 19/08/2013 à 14:50:16 par Magikz
Je commençais à la pénétrer doucement. Nous fîmes une dizaine de vas et viens de plus en plus rapides. Ses pieds passèrent derrière moi, et se contractèrent contre mes fesses. Ils me donnèrent une impulsion, et m'encouragèrent à accélérer la cadence. Mais j'avais de plus en plus de mal à retenir mon envie d'éjaculer. Je faisais mon possible pour prolonger ce délicieux moment. C'était plus facile à dire qu'à faire.
Je ralentis progressivement, puis sortis mon Z de son V. J'avais besoin d'un temps mort. Je voulais absolument prolonger ce moment avec elle. Nos regards se croisèrent. Aucun mot ne fut nécessaire pour qu'elle comprenne.
- T'en fais pas, j'ai tout prévu.
Elle se releva, et me fit basculer sur le dos. Elle s'allongea sur moi et m'embrassa longuement, tout en évitant de trop stimuler mon Z. Elle recula, posa ses mains sur mes genoux, puis présenta son V à ma bouche. Elle m'incita à la B+V, ce que je fis. Cela dura plusieurs minutes. Elle gémissait de plus en plus fort lorsque elle se retira subitement. Elle se pencha sur le côté pour ramasser quelque chose par terre...
Elle me présenta une culotte en dentelle noire, celle qu'elle avait portée aujourd'hui je suppose. Elle s'assis à nouveau à califourchon sur moi, et dans un regard plein de malice, me murmura :
- Ouvres la bouche.
Je le fis sans discuter. Elle y glissa sa culotte puis me referma la bouche. C'est alors qu'elle se pencha vers mon oreille, puis me glissa d'un air coquin :
- Je ne voudrais pas que tu ameutes tout l'immeuble lorsque tu vas jouir.
Elle recula jusqu'à être assise sur mon bassin, précédant légèrement mon Z qui était toujours en érection. Elle me lécha lentement la joue, puis posa ses mains sur mon torse pour prendre appui. C'est alors qu'elle saisit mon Z avec sa main droite, le rentra dans son V et commença les vas et viens.
C'était jouissif ! Je n'avais rien à faire, si ce n'est la regarder rebondir contre moi. Elle me chevauchait dans un rythme effréné. Ses seins étaient fermes mais rebondissaient un peu. Je les attrapais, comme pour me cramponner à elle. L'ajout de l'huile était appréciable. Mes mains glissaient plus facilement sur ses formes. Je jouais avec ses tétons quand elle accéléra soudainement ses vas et viens. Je commençais à lâcher quelques gémissements. Ma respiration s'accéléra. Je sentais que je n'allais plus tarder à tout lâcher.
Mon Z était contracté à son maximum, j'en avais presque mal. Sandra lâcha un petit cri, et donna deux coups de bassin un peu plus prononcés que les autres. C'en était trop pour moi.
J'exprimai mon plaisir en plusieurs cris bestiaux que sa culotte couva plutôt bien. Impossible de se retirer à temps, je libérais ma semence en elle. Heureusement que nous nous étions protégés avec la capote. Un sentiment de plaisir immense m'envahit alors. J'étais en extase, mais également épuisé.
Ce Z+V m'avait demandé beaucoup d'effort pour ne pas lâcher la sauce au bout de quelques secondes. Au final, l'acte n'avait pas duré plus d'une dizaine de minutes.
Sandra prit mon Z, le retira délicatement de son V, se masturba un peu, puis s'allongea à mes côtés. Plusieurs minutes s'écoulèrent durant lesquelles nous reprîmes notre souffle. Elle me regarda et éclata de rire :
- Elle a bon goût ma culotte ?
J'étais tellement submergé par mes émotions que j'en avais oublié sa culotte ! Je la recrachais puis lui tendis, en lui glissant :
- Tu n'as pas idée à quel point...
Elle pouffa, puis m'embrassa sur la joue.
- Bon... On recommence ?
Je ralentis progressivement, puis sortis mon Z de son V. J'avais besoin d'un temps mort. Je voulais absolument prolonger ce moment avec elle. Nos regards se croisèrent. Aucun mot ne fut nécessaire pour qu'elle comprenne.
- T'en fais pas, j'ai tout prévu.
Elle se releva, et me fit basculer sur le dos. Elle s'allongea sur moi et m'embrassa longuement, tout en évitant de trop stimuler mon Z. Elle recula, posa ses mains sur mes genoux, puis présenta son V à ma bouche. Elle m'incita à la B+V, ce que je fis. Cela dura plusieurs minutes. Elle gémissait de plus en plus fort lorsque elle se retira subitement. Elle se pencha sur le côté pour ramasser quelque chose par terre...
Elle me présenta une culotte en dentelle noire, celle qu'elle avait portée aujourd'hui je suppose. Elle s'assis à nouveau à califourchon sur moi, et dans un regard plein de malice, me murmura :
- Ouvres la bouche.
Je le fis sans discuter. Elle y glissa sa culotte puis me referma la bouche. C'est alors qu'elle se pencha vers mon oreille, puis me glissa d'un air coquin :
- Je ne voudrais pas que tu ameutes tout l'immeuble lorsque tu vas jouir.
Elle recula jusqu'à être assise sur mon bassin, précédant légèrement mon Z qui était toujours en érection. Elle me lécha lentement la joue, puis posa ses mains sur mon torse pour prendre appui. C'est alors qu'elle saisit mon Z avec sa main droite, le rentra dans son V et commença les vas et viens.
C'était jouissif ! Je n'avais rien à faire, si ce n'est la regarder rebondir contre moi. Elle me chevauchait dans un rythme effréné. Ses seins étaient fermes mais rebondissaient un peu. Je les attrapais, comme pour me cramponner à elle. L'ajout de l'huile était appréciable. Mes mains glissaient plus facilement sur ses formes. Je jouais avec ses tétons quand elle accéléra soudainement ses vas et viens. Je commençais à lâcher quelques gémissements. Ma respiration s'accéléra. Je sentais que je n'allais plus tarder à tout lâcher.
Mon Z était contracté à son maximum, j'en avais presque mal. Sandra lâcha un petit cri, et donna deux coups de bassin un peu plus prononcés que les autres. C'en était trop pour moi.
J'exprimai mon plaisir en plusieurs cris bestiaux que sa culotte couva plutôt bien. Impossible de se retirer à temps, je libérais ma semence en elle. Heureusement que nous nous étions protégés avec la capote. Un sentiment de plaisir immense m'envahit alors. J'étais en extase, mais également épuisé.
Ce Z+V m'avait demandé beaucoup d'effort pour ne pas lâcher la sauce au bout de quelques secondes. Au final, l'acte n'avait pas duré plus d'une dizaine de minutes.
Sandra prit mon Z, le retira délicatement de son V, se masturba un peu, puis s'allongea à mes côtés. Plusieurs minutes s'écoulèrent durant lesquelles nous reprîmes notre souffle. Elle me regarda et éclata de rire :
- Elle a bon goût ma culotte ?
J'étais tellement submergé par mes émotions que j'en avais oublié sa culotte ! Je la recrachais puis lui tendis, en lui glissant :
- Tu n'as pas idée à quel point...
Elle pouffa, puis m'embrassa sur la joue.
- Bon... On recommence ?