Note de la fic :
La fille de la nouvelle voisine
Par : LePatriarche
Genre : Sentimental, Réaliste
Statut : Terminée
Chapitre 8 : Deja des soupçons
Publié le 24/08/2013 à 17:04:31 par LePatriarche
Maman : Alors dans la cuisine, c'était comment ?
Moi : Il ne sait rien passer, je sais à quoi tu penses, mais c'est pas ce qu'il s'est reellement passée ?
Maman : Ce qui s'est reellement passée ? Allez dit moi, je veux entendre.
Nous sommes allés nous asseoir sur le canapé dans le salon,j'ai raconté ce moment à ma mère, qui n'a pas pu s'empeché de rigoler à la fin de mon histoire.
Maman : Un test Tu sais ce que ça veut dire ?
Moi : Euuh...non
Maman : Elle veut d'abord te connaitre, elle veut donc te revoir, et après, si le courant passe bien...
Moi : On sera forcément amenés à nous revoir, elle habite juste à coté Et puis, je la sens pas trop, elle est louche, elle cache un truc...
Maman : Comment peux-tu dire ça ? C'est le premier jour où elle te voit. Ca ne te ressemble pas
Moi : Mmm... Je pense que je vais aller dormir. Après cette journée, je pense m'endormir vite fait.
Maman: D'accord à demain Enzo !
Moi : Bonne nuit.
En montant dans ma chambre, je prends des vetements pour me doucher. Après la douche, je vais dans ma chambre, et avec surprise, je vois que mon portable n'est plus dans la poche de la veste que j'ai porté. J'ai fouillé la maison de font en comble, mais rien ! Je ne voulais pas inquiéter ma mère, elle avait economisé dur pour me l'acheter
Alors qu'il etait minuit, ma mère me demandait ce que je cherchait, je voulais rester évasif, et ne rien dire, quand soudain j'entends la sonnerie retentir.
Maman : Qui ça peut bien etre à une heure pareil
Moi : Non je vais aller voir, et si c'etait une mauvaise surprise...
Je suis parti pour ouvrir la porte, à cette heure-ci, les rues etaient bondés de personnes bourrés, ivre mort sur le coin des trottoirs. J'ouvre la porte, je m'attendais à voir n'importe qui, sauf Lucie, qui était gentillement posté devant chez moi, mon portable à la main, j'étais très surpris , habillé d'un simple débardeur, avec une veste dessus pour se couvrir du froid, et d'un minishort bleu qui laissait voir ses cuisses brillantes, elle me regardait d'un air
Lucie : Je t'ai manqué ?
Moi : Il ne sait rien passer, je sais à quoi tu penses, mais c'est pas ce qu'il s'est reellement passée ?
Maman : Ce qui s'est reellement passée ? Allez dit moi, je veux entendre.
Nous sommes allés nous asseoir sur le canapé dans le salon,j'ai raconté ce moment à ma mère, qui n'a pas pu s'empeché de rigoler à la fin de mon histoire.
Maman : Un test Tu sais ce que ça veut dire ?
Moi : Euuh...non
Maman : Elle veut d'abord te connaitre, elle veut donc te revoir, et après, si le courant passe bien...
Moi : On sera forcément amenés à nous revoir, elle habite juste à coté Et puis, je la sens pas trop, elle est louche, elle cache un truc...
Maman : Comment peux-tu dire ça ? C'est le premier jour où elle te voit. Ca ne te ressemble pas
Moi : Mmm... Je pense que je vais aller dormir. Après cette journée, je pense m'endormir vite fait.
Maman: D'accord à demain Enzo !
Moi : Bonne nuit.
En montant dans ma chambre, je prends des vetements pour me doucher. Après la douche, je vais dans ma chambre, et avec surprise, je vois que mon portable n'est plus dans la poche de la veste que j'ai porté. J'ai fouillé la maison de font en comble, mais rien ! Je ne voulais pas inquiéter ma mère, elle avait economisé dur pour me l'acheter
Alors qu'il etait minuit, ma mère me demandait ce que je cherchait, je voulais rester évasif, et ne rien dire, quand soudain j'entends la sonnerie retentir.
Maman : Qui ça peut bien etre à une heure pareil
Moi : Non je vais aller voir, et si c'etait une mauvaise surprise...
Je suis parti pour ouvrir la porte, à cette heure-ci, les rues etaient bondés de personnes bourrés, ivre mort sur le coin des trottoirs. J'ouvre la porte, je m'attendais à voir n'importe qui, sauf Lucie, qui était gentillement posté devant chez moi, mon portable à la main, j'étais très surpris , habillé d'un simple débardeur, avec une veste dessus pour se couvrir du froid, et d'un minishort bleu qui laissait voir ses cuisses brillantes, elle me regardait d'un air
Lucie : Je t'ai manqué ?