Note de la fic :
La fille de la nouvelle voisine
Par : LePatriarche
Genre : Sentimental, Réaliste
Statut : Terminée
Chapitre 42 : Des explications...
Publié le 26/08/2013 à 13:47:12 par LePatriarche
Si je lui disais simplement que je voulais voir sa fille, Gertrude ne m'aurait pas laisser entrer, je devais etre plus prudent et surtout plus malin :
Moi : Re bonjour...
Gertrude :... Pourquoi t'es venue ?
Moi : Tout d'abord, je tenais à m'excuser, ce que je vous ai dit tout à l'heure, je ne le pensais pas. J'etais vraiment en colère, Lucie m'avait demandé de l'aide, pour la proteger, la défendre. Elle m'avait parler de ses problèmes, de la douleur qu'elle a eu en déménageant, ce qu'elle à quitté, ce qu'elle a vécu aussi. Lucie m'a parlé de tout ça juste avant l'arrivé de Marc. C'est un vrai connard ce type, il n'avait aucune considération pour Lucie, vous savez ce qu'il voulait faire ? L'epouser pour profiter de l'argent de votre famille, sans rien faire. En entendant cela, je n'ai pas pu me retenir... Lucie doit etre un peu tourmenter, vous ne pouvez pas imaginer ce qu'elle a enduré ces 7 derniers jours ( et encore plus, le lendemain de votre arrivé, quand elle etait chez moi ) et c'est vraiment pas facile pour elle, alors essayez de la comprendre, essayez de me comprendre... Pour toute ses raisons, je tenais... Non ! Je devais m'excuser au près de vous, j'ai été incorrect tout à l'heure, maintenant je le sais...
Des larmes voulaient coulés sur ses joues, elle posa sa main sur sa bouche, puis fini par me faire entrer. Je me suis installé dans le salon, avec elle, puis on a commencé à parler. Elle m'a parlé de son mari, qui est sans cesse en train de travailler, dans une grande entreprise. Il n'etait presque jamais chez elle, seulement quelque soirs, lorsque le travail ne l'appelait plus. Puis elle m'a parlé un peu d'elle... J'en savais un peu plus sur sa famille. Je suis parti réconforté Gertrude, en lui faisant part de mon soutien, et de mon aide, au besoin.
Moi : Vous etes parti parler à Lucie ?
Gertrude : Non... J'avais un peu peur de sa réaction. Après tout ce que tu viens de me dire, je ne sais pas quoi faire...
Moi : Ne vous inquietez pas, je vais aller la voir... Elle doit etre un peu désorienté, mais je vais l'aider. Je lui ai dit que j'étais son ami, elle peut compter sur moi, vous avez ma parole.
Gertrude : Merci... Ca m'a fait plaisir de te parler. J'ai pensé à ce que tu m'as dit tout à l'heure, et tu n'avais pas entièrement tort... Je suis une mère pathétique... Tu as été capable de comprendre ma fille en une semaine, à devenir son ami, alors que je n'ai jamais réussi à etre aussi complice avec elle...
Moi : Tout n'est pas perdu. Je sais que vous aimez Lucie, et si vous lui parlez sincèrement, je suis sur qu'elle acceptera de vous parler.
Gertrude : Merci... Encore.
Moi : Je vais aller voir Lucie dans sa chambre, et je reviens 5 minutes après d'accord ?
Gertrude : Oui... J'irai lui parler après...
Après cette explication, j'ai pensé à ce que m'avait dit Gertrude... Lucie n'a pratiquement pas eu de père, elle ne le voyait que rarement. Ca explique peut-etre ce qu'elle pense des hommes, ce qu'elle leur fait subir...
Moi : Re bonjour...
Gertrude :... Pourquoi t'es venue ?
Moi : Tout d'abord, je tenais à m'excuser, ce que je vous ai dit tout à l'heure, je ne le pensais pas. J'etais vraiment en colère, Lucie m'avait demandé de l'aide, pour la proteger, la défendre. Elle m'avait parler de ses problèmes, de la douleur qu'elle a eu en déménageant, ce qu'elle à quitté, ce qu'elle a vécu aussi. Lucie m'a parlé de tout ça juste avant l'arrivé de Marc. C'est un vrai connard ce type, il n'avait aucune considération pour Lucie, vous savez ce qu'il voulait faire ? L'epouser pour profiter de l'argent de votre famille, sans rien faire. En entendant cela, je n'ai pas pu me retenir... Lucie doit etre un peu tourmenter, vous ne pouvez pas imaginer ce qu'elle a enduré ces 7 derniers jours ( et encore plus, le lendemain de votre arrivé, quand elle etait chez moi ) et c'est vraiment pas facile pour elle, alors essayez de la comprendre, essayez de me comprendre... Pour toute ses raisons, je tenais... Non ! Je devais m'excuser au près de vous, j'ai été incorrect tout à l'heure, maintenant je le sais...
Des larmes voulaient coulés sur ses joues, elle posa sa main sur sa bouche, puis fini par me faire entrer. Je me suis installé dans le salon, avec elle, puis on a commencé à parler. Elle m'a parlé de son mari, qui est sans cesse en train de travailler, dans une grande entreprise. Il n'etait presque jamais chez elle, seulement quelque soirs, lorsque le travail ne l'appelait plus. Puis elle m'a parlé un peu d'elle... J'en savais un peu plus sur sa famille. Je suis parti réconforté Gertrude, en lui faisant part de mon soutien, et de mon aide, au besoin.
Moi : Vous etes parti parler à Lucie ?
Gertrude : Non... J'avais un peu peur de sa réaction. Après tout ce que tu viens de me dire, je ne sais pas quoi faire...
Moi : Ne vous inquietez pas, je vais aller la voir... Elle doit etre un peu désorienté, mais je vais l'aider. Je lui ai dit que j'étais son ami, elle peut compter sur moi, vous avez ma parole.
Gertrude : Merci... Ca m'a fait plaisir de te parler. J'ai pensé à ce que tu m'as dit tout à l'heure, et tu n'avais pas entièrement tort... Je suis une mère pathétique... Tu as été capable de comprendre ma fille en une semaine, à devenir son ami, alors que je n'ai jamais réussi à etre aussi complice avec elle...
Moi : Tout n'est pas perdu. Je sais que vous aimez Lucie, et si vous lui parlez sincèrement, je suis sur qu'elle acceptera de vous parler.
Gertrude : Merci... Encore.
Moi : Je vais aller voir Lucie dans sa chambre, et je reviens 5 minutes après d'accord ?
Gertrude : Oui... J'irai lui parler après...
Après cette explication, j'ai pensé à ce que m'avait dit Gertrude... Lucie n'a pratiquement pas eu de père, elle ne le voyait que rarement. Ca explique peut-etre ce qu'elle pense des hommes, ce qu'elle leur fait subir...