Je n'éprouvais aucune pitié, j'ai du donné au moins 20 coups de poings. Puis au dernier coup de poing, je l'ai propulsé dans la piscine, il était presque inconscient.
Puis apparut la mère de Lucie, Gertrude, que j'ai regardé avec mes poings en sang, le sang de Marc certainement, mais peut-etre le mien aussi, et je lui ai dit :

Moi : Regardez qui voulait noyer votre fille dans la piscine... J'ai pu l'empecher de justesse

Je pris Lucie qui était dans la piscine, pour la ramener sur le terre ferme.

Gertrude : Qu'est-ce qu'il se passe ici ? J'ai vu un mot qui me disait de venir au plus vite...

Moi : C'était certainement Marc, qui voulait vous prévenir qu'il allait faire du mal à votre fille si vous ne lui donniez pas l'argent qu'il voulait...

C'était faux, c'est moi qui lui ai mit le mot sous sa porte.

Gertrude : C'est vrai ma fille ?

Lucie commenca alors à pleurer, ces larmes etaient fausses, j'arrivais à le voir, c'était les meme larmes que l'autre jour chez moi. Elle se précipita dans les bras de sa mère.

Lucie : Maman ! Il m'a fait peur... J'ai cru que j'allais mourir noyée ! Si Enzo n'avait pas entendu du bruit chez lui, il ne serait jamais venu m'aidé. ))">

Moi : C'est tout à fait normal !

Marc etait quasiment évanouie, avec le peu de force qui lui restait, il sortit de la piscine. C'etait une véritable machination qui le rendait coupable de quelque chose qu'il n'avait certes pas fait, mais le mal qu'il avait causé à Lucie en valait largement la peine :

Marc : C'est faux... J'ai jamais essayé de la tuer... Je l'aime ma Lisa...

Lucie : Je m'appelle Lucie gros connard ! (">

Finalement, Marc partir en courant, les jambes à son cou. J'avais réussi mon coup, il etait parti, et j'avais aidé Lucie. Je regardais vers chez moi, je voyais Sam à la fenetre de ma chambre, qui souriait. Il venait de voir toute la scène.

Sam : Beaaaaaau Goooooossse !

Je me suis contenté de sourire, j'étais vraiment fatigué. Je ne pensais qu'à une chose : rentrer chez moi.
Lucie s'etait approché de moi, pour me remercier sans doute. Elle souriait, rougissant presque, j'etais assis sur le rebord de la piscine, puis elle me dit :

Lucie : Je venais juste de me doucher, d'etre toute propre, et maintenant je suis mouillée ! T'as vu ce qu'a t'as fait ? Vraiment à quoi tu penses ?!

Moi :

Lucie : Je plaisante, allez lèves toi...

Je me suis levé, fatigué, pret à tomber. J'étais sur le rebord de la piscine, puis elle se jeta dans mes bras, en me criant :"Merciiiiiiii ". Nous sommes tombés dans la piscine, on restait néanmoins collés l'un contre l'autre. Elle me tenait si fort, j'aimais les yeux qu'elle avait à ce moment, si sincère.

Moi : Maintenant moi aussi je suis mouillé...

Lucie : C'est pour nous mettre dans l'ambiance de tout à l'heure, avant que l'autre abruti vienne nous interrompre.

Moi : T'as pensé à tout

Lucie : Toi aussi, ton plan etait vraiment bien pensé, t'as de l'imagination à revendre...

Moi : Et tu joues très bien la comédie aussi...

On ne parlait plus, on se regardait, droit dans les yeux, mon visage s'approcha du sien, son visage s'approcha du mien. Ses lèvres venaient frolés les miennes. On venait de fermer les yeux en meme temps, pour profiter de cette instant magique, sous une chaleur etouffante, dans une piscine rafrachissante. C'est fait, on venait de s'embrasser.