Note de la fic :
La fille de la nouvelle voisine
Par : LePatriarche
Genre : Sentimental, Réaliste
Statut : Terminée
Chapitre 25 : La fin d'une journée eprouvante
Publié le 24/08/2013 à 18:19:25 par LePatriarche
Moi *dans ma tete* : Elle est bizarre... Mais elle peut etre vraiment super intelligente et aussi stratégique que moi.
Mais elle ne risque pas de trouver la clé, je l'ai caché dans un telle endroit que je suis tranquille pour le moment...
Lucie : Ca me saoule, donne moi la clé !
Je commencais à me relever petit à petit, c'était encore difficile, la douleur dans les c... partait, c'était bon signe !
Moi : Je vais aller prendre la clé, à une seule condition !
Lucie : Dit toujours.
Moi : Je vais t'enfermer ici, je vais aller te prendre un soutif de rechange, parce que je ne te laisserais jamais sortir comme ça. J'irais chez toi, puis je reviendrais, ça marche ?
Lucie : Non je ne te fais pas confiance...
Moi : Moi aussi, je m'en fiches de ta confiance, contente toi de rester ici, sinon on sera bloqué tout les deux.
J'ai pris la clé que j'avais caché dans un endroit qu'aucune femme digne de ce nom n'irai cherché, dans une boite de chocolat, dans la cuisine. Le fait qu'elle n'est pas trouvémontre qu'elle fait attention à sa ligne, elle prend soin d'elle, mais bref...
Lucie : Tu l'avais caché là ? Mais t'es vraiment débile
Moi : Oui si tu veux... Allez maintenant laisses moi passer.
J'ai ouvert la porte, je suis sorti de la maison en essuyant mon nez qui saignait legèrement.
Ouvrier : Elle est où l'autre gamine ?
Moi : Oh... Elle se repose, elle m'a dit de lui chercher un truc, je reviens...
Je rentrais dans la maison, c'était vraiment énorme ! 3 étages, une dizaine de chambre, un vrai palace...
Il y avait la mère de Lucie, Gertrude, qui était rentré :
Gertrude : Tu n'aurais pas vu ma fille ?
Moi : Si elle est chez moi, on apprend à faire connaissance. Elle est un peu fatigué, donc elle m'a demandé de lui ramener un truc Où est sa chambre ?
Gertrude : 2e etage, et dis lui que je voulais lui parler d'un...
Moi : Oui d'accord je reviens.
J'ai cherché sa chambre, puis j'ai trouvé quelque chose qui ressemblait à une chambre de fille. Il y avait vraiment de tout dans sa chambre : un ordi, plein de placard remplis de vetements, trouver le tiroir des soutif ! J'étais heureux de l'avoir trouver, mais pour d'autres raisons. J'ai pris celui qui ressemblait à celui qu'elle portait, je suis redescendu très vite, en mettant le soutif dans ma poche.
Ouvrier : Alors tu as deja fini ?
Moi : Oui c'était rapide, tchao...
Je voyais ma mère qui s'appretait à rentrer à la maison, c'était l'après midi, elle rentrait du travail, et je devais me depecher...
Ouvrier : Mon garçon, je voulais te féliciter. Cette gamine c'est vraiment un calvaire, et tu l'as supporté une après midi...
Je voulais vite partir, si ma mère voyait Lucie en soutif déchiré, c'était fini pour moi !
Moi : Vous savez, les filles... Allez je dois partir !
Ouvrier : Oh tu es si préssé de la retrouver ?
Moi : Vous pouvez pas savoir à quel point ! Je file !
Ma mère me voyait courir en sa direction, comme s'il était arrivé quelque chose de grave.
Maman : Qu'est-ce qui se passe Enzo ? Tu n'es pas à la maison, qu'est-ce que tu faisais la bas ?
Moi : Ah je parlais juste à l'ouvrier pour savoir quand la piscine serait prete, parce Lucie m'y avait invité, et j'étais préssé qu'elle soit construite.
Maman : Ah oui... C'était donc ça le bruit de ce matin, un vrai calvaire, j'étais fatiguée au travail aujourd'hui...
Moi : Tu peux attendre avant de rentrer s'il te plait, je dois regler une petite surprise pour toi
Maman : Tu penses vraiment que j'ai besoin d'une surprise ! J'ai besoin de me reposer, tu as l'air anxieux...
Moi : Un peu c'est vrai, mais restesici, juste 5 minutes, je ne te demande pas grand chose
Maman : Alors fais vite !
Je me suis précipité dans la maison, en refermant vite la porte, j'ai vu Lucie allongé sur le canapé, elle avait l'air de dormir.
Moi : Hey reveilles toi et enfiles moi ça vite !
Elle dormait profondément, la fatigue se faisait ressentir.
Moi : J'imagine que j'ai pas choix...
J'ai complètement arraché son soutif, pour lui mettre celui que j'étais parti chercher, ils etaient quasiment similaire.
Elle dormait encore, et j'ai eu le temps de faire ce que je voulais. J'ai pris le soutif déchiré, je l'ai mi dans ma poche en attendant de le lui rendre.
J'entendais ma mère qui parlait à quelqu'un dehors, c'était surement la voisine.
Moi : C'est bon, j'ai réussi
Ma mère venait de rentrer, avec Gertrude, pour me demander ce qu'il se passait...
Elles sont venues dans le salon, J'ai posé la tete de Lucie contre mon épaule, elle n'était meme pas consciente.
Moi : Surprise ! Regardez avec qui je me suis amusé toute la journée !
Maman : Ah mais il fallait me le dire que tu l'avais invité, au lieu d'avoir l'air louche
Moi : Je ne savais pas comment tu allais le prendre...
Maman : Oh mais c'est pas grave.
Lucie se reveilla finalement, au bout de 2 heures, je l'avais allongé sur le canapé. A son reveil, elle etait quelque peu désorienté. Ma mère et Gertrude prenaient le café dans la cuisine. Finalement, Gertrude emmena Lucie, elle etait finalement parti. Je suis resté avec ma mère, il etait 18 heures, puis j'ai seulement regardé la télévision, manger un petit truc en ne parlant que très peu à ma mère, on etait tous les deux épuisés. Je suis partis dormir, la journée etait enfin fini !
Mais elle ne risque pas de trouver la clé, je l'ai caché dans un telle endroit que je suis tranquille pour le moment...
Lucie : Ca me saoule, donne moi la clé !
Je commencais à me relever petit à petit, c'était encore difficile, la douleur dans les c... partait, c'était bon signe !
Moi : Je vais aller prendre la clé, à une seule condition !
Lucie : Dit toujours.
Moi : Je vais t'enfermer ici, je vais aller te prendre un soutif de rechange, parce que je ne te laisserais jamais sortir comme ça. J'irais chez toi, puis je reviendrais, ça marche ?
Lucie : Non je ne te fais pas confiance...
Moi : Moi aussi, je m'en fiches de ta confiance, contente toi de rester ici, sinon on sera bloqué tout les deux.
J'ai pris la clé que j'avais caché dans un endroit qu'aucune femme digne de ce nom n'irai cherché, dans une boite de chocolat, dans la cuisine. Le fait qu'elle n'est pas trouvémontre qu'elle fait attention à sa ligne, elle prend soin d'elle, mais bref...
Lucie : Tu l'avais caché là ? Mais t'es vraiment débile
Moi : Oui si tu veux... Allez maintenant laisses moi passer.
J'ai ouvert la porte, je suis sorti de la maison en essuyant mon nez qui saignait legèrement.
Ouvrier : Elle est où l'autre gamine ?
Moi : Oh... Elle se repose, elle m'a dit de lui chercher un truc, je reviens...
Je rentrais dans la maison, c'était vraiment énorme ! 3 étages, une dizaine de chambre, un vrai palace...
Il y avait la mère de Lucie, Gertrude, qui était rentré :
Gertrude : Tu n'aurais pas vu ma fille ?
Moi : Si elle est chez moi, on apprend à faire connaissance. Elle est un peu fatigué, donc elle m'a demandé de lui ramener un truc Où est sa chambre ?
Gertrude : 2e etage, et dis lui que je voulais lui parler d'un...
Moi : Oui d'accord je reviens.
J'ai cherché sa chambre, puis j'ai trouvé quelque chose qui ressemblait à une chambre de fille. Il y avait vraiment de tout dans sa chambre : un ordi, plein de placard remplis de vetements, trouver le tiroir des soutif ! J'étais heureux de l'avoir trouver, mais pour d'autres raisons. J'ai pris celui qui ressemblait à celui qu'elle portait, je suis redescendu très vite, en mettant le soutif dans ma poche.
Ouvrier : Alors tu as deja fini ?
Moi : Oui c'était rapide, tchao...
Je voyais ma mère qui s'appretait à rentrer à la maison, c'était l'après midi, elle rentrait du travail, et je devais me depecher...
Ouvrier : Mon garçon, je voulais te féliciter. Cette gamine c'est vraiment un calvaire, et tu l'as supporté une après midi...
Je voulais vite partir, si ma mère voyait Lucie en soutif déchiré, c'était fini pour moi !
Moi : Vous savez, les filles... Allez je dois partir !
Ouvrier : Oh tu es si préssé de la retrouver ?
Moi : Vous pouvez pas savoir à quel point ! Je file !
Ma mère me voyait courir en sa direction, comme s'il était arrivé quelque chose de grave.
Maman : Qu'est-ce qui se passe Enzo ? Tu n'es pas à la maison, qu'est-ce que tu faisais la bas ?
Moi : Ah je parlais juste à l'ouvrier pour savoir quand la piscine serait prete, parce Lucie m'y avait invité, et j'étais préssé qu'elle soit construite.
Maman : Ah oui... C'était donc ça le bruit de ce matin, un vrai calvaire, j'étais fatiguée au travail aujourd'hui...
Moi : Tu peux attendre avant de rentrer s'il te plait, je dois regler une petite surprise pour toi
Maman : Tu penses vraiment que j'ai besoin d'une surprise ! J'ai besoin de me reposer, tu as l'air anxieux...
Moi : Un peu c'est vrai, mais restesici, juste 5 minutes, je ne te demande pas grand chose
Maman : Alors fais vite !
Je me suis précipité dans la maison, en refermant vite la porte, j'ai vu Lucie allongé sur le canapé, elle avait l'air de dormir.
Moi : Hey reveilles toi et enfiles moi ça vite !
Elle dormait profondément, la fatigue se faisait ressentir.
Moi : J'imagine que j'ai pas choix...
J'ai complètement arraché son soutif, pour lui mettre celui que j'étais parti chercher, ils etaient quasiment similaire.
Elle dormait encore, et j'ai eu le temps de faire ce que je voulais. J'ai pris le soutif déchiré, je l'ai mi dans ma poche en attendant de le lui rendre.
J'entendais ma mère qui parlait à quelqu'un dehors, c'était surement la voisine.
Moi : C'est bon, j'ai réussi
Ma mère venait de rentrer, avec Gertrude, pour me demander ce qu'il se passait...
Elles sont venues dans le salon, J'ai posé la tete de Lucie contre mon épaule, elle n'était meme pas consciente.
Moi : Surprise ! Regardez avec qui je me suis amusé toute la journée !
Maman : Ah mais il fallait me le dire que tu l'avais invité, au lieu d'avoir l'air louche
Moi : Je ne savais pas comment tu allais le prendre...
Maman : Oh mais c'est pas grave.
Lucie se reveilla finalement, au bout de 2 heures, je l'avais allongé sur le canapé. A son reveil, elle etait quelque peu désorienté. Ma mère et Gertrude prenaient le café dans la cuisine. Finalement, Gertrude emmena Lucie, elle etait finalement parti. Je suis resté avec ma mère, il etait 18 heures, puis j'ai seulement regardé la télévision, manger un petit truc en ne parlant que très peu à ma mère, on etait tous les deux épuisés. Je suis partis dormir, la journée etait enfin fini !