Note de la fic : Non notée
Publié le 31/08/2013 à 01:43:16 par Nutey
La pluie ruisselait le long de ma fenêtre, j'entendais le thème du menu principal de The Witcher 2 qui a sans doute tourné toute la nuit et j'avais encore le goût acidulé d'une soirée bien trop alcoolisé dans ma gorge et le téléphone sonnait.
Je suis Terry Hicks, j'ai 22 ans et je l'heureux co-propriétaire du Blunt Shop, un petit magasin de jeux vidéo situé au centre ville, je travaille avec Julien Graves qui a le même âge que moi, je le connais depuis tout petit et on a eu le rêve de créer ce magasin depuis qu'on est gosse.
J'ai mis un certain temps avant d'émerger et d'attraper mon téléphone avant de décrocher.
«-Allo ? dis-je.
-Salut c'est Julien, tu pourrais pas ouvrir le magasin pour moi s'il te plait ? me demandai-t-il.
-Putain... C'est mon jour de congé et j'ai pas envie de le passer au magasin. répondis-je bruyamment.
-Tu l'ouvres juste je suis là avant dix heures après tu rentres. me supplia-t-il.
-Bon, ok, mais tu me le revaudra. répondis-je avant de raccrocher. »
Je me levai énervé, et je m'habillai avec les premiers vêtements que je pus trouver. Avant de sortir de chez moi j'attrapai mes clés et j'avalai un aspirine afin d'atténuer l'affreux mal de tête qui m'imprégnais. Après ça je quittai mon appartement et démarrai ma voiture.
Devant le magasin, les deux mêmes branleurs qui squattent ici tous les jours, c'est pas qu'ils m'énervent mais ils font fuir les clients à vendre leur merde, comme preuve de bonne fois je les saluais tout de même.
Une fois arrivé devant la grille, je la déverrouillais cependant comme c'est du très mauvais matériels elle bloqua en plein milieu et je pus seulement me faufiler dessous pour entrer dans le magasin et cela n'incitait pas les clients à venir c'est sûr. Cependant quelques clients habituels vinrent quand même vendre des jeux, en acheter ou bien acheter des vieilles consoles mais aucune vente mémorable, une matinée comme une autre. Je regardai ma montre il était déjà 10h05. Julien était en retard, encore, ça m'étonne pas de lui.
A 11h45, Julien décida de pointer le bout de son nez et s'exprima :
«-Désolé pour le retard j'ai été retardé... dis-il.
-Bon c'est pas grave, je vais y allez alors. répondis-je.
-Euh non, j'ai appelé le mec pour qu'il déverrouille la grille mais si il voit pas ta voiture devant il va penser qu'il n'y a personne. s'excusa-t-il.
-Bordel de merde. jurais-je. »
Et oui, c'était pas ça notre rêve de gosse, on pensait que tenir ce genre de magasin c'était le rêve, mais en réalité c'est rien de plus qu'une routine encore plus chiante que n'importe quelle routine.
Une demi-heure plus tard le mec qui est censé déverrouiller la porte arriva, en moins de 10 minutes c'était ouvert et les clients commençait à arriver en masse.
«- Vous n'auriez pas une atari 2600 s'il vous plait ? s'exprima un inconnu
-Oui bien sûr qu'on à ça. répondis-je. »
Voilà à quoi ce résumait nos rapport avec les clients.
A la fin de la journée, je proposa à Julien de venir boire un verre chez moi, il accepta avec joie. On monta dans ma voiture, que je démarrai, je lançai également un album du Klub des Loosers qui trainait sur ma clé usb et c'était partit.
Arrivé a mon appartement, je tapai le code et ouvrai la porte, nous montâmes les quelques marches qui nous séparait du deuxième étages et j'ouvrais la porte avant de découvrir avec stupeur ma fenêtre explosé, des morceaux de verres trainait sur le sol et mon macbook avait disparu.
Je suis Terry Hicks, j'ai 22 ans et je l'heureux co-propriétaire du Blunt Shop, un petit magasin de jeux vidéo situé au centre ville, je travaille avec Julien Graves qui a le même âge que moi, je le connais depuis tout petit et on a eu le rêve de créer ce magasin depuis qu'on est gosse.
J'ai mis un certain temps avant d'émerger et d'attraper mon téléphone avant de décrocher.
«-Allo ? dis-je.
-Salut c'est Julien, tu pourrais pas ouvrir le magasin pour moi s'il te plait ? me demandai-t-il.
-Putain... C'est mon jour de congé et j'ai pas envie de le passer au magasin. répondis-je bruyamment.
-Tu l'ouvres juste je suis là avant dix heures après tu rentres. me supplia-t-il.
-Bon, ok, mais tu me le revaudra. répondis-je avant de raccrocher. »
Je me levai énervé, et je m'habillai avec les premiers vêtements que je pus trouver. Avant de sortir de chez moi j'attrapai mes clés et j'avalai un aspirine afin d'atténuer l'affreux mal de tête qui m'imprégnais. Après ça je quittai mon appartement et démarrai ma voiture.
Devant le magasin, les deux mêmes branleurs qui squattent ici tous les jours, c'est pas qu'ils m'énervent mais ils font fuir les clients à vendre leur merde, comme preuve de bonne fois je les saluais tout de même.
Une fois arrivé devant la grille, je la déverrouillais cependant comme c'est du très mauvais matériels elle bloqua en plein milieu et je pus seulement me faufiler dessous pour entrer dans le magasin et cela n'incitait pas les clients à venir c'est sûr. Cependant quelques clients habituels vinrent quand même vendre des jeux, en acheter ou bien acheter des vieilles consoles mais aucune vente mémorable, une matinée comme une autre. Je regardai ma montre il était déjà 10h05. Julien était en retard, encore, ça m'étonne pas de lui.
A 11h45, Julien décida de pointer le bout de son nez et s'exprima :
«-Désolé pour le retard j'ai été retardé... dis-il.
-Bon c'est pas grave, je vais y allez alors. répondis-je.
-Euh non, j'ai appelé le mec pour qu'il déverrouille la grille mais si il voit pas ta voiture devant il va penser qu'il n'y a personne. s'excusa-t-il.
-Bordel de merde. jurais-je. »
Et oui, c'était pas ça notre rêve de gosse, on pensait que tenir ce genre de magasin c'était le rêve, mais en réalité c'est rien de plus qu'une routine encore plus chiante que n'importe quelle routine.
Une demi-heure plus tard le mec qui est censé déverrouiller la porte arriva, en moins de 10 minutes c'était ouvert et les clients commençait à arriver en masse.
«- Vous n'auriez pas une atari 2600 s'il vous plait ? s'exprima un inconnu
-Oui bien sûr qu'on à ça. répondis-je. »
Voilà à quoi ce résumait nos rapport avec les clients.
A la fin de la journée, je proposa à Julien de venir boire un verre chez moi, il accepta avec joie. On monta dans ma voiture, que je démarrai, je lançai également un album du Klub des Loosers qui trainait sur ma clé usb et c'était partit.
Arrivé a mon appartement, je tapai le code et ouvrai la porte, nous montâmes les quelques marches qui nous séparait du deuxième étages et j'ouvrais la porte avant de découvrir avec stupeur ma fenêtre explosé, des morceaux de verres trainait sur le sol et mon macbook avait disparu.
Commentaires
- Nutey
31/08/2013 à 01:53:06
Il faut savoir que la fic ne se contente pas de raconter l'histoire de clerks hein, c'est le début évidemment y'a rien, mais après y'aura de l'action d'où le "Réaliste, Action".