Note de la fic : Non notée
Benvenuto nella famiglia
Par : Saguaro
Genre : Action, Réaliste
Statut : C'est compliqué
Chapitre 2 : Mon pauvre père
Publié le 28/08/2013 à 16:03:29 par Saguaro
Je suis Vitorrio Brunetti, citoyen américain, ayant émigré de Sicile quand j'avais 5 ans. J'en ai a présent 21. Ce matin du 27 février 1945 j'ai appris que mon père avait des dettes, des dettes de 3500 dollars, une somme énorme pour nous. Nous qui vivons dans un taudis, nous qui gagnons 600 dollars par mois.
27 février 1945
-Lachez moi ! hurla un homme dans la rue
-Tu vas payer tes dettes sale rital !
Ces hurlements me réveillèrent, a sa voix, je reconnu mon père. J'enfila un pantalon, un t-shirt et descendit en trombe les deux étages qui séparaient mon taudis, et la sortie. Je sortis et voit un homme en imperméable et avec un chapeau melon tenant mon père par le col le menaçant du poing. Mon pauvre père, ne pouvait pas se défendre avec ses 50 ans et ses bras usés par le travail sur les docks, je prenait donc sa défense.
-Hé toi ! Lâche le ou je te redécore la gueule !
-Ta gueule le mioche je suis occupé !
-Vito ! Sauve toi...
Il gifla mon père en lui hurlant de la fermer, je lui bondis dessus et le mit à terre. Il se releva et me fonça dessus en levant le poing. J'esquiva et lui attrapa le bras. Je lui fit une clé de bras si forte, que son bras se brisa dans un énorme craquement suivi d'un hurlement. Je l'envoya au sol.
-Casse toi ou je continue avec l'autre bras !
L'homme parti en courant. Mon père monta dans l'appart silencieusement. J'allais devoir m'expliquer avec lui.
27 février 1945
-Lachez moi ! hurla un homme dans la rue
-Tu vas payer tes dettes sale rital !
Ces hurlements me réveillèrent, a sa voix, je reconnu mon père. J'enfila un pantalon, un t-shirt et descendit en trombe les deux étages qui séparaient mon taudis, et la sortie. Je sortis et voit un homme en imperméable et avec un chapeau melon tenant mon père par le col le menaçant du poing. Mon pauvre père, ne pouvait pas se défendre avec ses 50 ans et ses bras usés par le travail sur les docks, je prenait donc sa défense.
-Hé toi ! Lâche le ou je te redécore la gueule !
-Ta gueule le mioche je suis occupé !
-Vito ! Sauve toi...
Il gifla mon père en lui hurlant de la fermer, je lui bondis dessus et le mit à terre. Il se releva et me fonça dessus en levant le poing. J'esquiva et lui attrapa le bras. Je lui fit une clé de bras si forte, que son bras se brisa dans un énorme craquement suivi d'un hurlement. Je l'envoya au sol.
-Casse toi ou je continue avec l'autre bras !
L'homme parti en courant. Mon père monta dans l'appart silencieusement. J'allais devoir m'expliquer avec lui.