Note de la fic :
Le jour ou ma vie bascula
Par : PsyApatte
Genre : Horreur, Sayks
Statut : C'est compliqué
Chapitre 3 : Le doux son de la mort
Publié le 27/08/2013 à 21:12:19 par PsyApatte
J'empoigna alors férocement ma braguette, la baissa, enleva mon caleçon, et devant plus de 120 personnes, laissa à l'air mon sexe..
- Vois-tu.. j'ai toujours rêvé de faire ça, avec toi, après tout, toi aussi non ? Tu te rappelles de ces sms coquins ?
- ARRETE NON TOUT MAIS PAS S-
Je lui mis un féroce coup de poings dans la machoire, j'entendis un léger craquement..
- ça se disloque ? haha.. hahahaha
Je lui enfonça alors mon sexe dans le sien, sans aucune once de pitié, devant plus de 120 personnes qui regardaient à la fois dégoutés, apeurés et excités, certains partaient en courant et en criant, éclatant les fenêtres et sautant par celle-ci, mais je n'entendais rien d'autre que la voix de ma victime..
C'était à la fois chaud et confortable, je n'aurais jamais imaginé faire ça un jour..
Je faisais des va et viens, petit à petit, j'augmentais la cadence, je la retenais contre le sol, je mis ses jambes sur mes épaules et je lui fis l'amour violemment, sur sa peau si pure et si blanche descendait une larme amère..
Elle criait, elle me suppliait d'arrêter, mais je prenais tellement de plaisir à faire ça que je ne pouvais pas, chaque va et viens me procurait encore plus d'excitation, je sentis un liquide sortir de son sexe, non, elle mouillait ?
- Ehh, mais tu mouilles en plus ? Tu veux que je te baise encore plus fort ?
- oui.. NON ! ARRÊTE ! ARRÊTE !
- J'ai entendu oui.. je ne vais pas arrêter avant que je te sente jouïr, petite pute pure..
Je continuais à lui faire l'amour, elle mouillait de plus en plus, ça glissait encore et encore, son petit minou pulpeux n'en pouvait plus, je le sentais, elle allait jouïr..
Et dans une ultime jouissance, je joui aussi, alors nos deux sécrétions se mélangèrent..
Je ne pus me retenir, elle me regardait d'un air tellement attirant que je l'embrassa fougueusement, et elle fit de même..
Je ressentais de l'amour pour elle, je lui avais arraché un sein, et malgrès tout elle arrivait quand même à avoir la force de m'embrasser..
Avant que je puisse m'en rendre compte, le tournement de sa langue dans ma bouche s'était arrêté ; elle venait de succomber..
- Vois-tu.. j'ai toujours rêvé de faire ça, avec toi, après tout, toi aussi non ? Tu te rappelles de ces sms coquins ?
- ARRETE NON TOUT MAIS PAS S-
Je lui mis un féroce coup de poings dans la machoire, j'entendis un léger craquement..
- ça se disloque ? haha.. hahahaha
Je lui enfonça alors mon sexe dans le sien, sans aucune once de pitié, devant plus de 120 personnes qui regardaient à la fois dégoutés, apeurés et excités, certains partaient en courant et en criant, éclatant les fenêtres et sautant par celle-ci, mais je n'entendais rien d'autre que la voix de ma victime..
C'était à la fois chaud et confortable, je n'aurais jamais imaginé faire ça un jour..
Je faisais des va et viens, petit à petit, j'augmentais la cadence, je la retenais contre le sol, je mis ses jambes sur mes épaules et je lui fis l'amour violemment, sur sa peau si pure et si blanche descendait une larme amère..
Elle criait, elle me suppliait d'arrêter, mais je prenais tellement de plaisir à faire ça que je ne pouvais pas, chaque va et viens me procurait encore plus d'excitation, je sentis un liquide sortir de son sexe, non, elle mouillait ?
- Ehh, mais tu mouilles en plus ? Tu veux que je te baise encore plus fort ?
- oui.. NON ! ARRÊTE ! ARRÊTE !
- J'ai entendu oui.. je ne vais pas arrêter avant que je te sente jouïr, petite pute pure..
Je continuais à lui faire l'amour, elle mouillait de plus en plus, ça glissait encore et encore, son petit minou pulpeux n'en pouvait plus, je le sentais, elle allait jouïr..
Et dans une ultime jouissance, je joui aussi, alors nos deux sécrétions se mélangèrent..
Je ne pus me retenir, elle me regardait d'un air tellement attirant que je l'embrassa fougueusement, et elle fit de même..
Je ressentais de l'amour pour elle, je lui avais arraché un sein, et malgrès tout elle arrivait quand même à avoir la force de m'embrasser..
Avant que je puisse m'en rendre compte, le tournement de sa langue dans ma bouche s'était arrêté ; elle venait de succomber..