Note de la fic : Non notée
Publié le 19/08/2013 à 01:19:44 par Pseudo supprimé
Chapitre 5 :
Champlouigi et Chybabada s'arrêtèrent devant une porte :
- Tu crois que c'est celle là, la porte qui donne accès à la cave ?, demanda Champlouigi
- Ben j'en sais stricte... NAN MAIS TU TE MOQUES DE MOI ?, je te rappelle que c'est toi qui était censé connaître le plan du lycée par c½ur !, lui répondit agressivement son compère
- Ouais, ouais... Mais à vrai dire... J'ai oublié... Faut demander au chef... Maître ? Vous croyez que c'est là ?
Aucune réponse. Les deux champignons se retournèrent, leur chef ne les suivait plus. Champlouigi paniqua :
- Tu crois qu'il s'est fait prendre ?
- Euh... Tu sais, si quelqu'un aurait aperçu un champignon marcher tout seul, il aurait déjà prévenu tout le lycée... Nan mais tu le connais, il est sûrement en train de se moquer des élèves humains, il trouve ridicule leur façon de lever la main avant de pouvoir parler. Il trouve que c'est contraire à la liberté d'expression et que ça démontre l'infériorité des hommes
- Mouais..., répliqua l'espion, peu convaincu, tu sais, c'est un peu pareil entre lui et nous... C'est limite on doit rester muets...
- Toi, peut-être, se réjouit Chybabada, moi je peux dire tout ce que je veux !
- Ouais, ouais, allez, arrête de frimer et dis moi ce qu'on fait !
L'ex-champikamikaze haussa les épaules :
- On teste, de toute façon autant essayer, sinon on va tourner en rond pendant des heures et on a pas toute la journée !
Champlouigi ouvrit la porte, et essaya de regarder attentivement la pièce avant d'entrer. Mais Chybabada le devança, l'ouvrit carrément et entra à l'intérieur, Champlouigi le suivit, outré :
- Tu es trop kamikaze, Chy', il faut s'assurer qu'il n'y ait pas d'humains dans une pièce avant d'...
L'espion se stoppa, ils étaient au beau milieu... D'une cuisine, sûrement celle de la cantine, elle était bondée de cuisiniers qui préparaient le bon repas du midi. Ouais, je sais, fake, une cantine qui prépare des bons repas, cela n'existe pas.
Tout à coup, une cuisinière apparut devant eux :
- Eustache !? C'est toi qui a jeté mes champignons sur le sol devant la porte ?
- Mais tu crois que j'ai que ça à foutre, Francine ?, répondit une voix lointaine
- Mais c'est bizarre quand même, les champignons ne déplacent pas tout seul et puis...
- Bon, prépare-les et fait pas chier !, dit Eustache, violemment
Chybabada et Champlouigi se regardèrent, horrifiés, ils allaient se faire découper. Chybabada regarda son confrère avec l'air de dire « Que fait-on ? », de la même méthode, Champlouigi dit « Aucune idée ».
La dénommée Francine les posa tout deux sur une petite planche de bois. C'était la fin.
- Eugène, t'as pas où il est mon couteau ?
- Dans Ton C** !
- C'est bon, calme-toi, je vais en chercher un autre...
Et Francine s'éloigna, c'était le moment où jamais. Les deux champignons se regardèrent et d'un commun accord, ils bondirent de leur planche, foncèrent vers la porte, l'ouvrirent et la fermèrent, à la fois soulagés mais encore sous le choc d'être passé si proche de la mort. Ils entendirent à travers la porte :
- J'ai retrouvé mon beau couteau ! Mais ! Eugène ? C'est toi qui a piqué mes champignons ???
Et les deux chanceux s'éloignèrent de la porte de la cuisine, cela dit, ils imaginaient très bien la réponse du fameux Eugène, qui n'avait pas l'air d'avoir sa langue dans sa poche.
- Bon, qu'est-ce qu'on fait maintenant ?, demanda Chybabada, il est temps de s'activer...
- J'ai trouvé !, s'exclama le champiespion, tout excité, c'est là, la cave !
* * *
Les deux champignons trouvèrent la cave bien lugubre, ce sous-sol avait l'air de n'avoir aucune inutilité au sein du lycée. L'endroit n'était pas nettoyé et des poussières s'accumulaient. Chybabada et Champlouigi descendirent l'escalier qui les emmena bien en profondeur dans les entrailles du lycée grâce à une torche. Alors qu'ils s'attendaient à trouver une vaste pièce vide, il n'en fut rien, certes, le centre de la pièce était vide, mais on ne voyait pas les murs, en effet, des étagères occupaient tout l'espace, sur ces étagères, il y avait de tout, des documents inutilisés, des vieux manuels scolaires, des ballons crevés et même une expérience de chimie, une sorte de volcan.
Les deux choldats n'y prêtèrent guère attention, ils posèrent directement la bombe là où leur chef leur avait indiqué, c'est-à-dire au milieu de la pièce.
Chybabada appuya sur le bouton rouge vif du cube de fer, le cube se métamorphosa en bombe super-sophistiqué. Le champi d'élite le passa au champiespion. Celui-ci la posa et commença à la bidouiller pour bien la régler.
- Miaouuu
Chybabada, qui regardait les étagères pendant que son compagnon réglait la bombe, sursauta et se retourna brusquement, il y avait un chat.
- Eh, Champlouigi, il y a un chat
- Et alors ?, s'agaça celui-ci, sans doute celui du concierge, t'occupes, c'est inoffensif, je suis sûr qu'il est en train de débusquer des souris.
- Ou des champignons.
- Arrête de te morfondre et laisse-moi tranquille, j'ai presque fini.
Mais Chy' continua d'observer le chat, celui-ci avait un drôle de comportement pour un simple chat. Le félin tournait la tête de droite à gauche, comme si il recherchait quelque chose, et d'un coup, il fixa intensément l'ex-champikamikaze, mais d'un regard rempli de haine et de détermination, cela mit mal à l'aise Chybabada, qui le fit remarquer à son camarade :
- Euh... Champlouigi ?
- Quoi ? J'ai bientôt fini, c'est bon.
- Nan mais le chat...
- M'en fous de ces abrutis d'animaux, tu veux devenir zoophile ou quoi ?
Soudain, le chat en question fonça à vive allure vers les deux champignons. Chybabada retourna brusquement le champiespion qui comprit enfin les inquiétudes de son compagnon :
- Mais qu'est-ce que...
Chybabada se prépara à frapper, mais le chat s'arrêta net devant eux, toujours avec ce regard haineux :
- Minou, minou, minou, tout deux mon gros, nous faisons que passer, dit calmement Champlouigi
- Chut, saleté de champignons, vous ne sortirez pas vivants de cette cave.
- ???!!!
- ???!!!
Le chat parlait, à la grande surprise des champignons...
Champlouigi et Chybabada s'arrêtèrent devant une porte :
- Tu crois que c'est celle là, la porte qui donne accès à la cave ?, demanda Champlouigi
- Ben j'en sais stricte... NAN MAIS TU TE MOQUES DE MOI ?, je te rappelle que c'est toi qui était censé connaître le plan du lycée par c½ur !, lui répondit agressivement son compère
- Ouais, ouais... Mais à vrai dire... J'ai oublié... Faut demander au chef... Maître ? Vous croyez que c'est là ?
Aucune réponse. Les deux champignons se retournèrent, leur chef ne les suivait plus. Champlouigi paniqua :
- Tu crois qu'il s'est fait prendre ?
- Euh... Tu sais, si quelqu'un aurait aperçu un champignon marcher tout seul, il aurait déjà prévenu tout le lycée... Nan mais tu le connais, il est sûrement en train de se moquer des élèves humains, il trouve ridicule leur façon de lever la main avant de pouvoir parler. Il trouve que c'est contraire à la liberté d'expression et que ça démontre l'infériorité des hommes
- Mouais..., répliqua l'espion, peu convaincu, tu sais, c'est un peu pareil entre lui et nous... C'est limite on doit rester muets...
- Toi, peut-être, se réjouit Chybabada, moi je peux dire tout ce que je veux !
- Ouais, ouais, allez, arrête de frimer et dis moi ce qu'on fait !
L'ex-champikamikaze haussa les épaules :
- On teste, de toute façon autant essayer, sinon on va tourner en rond pendant des heures et on a pas toute la journée !
Champlouigi ouvrit la porte, et essaya de regarder attentivement la pièce avant d'entrer. Mais Chybabada le devança, l'ouvrit carrément et entra à l'intérieur, Champlouigi le suivit, outré :
- Tu es trop kamikaze, Chy', il faut s'assurer qu'il n'y ait pas d'humains dans une pièce avant d'...
L'espion se stoppa, ils étaient au beau milieu... D'une cuisine, sûrement celle de la cantine, elle était bondée de cuisiniers qui préparaient le bon repas du midi. Ouais, je sais, fake, une cantine qui prépare des bons repas, cela n'existe pas.
Tout à coup, une cuisinière apparut devant eux :
- Eustache !? C'est toi qui a jeté mes champignons sur le sol devant la porte ?
- Mais tu crois que j'ai que ça à foutre, Francine ?, répondit une voix lointaine
- Mais c'est bizarre quand même, les champignons ne déplacent pas tout seul et puis...
- Bon, prépare-les et fait pas chier !, dit Eustache, violemment
Chybabada et Champlouigi se regardèrent, horrifiés, ils allaient se faire découper. Chybabada regarda son confrère avec l'air de dire « Que fait-on ? », de la même méthode, Champlouigi dit « Aucune idée ».
La dénommée Francine les posa tout deux sur une petite planche de bois. C'était la fin.
- Eugène, t'as pas où il est mon couteau ?
- Dans Ton C** !
- C'est bon, calme-toi, je vais en chercher un autre...
Et Francine s'éloigna, c'était le moment où jamais. Les deux champignons se regardèrent et d'un commun accord, ils bondirent de leur planche, foncèrent vers la porte, l'ouvrirent et la fermèrent, à la fois soulagés mais encore sous le choc d'être passé si proche de la mort. Ils entendirent à travers la porte :
- J'ai retrouvé mon beau couteau ! Mais ! Eugène ? C'est toi qui a piqué mes champignons ???
Et les deux chanceux s'éloignèrent de la porte de la cuisine, cela dit, ils imaginaient très bien la réponse du fameux Eugène, qui n'avait pas l'air d'avoir sa langue dans sa poche.
- Bon, qu'est-ce qu'on fait maintenant ?, demanda Chybabada, il est temps de s'activer...
- J'ai trouvé !, s'exclama le champiespion, tout excité, c'est là, la cave !
* * *
Les deux champignons trouvèrent la cave bien lugubre, ce sous-sol avait l'air de n'avoir aucune inutilité au sein du lycée. L'endroit n'était pas nettoyé et des poussières s'accumulaient. Chybabada et Champlouigi descendirent l'escalier qui les emmena bien en profondeur dans les entrailles du lycée grâce à une torche. Alors qu'ils s'attendaient à trouver une vaste pièce vide, il n'en fut rien, certes, le centre de la pièce était vide, mais on ne voyait pas les murs, en effet, des étagères occupaient tout l'espace, sur ces étagères, il y avait de tout, des documents inutilisés, des vieux manuels scolaires, des ballons crevés et même une expérience de chimie, une sorte de volcan.
Les deux choldats n'y prêtèrent guère attention, ils posèrent directement la bombe là où leur chef leur avait indiqué, c'est-à-dire au milieu de la pièce.
Chybabada appuya sur le bouton rouge vif du cube de fer, le cube se métamorphosa en bombe super-sophistiqué. Le champi d'élite le passa au champiespion. Celui-ci la posa et commença à la bidouiller pour bien la régler.
- Miaouuu
Chybabada, qui regardait les étagères pendant que son compagnon réglait la bombe, sursauta et se retourna brusquement, il y avait un chat.
- Eh, Champlouigi, il y a un chat
- Et alors ?, s'agaça celui-ci, sans doute celui du concierge, t'occupes, c'est inoffensif, je suis sûr qu'il est en train de débusquer des souris.
- Ou des champignons.
- Arrête de te morfondre et laisse-moi tranquille, j'ai presque fini.
Mais Chy' continua d'observer le chat, celui-ci avait un drôle de comportement pour un simple chat. Le félin tournait la tête de droite à gauche, comme si il recherchait quelque chose, et d'un coup, il fixa intensément l'ex-champikamikaze, mais d'un regard rempli de haine et de détermination, cela mit mal à l'aise Chybabada, qui le fit remarquer à son camarade :
- Euh... Champlouigi ?
- Quoi ? J'ai bientôt fini, c'est bon.
- Nan mais le chat...
- M'en fous de ces abrutis d'animaux, tu veux devenir zoophile ou quoi ?
Soudain, le chat en question fonça à vive allure vers les deux champignons. Chybabada retourna brusquement le champiespion qui comprit enfin les inquiétudes de son compagnon :
- Mais qu'est-ce que...
Chybabada se prépara à frapper, mais le chat s'arrêta net devant eux, toujours avec ce regard haineux :
- Minou, minou, minou, tout deux mon gros, nous faisons que passer, dit calmement Champlouigi
- Chut, saleté de champignons, vous ne sortirez pas vivants de cette cave.
- ???!!!
- ???!!!
Le chat parlait, à la grande surprise des champignons...