La salle était aussi froide que l'atmosphère. Seul mon z chaud réchauffait mon corps. Je feuillette le carnet où sont répertoriés les nouveaux arrivants décédés. J'etais moins stressé, il n'y avait ni camera, ni alarme, j'etais seul avec Lucie. Du moins dans très peu de temps.
Dans très peu de temps car il fallait que je me dépêche. Après 24h, le cadavre devenait innattaquable, êxtremement rigide et il était difficile d'écarter les jambes. Je trouve Lucie dans la liste, elle est dans le casier numéro 45b. Je me déboutonne mon jean et en caleçon, je cherche l'allée b et le casier où repose Lucie. Cette pute, elle va prendre cher.

Je cherche rapidement dans les allées et je trouve finalement le casier de Lucie. Sur l'étiquette est marqué au fluo rouge Lucie Leroy. Ma bien-aimée... je me branle lentement avant d'ouvrir le tiroir mortuaire pour sortir le cadavre. Le Z de plus en plus chaud et dur, je sors doucement le casier qui se deroule sur 2 metres dans l'allée.

Sur Lucie, un drap blanc cache son corps. Ses pieds dépassent de mon côté. Je commence à caresser ses pieds délicatement, en passant entre les orteils avec mon doigt. C'est froid. Mais c'est Lucie, alors ca ne me dérange pas. Au contraire. Je continue en m'emparant de ses plantes de pied et je me frotte le penis contre elles par dessus le caleçon. Putain, quelle salope. Je suis excité comme une bête. Finalement, je baisse au fur et à mesure le drap qui la recouvre, découvrant son 90b et ses mamelons durs et bleués.