Note de la fic : Non notée
Publié le 19/08/2013 à 01:18:03 par Pseudo supprimé
Finalement soirée sur la plage. La fête commence bien, tranquille, avec un peu de musique zen (Air 100.000Hz Legend). Nous sommes 5 : Justine, Sam, Jeff, Laure et son copain. Je profite de Radian, la douce mélodie se mélangeant aux roulements de la mer, au soleil se couchant doucement, aux rires francs et légers de mes amis, et à la présence silencieuse de Jeff. Je me serre un verre, puis en autre… De la vodka, du rhum (après la bière et la sangrilla bien sûr). L’alcool commence lentement à me monter à la tête, la nuit tombe, les contours deviennent flous, le monde tourne agréablement sous mes pieds.
Certaines personnes passent, nous rejoignent, dansent, boivent… La fête bat son plein. D’autres personnes venant d’autres endroits, pour d’autres raisons se retrouvent finalement à partager la même bouteille de champagne. Je ne sais pas comment j’ai atterri là, autour de moi une vingtaine de personnes chantent et rient ensembles. Moi j’observe. Ou du moins, j’essaye. C’est moi qui ai la musique (ipod + baffles). Je décide donc de mettre quelque chose de plus énergique, de plus joyeux, de plus festif. Je déverrouille donc ma pomme, la lumière me vrille les yeux, il est minuit. Mon choix brumeux se porte sur du Boys Noize. Je monte le son à fond, emportée par la musique je me mets à danser dans le sable, certaines personnes ayant reconnu la musique viennent me rejoindre. Une sorte de danse effrénée commence, les corps se serres, s’éloignent… Je tombe plusieurs fois dans le sable, me relevant brièvement avec l’aide de mes nouveaux compagnons. La boisson circule, l’alcool coule dans ma gorge, dans mes veines, sur le sable, dans la mer…
Les vagues viennent me heurter. J’entends des cris et des rires. Je sens le parfum de Jeff près de moi. On me soulève. Je me sens apaisée pas ce délicieux mélange d’iode et de ses lèvres. Il me met une serviette sur le dos et me frotte énergiquement. Tremblante, je me serre contre lui. Nous restons ainsi quelques temps puis je partie en courant. Pourquoi ? Parce que courir ivre est une des meilleure choses que je connaisse. Cette sensation de vol, de liberté, de puissance est simplement génialissime. Et la chute est sans douleur.
Je retourne donc près du centre d’ébullition. Pourquoi ébullition ? Parce que ce sont tous de grosses bulles. Des bulles qui bougent puis explosent. Comme avant de manger des pates. Je vais m’assoir avec ces bulles donc. En faite non. Je m’écroule sur une bulle mâle, à en juger par ses cheveux.
John. Comme John Lennon. Il faisait sûrement parti des Beatles dans une autre vie. Ses cheveux mi-longs et bouclés étaient vraiment doux, ses lunettes lui donnaient un air plutôt timide et réservé. Il embrassait divinement bien, nos lèvres se trouvaient et se retrouvaient sans cesse, un peu plus fort, un peu plus chaudes. Nos corps brûlants étaient parcourus de frissons.
Des successions d’images passent. Une chute dans le sable, un baisé avec Beatles, une porte, un lit. Voilà.
Tout est plus net, malgré la pénombre de la chambre, je sens parfaitement sa peau lisse sous mes doigts, ses lèvres parcourir mon corps, faisant naitre des frissons de plaisir. Nos esprits embrumés par l’alcool rendent nos mouvements légèrement désordonnés. L’excitation monte, nous nous retrouvons rapidement nus.
Déclique. Tout se brouille, mes sensations, mes désirs, mes ressentiments. Je suis à sa merci, il joue avec mon corps. Je m’abandonne totalement à lui, vibrante de plaisir, profitant de la moindre seconde, minute, heure ?
Il fait chaud, très chaud. Je sens une fine pellicule de sueur sur sa douce peau. Sur la mienne aussi sûrement, mais ça, je m’en moque.
Je suis sur le balcon, avec d’autres personnes, après avoir fait un petit tour sur la plage. J’ai un peu décuvée, sans vomir (je vomis jamais). Un verre d’eau m’attendait, un beau verre. Plein d’eau fraiche. Je le bu d’une traite. Le liquide coulait agréablement dans ma gorge, sans la bruler. J’aime l’eau.
Le jour commence à se lever. Je m’assis donc dans le sable pour voir l’astre en fusion monter dans le ciel. Mes yeux se ferment tous seuls. Finalement je suis bien dans le sable, et je suis fatiguée, très fatiguée. Oui, je vais dormir un peu.
Certaines personnes passent, nous rejoignent, dansent, boivent… La fête bat son plein. D’autres personnes venant d’autres endroits, pour d’autres raisons se retrouvent finalement à partager la même bouteille de champagne. Je ne sais pas comment j’ai atterri là, autour de moi une vingtaine de personnes chantent et rient ensembles. Moi j’observe. Ou du moins, j’essaye. C’est moi qui ai la musique (ipod + baffles). Je décide donc de mettre quelque chose de plus énergique, de plus joyeux, de plus festif. Je déverrouille donc ma pomme, la lumière me vrille les yeux, il est minuit. Mon choix brumeux se porte sur du Boys Noize. Je monte le son à fond, emportée par la musique je me mets à danser dans le sable, certaines personnes ayant reconnu la musique viennent me rejoindre. Une sorte de danse effrénée commence, les corps se serres, s’éloignent… Je tombe plusieurs fois dans le sable, me relevant brièvement avec l’aide de mes nouveaux compagnons. La boisson circule, l’alcool coule dans ma gorge, dans mes veines, sur le sable, dans la mer…
Les vagues viennent me heurter. J’entends des cris et des rires. Je sens le parfum de Jeff près de moi. On me soulève. Je me sens apaisée pas ce délicieux mélange d’iode et de ses lèvres. Il me met une serviette sur le dos et me frotte énergiquement. Tremblante, je me serre contre lui. Nous restons ainsi quelques temps puis je partie en courant. Pourquoi ? Parce que courir ivre est une des meilleure choses que je connaisse. Cette sensation de vol, de liberté, de puissance est simplement génialissime. Et la chute est sans douleur.
Je retourne donc près du centre d’ébullition. Pourquoi ébullition ? Parce que ce sont tous de grosses bulles. Des bulles qui bougent puis explosent. Comme avant de manger des pates. Je vais m’assoir avec ces bulles donc. En faite non. Je m’écroule sur une bulle mâle, à en juger par ses cheveux.
John. Comme John Lennon. Il faisait sûrement parti des Beatles dans une autre vie. Ses cheveux mi-longs et bouclés étaient vraiment doux, ses lunettes lui donnaient un air plutôt timide et réservé. Il embrassait divinement bien, nos lèvres se trouvaient et se retrouvaient sans cesse, un peu plus fort, un peu plus chaudes. Nos corps brûlants étaient parcourus de frissons.
Des successions d’images passent. Une chute dans le sable, un baisé avec Beatles, une porte, un lit. Voilà.
Tout est plus net, malgré la pénombre de la chambre, je sens parfaitement sa peau lisse sous mes doigts, ses lèvres parcourir mon corps, faisant naitre des frissons de plaisir. Nos esprits embrumés par l’alcool rendent nos mouvements légèrement désordonnés. L’excitation monte, nous nous retrouvons rapidement nus.
Déclique. Tout se brouille, mes sensations, mes désirs, mes ressentiments. Je suis à sa merci, il joue avec mon corps. Je m’abandonne totalement à lui, vibrante de plaisir, profitant de la moindre seconde, minute, heure ?
Il fait chaud, très chaud. Je sens une fine pellicule de sueur sur sa douce peau. Sur la mienne aussi sûrement, mais ça, je m’en moque.
Je suis sur le balcon, avec d’autres personnes, après avoir fait un petit tour sur la plage. J’ai un peu décuvée, sans vomir (je vomis jamais). Un verre d’eau m’attendait, un beau verre. Plein d’eau fraiche. Je le bu d’une traite. Le liquide coulait agréablement dans ma gorge, sans la bruler. J’aime l’eau.
Le jour commence à se lever. Je m’assis donc dans le sable pour voir l’astre en fusion monter dans le ciel. Mes yeux se ferment tous seuls. Finalement je suis bien dans le sable, et je suis fatiguée, très fatiguée. Oui, je vais dormir un peu.