Note de la fic : Non notée
Publié le 19/08/2013 à 01:17:39 par Pseudo supprimé
Mon nom, Lancelot Fraezh, très banal je sais. Aujourd'hui, notre prof de lettres organise une sortie dans la forêt de Brocéliande, autant vous dire que même si on va rien glander, j'ai pas spécialement hâte d'y être ...
L'intérêt est assez faible, en plus de ça.
Etudier la légende d'Arthur, on a déjà fait ça en cinquième. Enfin bon, ça peut être intéressant !
Neuf heures, dix minutes. On monte dans le car, je vais m'asseoir à côté de Kévin, un ami de lycée.
C'est assez amusant, on fait exactement la même taille et le même poids (1m80 pour 60 kilos) et nos yeux sont de la même couleur (vert), mais à part ça on ne se ressemble pas du tout.
Avant on se faisait souvent des games de LoL, mais maintenant on a plus trop le temps avec la fac ...
C'était le bon temps, les années lycée, quand on traînait encore sur les forums de jeuxvideo.com, mais on n'a plus les mêmes priorités maintenant.
Bref, tout ça pour dire qu'on s'est assis pas loin du fond, à côté de la vitre.
On parle de sujets banaux : Les filles, la musique, la fac ...
Dix heures, vingt minutes. On est arrivés.
Monsieur Leconte, notre professeur de français nous a demandé si nous connaissions la raison de cette sortie.
La voix grave de Kévin se fit entendre :
- Non, mais on va le savoir.
- Nous voulions juste vous offrir une journée de repos, expliqua-t-il, vous avez quartier libre du moment que vous ne vous éloignez pas trop du groupe. On va faire une randonnée et faire une pause toutes les heures.
Inutile de dire que toute la classe s'est sentie soulagée.
Onze heures et demie.
- On va faire une pause par ici, ne vous éloignez pas trop.
Kévin me fit signe de le suivre.
- Qu'est-ce qu'il y a ?
- As-tu déjà entendu parler des larmes de korrigans ? Me demanda-t-il ?
- Non, qu'est-ce que c'est ?
- Des larmes de korrigans.
- Oh, vraiment ? Blaguais-je.
- Il arrive que des korrigans versent une larme, m'expliqua-t-il, si elle tombe sur un objet, il se trouve enchanté, et plus les siècles passent, plus ses pouvoirs augmentent.
- Intéressant ... Mais je ne vois pas où tu veux en venir.
- Il y aurait dans cette forêt un bâtiment abandonné contenant un de ces objets, et je voudrais qu'on parte à sa recherche.
- Est-ce vraiment une bonne idée de s'éloigner ?
- Lancelot, fais moi confiance.
- Je sais pas si je devrais, vu ton sens de l'orientation, plaisantais-je.
- Regarde ça, dit-il en pointant du doigt un insecte ressemblant comme deux gouttes d'eau à une balle de Quiddich miniature.
Une sorte de petite boule dorée avec des ailes minuscules qui battent à une vitesse les rendant peu visible.
- Si on s'en approche, il s'éloigne, et ce toujours dans la même direction, à mon avis ça doit bien mener quelque part ...
- Bon, on y va ?
Nous courûmes après la balle de Quiddich miniature, et nous manquâmes à plusieurs reprises de trébucher dans des ronciers ou de tomber dans des orties, ça me rappelle quand nous étions en primaire et que nous courions dans les bois comme des dératés, j'aime bien avoir l'esprit envahi par ce genre de souvenirs.
Bref, tout ça pour dire que nous sommes arrivés devant un vieux puits dans lequel notre petit camarade volant a plongé, à son contact avec l'eau, une puissante lumière s'est échappée du puits.
- Il y a une cabane là bas, fis-je remarquer à Kévin.
- J'ai vu ça, on y entre ?
- Non, non, on va rester là à observer la chèvre jusqu'à demain matin.
- Je prends ça pour un oui.
- Tu fais bien, j'y serais allé sans toi sinon, qui sait, peut-être qu'on y trouvera quelque chose de valeur !
L'intérêt est assez faible, en plus de ça.
Etudier la légende d'Arthur, on a déjà fait ça en cinquième. Enfin bon, ça peut être intéressant !
Neuf heures, dix minutes. On monte dans le car, je vais m'asseoir à côté de Kévin, un ami de lycée.
C'est assez amusant, on fait exactement la même taille et le même poids (1m80 pour 60 kilos) et nos yeux sont de la même couleur (vert), mais à part ça on ne se ressemble pas du tout.
Avant on se faisait souvent des games de LoL, mais maintenant on a plus trop le temps avec la fac ...
C'était le bon temps, les années lycée, quand on traînait encore sur les forums de jeuxvideo.com, mais on n'a plus les mêmes priorités maintenant.
Bref, tout ça pour dire qu'on s'est assis pas loin du fond, à côté de la vitre.
On parle de sujets banaux : Les filles, la musique, la fac ...
Dix heures, vingt minutes. On est arrivés.
Monsieur Leconte, notre professeur de français nous a demandé si nous connaissions la raison de cette sortie.
La voix grave de Kévin se fit entendre :
- Non, mais on va le savoir.
- Nous voulions juste vous offrir une journée de repos, expliqua-t-il, vous avez quartier libre du moment que vous ne vous éloignez pas trop du groupe. On va faire une randonnée et faire une pause toutes les heures.
Inutile de dire que toute la classe s'est sentie soulagée.
Onze heures et demie.
- On va faire une pause par ici, ne vous éloignez pas trop.
Kévin me fit signe de le suivre.
- Qu'est-ce qu'il y a ?
- As-tu déjà entendu parler des larmes de korrigans ? Me demanda-t-il ?
- Non, qu'est-ce que c'est ?
- Des larmes de korrigans.
- Oh, vraiment ? Blaguais-je.
- Il arrive que des korrigans versent une larme, m'expliqua-t-il, si elle tombe sur un objet, il se trouve enchanté, et plus les siècles passent, plus ses pouvoirs augmentent.
- Intéressant ... Mais je ne vois pas où tu veux en venir.
- Il y aurait dans cette forêt un bâtiment abandonné contenant un de ces objets, et je voudrais qu'on parte à sa recherche.
- Est-ce vraiment une bonne idée de s'éloigner ?
- Lancelot, fais moi confiance.
- Je sais pas si je devrais, vu ton sens de l'orientation, plaisantais-je.
- Regarde ça, dit-il en pointant du doigt un insecte ressemblant comme deux gouttes d'eau à une balle de Quiddich miniature.
Une sorte de petite boule dorée avec des ailes minuscules qui battent à une vitesse les rendant peu visible.
- Si on s'en approche, il s'éloigne, et ce toujours dans la même direction, à mon avis ça doit bien mener quelque part ...
- Bon, on y va ?
Nous courûmes après la balle de Quiddich miniature, et nous manquâmes à plusieurs reprises de trébucher dans des ronciers ou de tomber dans des orties, ça me rappelle quand nous étions en primaire et que nous courions dans les bois comme des dératés, j'aime bien avoir l'esprit envahi par ce genre de souvenirs.
Bref, tout ça pour dire que nous sommes arrivés devant un vieux puits dans lequel notre petit camarade volant a plongé, à son contact avec l'eau, une puissante lumière s'est échappée du puits.
- Il y a une cabane là bas, fis-je remarquer à Kévin.
- J'ai vu ça, on y entre ?
- Non, non, on va rester là à observer la chèvre jusqu'à demain matin.
- Je prends ça pour un oui.
- Tu fais bien, j'y serais allé sans toi sinon, qui sait, peut-être qu'on y trouvera quelque chose de valeur !