Chapitre 6 : Sur la route de Caen ! Ou pas ...


7 juillet 1944, dans une Jeep, sur la Route de Caen. Rapport de bataille. La Bataille fait rage entre les Troupes Allemandes et les Chars Britanniques. L'Etat-major demande alors aux Etats-unis d'intervenir eux aussi. Soucieux de garder une reserve en cas de contre-attaque Allemande, elle dépèche deux division de chars et une division des Sections D'Assauts. La 5 division Blindée du Texas, et la 18 de l'Arkansas, supporté par la 72 eme unité spéciale d'infanterie, l'Unité Coca-Vodka...

Radio : Sergent ?

Sergent : Oui, Caporal ?

Radio : L'unité Coca-Vodka, c'est celle d'Utah beach non ?

Sergent : Oui Caporal, pourquoi ?

Radio : Vous savez quant ils doivent arriver ?

Sergent : Oui Caporal

Radio : Vous me pretez votre Femme ?

Sergent : Oui Caporal.... Hey, je suis votre Supérieur, compris ?

Radio : Oui Sergent.

La Jepp continua sa route, et s'arreta au camp Ouest. Ici venaient s'approvisionner les nouvelles Troupes. L'Agitation était palpable. L'Assaut allait etre donné dans l'Après-midi, en pleine digestion. Et nos Héros quant a eux venaient tout juste de débarquer

Jordan : Pourquoi je porte toujours les affaires de tout le monde ?

Lage : Parce que tout le monde te supporte

Gole : Car nous etres Hommes Vrais et Femmes s'occuper toujours d'Affaires des Hommes en Tchétchénie.

Jordan : Alors, jte rendrais ton rouge a Lèvres

Jo : Chez nous, on appelle ça pain de dynamite

Jordan : Et ça, c'est de l'eau de Cologne a la pomme peut-ètre XD ?

Le Radio sortit alors du sac de Gole un récipient rempli d'un liquide verdatre. Et se mit a le secouer, avec un grand sourire, certain de sa victoire dans cette joute verbale. Enfin, il avait réussi a s'épanouir. Dans son euphorie, il n'avait sans doute pas remarqué que la Troupe s'était retranchée derrière les Sacs de Sable non loin de la et que sur le Flacon d'eau de Cologne, il y avait marqué Nitroglycérine. Un détail certes, mais qui a son importance, a vu du litre présent dans le Récipient cité plus haut...

Après une heure d'âpres négociations avec Jordan, le Radio posa tranquillement la nitro sous les menaçes de Gole et le repas pu commencer paisiblement autour d'un feu de camp allumer par Lage avec la vodka du Tchétchéne, ce dernier ne parlant plus a Lage et l'accuse d'avoir commis un crime, le menaçe de lui exploser la gueule (comme il la si bien dit) avec ce que Jordan appelle de l'eau de Cologne a la pomme. Ils se mirent donc a manger calmement, surtout Lage que le Tchétchéne ne se quittaient toujours pas des yeux :

Gole : Moi mourir pour pays a moi

Jordan : Moi j'veux pas crever !

Alex : Gole ?

Gole : Oui ?!?

Alex : C'est ta bouffe qui va nous crever si tu continus à cuisiner comme ça !

Lage : Non, moi j'aime !

Alex : Forcement dès que y'a de la vodka ...

Jo : C'est vrai que c'est pas terrible, et en plus je crois que ça a donner la chiasse à Jordan.

Jordan : Pas vrai !! Qui c'est qu'a du papier ???

Après un repas copieux ...

Alex : Copieux ?!? Non mais sa va pas !

Bon, après ce repas, vint l'heure ou Gole, comme le veut la tradition tchétchéne, sortit la vodka.

Jo : Tu croit pas que t'en a assez bu ? C'est la sixièmes bouteille depuis le debut du dessert !

Gole : Non ! Tradition c'est tradition ! Et puis toi avoir bu 12 bouteilles de boisson noire

Jo : Cette boisson noire comme tu dis, c'est Coca-Cola. Avec cette boisson la, je serais capable d'envoyer des messages par la pensée. Avec elle, il me pousse des ailes et je ne tombe jamais malade. Pour elle, je pourais faire tomber tout les Régimes Fascites du monde d'un simple revers de la main....

Pendant ce temps, Lage, discrétement, profitait que Jo et le Tchétchéne se disputaient sur cette histoire de vodka, pour tenter de piquer une bouteille dans la réserve du Géant. Ce dernier l'ayant remarqué, regarda Lage et fit un mouvement horizontal avec son pouce au niveau de sa gorge. Le mitrailleur voulut alors lui faire remarquer qu'il ne possédait aucune arme contendante mais seulement, comme tout bon tchétchéne, une mitraillette, trois pistolets, cinq douzaines de grenade, et j'en passe, et qu'avec ces babioles, il est impossible de couper le cou à quelqu'un. Mais Lage préféra ne rien dire.

Après une courte sieste bien méritée, la Troupe se prépara pour l'assaut. Il fallait prendre Caen, dernier rempart de la défense de la cote. L'Artillerie bombardait les poches de Résistance, sans succés. Dans leurs Bunkers, les Boches s'étaient cachés. Car malgré le fait qu'ils soient blonds aux yeux bleux, rationnés et coupés de tout soutien, ils savaient que la 72 eme était pas loin.







... [Chapitre en construction]