Note de la fic : Non notée
Publié le 19/08/2013 à 01:16:52 par Pseudo supprimé
J'ai mis une partie de ce texte sur Suicide Note.
Ce texte parle en grande partie du cannabis, des sensations qu'il donne.
C'était comme une impression de déjà vu. S'égarer dans un néant plus que total. Un monde à part, innommé, innommable.
Rien de nouveau, la chimère d'un monde meilleur est une habitude à ne pas prendre. Mais celle-ci est, au fond, dans chacun d'entre nous. Nous pouvons alors nous demander : pour savoir une folie de trop faut-il la faire ?
Quand la réalité nous échappe, quand nos songes nocturnes ne sont qu'égarés, que doit-on faire ?
Penser ? Imaginer ? Réfléchir ? Agir ?
Plus rien n'a de sens. Ceci est un peu comme un "suicide sensoriel".
On ne ressent plus rien, du moins nos cinq sens disparaissent le temps d'un instant pour laisser place à un sixième. Celui-ci est aussi utopique que fugace. Personne n'arrive parfaitement à atteindre le même dans de tels moments. Il en existe une infinité dans cet univers ne rimant à rien.
Si on y réfléchit, rien ne rime à rien.
Chacun crée sa propre routine accompagnées de futiles habitudes. De cette façon l'Homme se protège de sa hantise incurable du lendemain. Une vie donc monotone puisque les jours de suivent et se ressemblent.
Il est d'ailleurs impossible de tout changer. Nous sommes prisonniers de notre propre vie.
On ne peut pas réellement tracer son destin mais se contenter d'aider son chemin à se dessiner devant ses yeux.
Espérer une vie nouvelle...
Ce texte parle en grande partie du cannabis, des sensations qu'il donne.
C'était comme une impression de déjà vu. S'égarer dans un néant plus que total. Un monde à part, innommé, innommable.
Rien de nouveau, la chimère d'un monde meilleur est une habitude à ne pas prendre. Mais celle-ci est, au fond, dans chacun d'entre nous. Nous pouvons alors nous demander : pour savoir une folie de trop faut-il la faire ?
Quand la réalité nous échappe, quand nos songes nocturnes ne sont qu'égarés, que doit-on faire ?
Penser ? Imaginer ? Réfléchir ? Agir ?
Plus rien n'a de sens. Ceci est un peu comme un "suicide sensoriel".
On ne ressent plus rien, du moins nos cinq sens disparaissent le temps d'un instant pour laisser place à un sixième. Celui-ci est aussi utopique que fugace. Personne n'arrive parfaitement à atteindre le même dans de tels moments. Il en existe une infinité dans cet univers ne rimant à rien.
Si on y réfléchit, rien ne rime à rien.
Chacun crée sa propre routine accompagnées de futiles habitudes. De cette façon l'Homme se protège de sa hantise incurable du lendemain. Une vie donc monotone puisque les jours de suivent et se ressemblent.
Il est d'ailleurs impossible de tout changer. Nous sommes prisonniers de notre propre vie.
On ne peut pas réellement tracer son destin mais se contenter d'aider son chemin à se dessiner devant ses yeux.
Espérer une vie nouvelle...