Note de la fic : Non notée
VDM_-_La_chasse_aux_ami(e)s
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 2 : Ma VDM empire
Publié le 19/08/2013 à 01:16:30 par Pseudo supprimé
Je m'assis a l'arrière véhicule, devant mon amis agonisant de douleur peut-être même inconscient, j'essayais de l'appeler mais il ne répondais pas.
Je sentais que le trajet était horriblement lent, Je réfléchissais à ma difficulté d'avoir des amis, je me sentais presque comme un autiste qui évitais les gens, mais au contraire je voulais absolument tisser des liens avec des autres, mais hélas je n'était pas doué a ça voir même extrêmement nul, et je voyais tout mes rêves d'amitier s'envoler a travers ce pauvre Francis, et si il ne s'en sortais pas ? J'allais être condamné a non pas rester seul cette année là, mais a rester seul cette vie là, je me sentais tourmenté par cette idée, j'avais peur de rester seul, je voulais servir a quelque chose et l'aider, mais je ne connaissait pas une seul molécule en médecine, je regardais les infirmiers qui était présent, je leur demandais la première et logique question qui m'est passé par la tête :
-Il est .... euh encore en vie n'est-ce pas ?
-Pour l'instant, nous faisons de notre mieux pour l' y maintenir.
Comment ça pour l'instant ? Connerie d'infirmier, je sentais mes yeux fondre en larmes, ma vu deviens de plus en plus flou, je sentais mes forces me quitter, j'avais vraiment perdu gout a la vie, et puis nous arrivâmes enfin à l'hôpital .
Ne pouvant pas m'empêcher d'être impressionné par l'imposante taille de cet hôpital, je suivis les infirmiers qui transportais Francis.
Mes peurs furent bien placés, il allais être isolé jusqu'à ce que le docteur l'examine, pendant ce temps,on m'a interdit l'entrée a ça chambre, et j'étais prié de rester dans la salle d'attente.
L'hôpital est un endroit qui me dégoutais depuis l'enfance, déjà que je ne l'aimais pas trop vu que j'y passais ma vie tellement je me cassais les bras et les pieds, mais jamais la tête, et ce que je vis dans la salle d'attente ne fait qu'intensifier mes dégout envers son égard, Les handicapés était tout ce qu'il y a de plus triste a voir, Les cancéreux était la plus part des enfants, je pouvais voir leur regard vide et inanimé a travers les vitres, après réflexion je leur ressemble enfaite, moi aussi je suis enfermé dans mon monde a moi, tout le monde m'évitait, a part Francis qui était enfaite dans le même cas, mais le voila isolé dans une salle qui devais décider de son sort, et du mien aussi en quelque sorte.
Je continuais à me torturer l'esprit, jusqu'à ce que je vis le même infirmier qui était dans l'ambulance se diriger vers moi, j'avais peur de ça réponse, mais il était arriver alors je me lève et vois son regard désolé, je commençais a comprendre que la situation ne m'est pas très favorable, mais avant que je ne puisse dire quoi que ce soit il me dit :
-Son état est plutôt stable, mais la n'est pas le problème, le docteur est inquiète des conséquences que cet impacte pourrait avoir sur ses facultés mentales, dans le pire des cas il pourrait perdre la faculté de parler et regarder car le coup a été trop proche du tronc cérébrale.
Ses mots me choquèrent de plus en plus, lui il avais les mots pour me choquer, et moi je ne les avais pas pour décrire ce qui se passe dans ma petite tête, en gros je me sentais .....
Rien à faire mes pensées dépassent l'étendu de mon grammaire pourtant pas si limité que ça, j'avais vraiment envie de mettre fin a mes insignifiants jours, perdre un ami est une chose, mais se rendre compte que l'on viens de perdre tout ce qui nous restais en est une autre bien plus profonde.Je déprimais totalement, et j'avais envie de crier le plus fort que me le permet ma gorge quitte a y laisser quelque corde vocales, mais cela n'allais pas m'aider ni aider Francis.
-Je peux aller le voir au moins ?
-Il est pour l'instant sans conscience, mais il bien en vie c'est le principale.
En vie mon cul oui, à quoi lui servira de de vivre si ce n'est qu'en tant que légume ? Quoi qu'il en soit, je retourne chez moi.... une seconde mais oui, j'ai cours l'après midi et merde il est 13h c'est pas encore mort je peux y arriver, je remercie cet infirmier et pars a toute allure vers l'arrêt de bus.
En mettant de côté la foule présente, les sièges inconfortable, et les prix plus qu'élevé, je peux dire que le bus que j'ai pris et pas mauvais
Arriver juste devant le lycée ( quelle chance ) Je vois déjà que la port est fermé Owned, mais je n'était pas seul, je pouvais voir une fille qui léchais le cul au gardien pour ouvrir la porte alors je me joint a elle :
-S'il vous plais, soyez gentil, ne me privez d'entrer disais-elle.
-Ouais aller, on fait appelle a votre bonté d'âme.et je rajoute on recommencera pas alors donnez nous une seconde chance
Une seconde après, il ouvre la porte, j'avoue que c'était plutôt facile, je dirige mon regard vers la fille et je vois ces yeux rouges pleins de larmes, chaud donc elle pleure volontairement pour l'obliger a ouvrir ? Pas bête ça a des avantages d'être une fille
-Merci ... Sans ta comédie on aurai été dans l'impasse
-Ouais j'avoue que ça deviens facile de les convaincre avec des yeux humide
-Et je peux savoir ton nom ?
-T'as qu'a m'appeler Laurine mais tu devrais connaitre mon prénom
-Ah ouais et pourquoi ? + Laurine ? mais c'est laid... euh je veux dire ouais ça peut aller comme prénom (C'est pour ça que je suis toujours seul )
-....
-Je suis désolé ...
-Mouais, bon moi je vais a ma classe
Je ferait mieux de m'y diriger aussi hein, je marche vers ma classe et elle me suis, elle continu de me suivre c'était flippant pendant un moment.Une fois devant la port, elle est toujours la entrain de me coller alors je lui dit :
-Bon tu m'dit pourquoi tu suis chacun de mes pas ?
-Je te suis pas, je suis venu a ma classe
-Attends, tu veux dire qu'on est dans la même classe ?
-Parce qu'en plus de m'insulter, tu te rapelle même pas m'avoir croisé ce matin ? je t'ai même salué mais tu m'a pas répondu, tu étais plangéé dans tes pensées je suppose, t'es franchement désagréable et vantard, je veux plus te voir .
-Attends je suis désolé je ... et merde pourquoi je peux pas avoir une conversation normal sans embrouille ? c'est franchement décourageant.
Je rentre en classe, le prof est pas encore venu coup de bol, je repense a mon ami suspendue dans un lit d'hôpital, mon moral en prend un sale coup, je plonge une nouvelle fois dans mes pensées, ma vie prend une tournure très triste, plus triste tu meurs je suppose.
Le prof entre et on entame l'après-midi avec des maths, et on la clos avec une heure de Français on ne peux plus chiante
En route vers chez moi, j'aperçois encore cette fille au mauvais caractère, je veux engager la conversation mais elle m'évite clairement et entre chez elle, OMG c'est notre voisine, et je n'en sais rien, c'est pour ça qu'elle disait que je devrais connaitre son prénom chaud c'est de pire en pire.
Je rentre chez moi, je salue ma famille, je rentre directe dans ma chambre, "clic...clic" le son de l'interrupteur de lumière mais FFFUUUUU il n'y a pas de courant
Pas la possibilité d'allumer le PC ou la PS3, merde alors je prend alors mon portable qui me sert pas beaucoup en dehors de la famille et Francis .... merde ça me reviens il faut que j'aille le voir demain car là l'hôpital a surement clos les heurs de visites
Je veux pas sortir, il fait déjà noir et les nuages sont épais, et puis je ferai quoi dehors je serais aussi seul qu'ici .... je continuais a m'interroger sur ce que je vais faire, quand j'entendis ma mère m'appeler pour le diner, je sors de ma chambre et je me dirige vers la cuisine ou on se réuni pour manger, le courant reviens pendant que je me dirigeait la bas, et j'entendis une 4eme voix autre que celle de Père ou mère ou Dominik, elle m'était familière oui, avant d'entre dedans je gueule :
-Je savais pas que Nina venait aujourd'hui ..
-Non en effet mais je me suis dit que j'allais venir pour ton jour de rentrée.
Oups désolé, je vous doit quelque explications, elle c'est Nina ma grande soeur, elle est si cool qu'a chaque fois qu'elle viens j'oublie même de manger
C'est l'ainée de mes frères et soeurs, elle a 28 ans et elle est marié et vis chez son marie, je me place alors sur la chaise devant la table et commence a manger tout en parlant a Nina, Dominik au contraire restait calme, je le comprend, il avait 4 ans quand Nina s'est marié et donc il est plutôt timide, moi je me sentais déjà bien, elle a réussi a me redonner le moral, c'est vraiment un joker elle, elle me sortait toujours des pétrins depuis que j'étais petit et la encore elle m'aide super bien .
22h l'heur de dormir je lui souhaite bonne nuit a elle et a mes parents et je montre dans ma chambre, Domilik dors déjà ce noob et moi j'allais pas tarder.
Je sentais que le trajet était horriblement lent, Je réfléchissais à ma difficulté d'avoir des amis, je me sentais presque comme un autiste qui évitais les gens, mais au contraire je voulais absolument tisser des liens avec des autres, mais hélas je n'était pas doué a ça voir même extrêmement nul, et je voyais tout mes rêves d'amitier s'envoler a travers ce pauvre Francis, et si il ne s'en sortais pas ? J'allais être condamné a non pas rester seul cette année là, mais a rester seul cette vie là, je me sentais tourmenté par cette idée, j'avais peur de rester seul, je voulais servir a quelque chose et l'aider, mais je ne connaissait pas une seul molécule en médecine, je regardais les infirmiers qui était présent, je leur demandais la première et logique question qui m'est passé par la tête :
-Il est .... euh encore en vie n'est-ce pas ?
-Pour l'instant, nous faisons de notre mieux pour l' y maintenir.
Comment ça pour l'instant ? Connerie d'infirmier, je sentais mes yeux fondre en larmes, ma vu deviens de plus en plus flou, je sentais mes forces me quitter, j'avais vraiment perdu gout a la vie, et puis nous arrivâmes enfin à l'hôpital .
Ne pouvant pas m'empêcher d'être impressionné par l'imposante taille de cet hôpital, je suivis les infirmiers qui transportais Francis.
Mes peurs furent bien placés, il allais être isolé jusqu'à ce que le docteur l'examine, pendant ce temps,on m'a interdit l'entrée a ça chambre, et j'étais prié de rester dans la salle d'attente.
L'hôpital est un endroit qui me dégoutais depuis l'enfance, déjà que je ne l'aimais pas trop vu que j'y passais ma vie tellement je me cassais les bras et les pieds, mais jamais la tête, et ce que je vis dans la salle d'attente ne fait qu'intensifier mes dégout envers son égard, Les handicapés était tout ce qu'il y a de plus triste a voir, Les cancéreux était la plus part des enfants, je pouvais voir leur regard vide et inanimé a travers les vitres, après réflexion je leur ressemble enfaite, moi aussi je suis enfermé dans mon monde a moi, tout le monde m'évitait, a part Francis qui était enfaite dans le même cas, mais le voila isolé dans une salle qui devais décider de son sort, et du mien aussi en quelque sorte.
Je continuais à me torturer l'esprit, jusqu'à ce que je vis le même infirmier qui était dans l'ambulance se diriger vers moi, j'avais peur de ça réponse, mais il était arriver alors je me lève et vois son regard désolé, je commençais a comprendre que la situation ne m'est pas très favorable, mais avant que je ne puisse dire quoi que ce soit il me dit :
-Son état est plutôt stable, mais la n'est pas le problème, le docteur est inquiète des conséquences que cet impacte pourrait avoir sur ses facultés mentales, dans le pire des cas il pourrait perdre la faculté de parler et regarder car le coup a été trop proche du tronc cérébrale.
Ses mots me choquèrent de plus en plus, lui il avais les mots pour me choquer, et moi je ne les avais pas pour décrire ce qui se passe dans ma petite tête, en gros je me sentais .....
Rien à faire mes pensées dépassent l'étendu de mon grammaire pourtant pas si limité que ça, j'avais vraiment envie de mettre fin a mes insignifiants jours, perdre un ami est une chose, mais se rendre compte que l'on viens de perdre tout ce qui nous restais en est une autre bien plus profonde.Je déprimais totalement, et j'avais envie de crier le plus fort que me le permet ma gorge quitte a y laisser quelque corde vocales, mais cela n'allais pas m'aider ni aider Francis.
-Je peux aller le voir au moins ?
-Il est pour l'instant sans conscience, mais il bien en vie c'est le principale.
En vie mon cul oui, à quoi lui servira de de vivre si ce n'est qu'en tant que légume ? Quoi qu'il en soit, je retourne chez moi.... une seconde mais oui, j'ai cours l'après midi et merde il est 13h c'est pas encore mort je peux y arriver, je remercie cet infirmier et pars a toute allure vers l'arrêt de bus.
En mettant de côté la foule présente, les sièges inconfortable, et les prix plus qu'élevé, je peux dire que le bus que j'ai pris et pas mauvais
Arriver juste devant le lycée ( quelle chance ) Je vois déjà que la port est fermé Owned, mais je n'était pas seul, je pouvais voir une fille qui léchais le cul au gardien pour ouvrir la porte alors je me joint a elle :
-S'il vous plais, soyez gentil, ne me privez d'entrer disais-elle.
-Ouais aller, on fait appelle a votre bonté d'âme.et je rajoute on recommencera pas alors donnez nous une seconde chance
Une seconde après, il ouvre la porte, j'avoue que c'était plutôt facile, je dirige mon regard vers la fille et je vois ces yeux rouges pleins de larmes, chaud donc elle pleure volontairement pour l'obliger a ouvrir ? Pas bête ça a des avantages d'être une fille
-Merci ... Sans ta comédie on aurai été dans l'impasse
-Ouais j'avoue que ça deviens facile de les convaincre avec des yeux humide
-Et je peux savoir ton nom ?
-T'as qu'a m'appeler Laurine mais tu devrais connaitre mon prénom
-Ah ouais et pourquoi ? + Laurine ? mais c'est laid... euh je veux dire ouais ça peut aller comme prénom (C'est pour ça que je suis toujours seul )
-....
-Je suis désolé ...
-Mouais, bon moi je vais a ma classe
Je ferait mieux de m'y diriger aussi hein, je marche vers ma classe et elle me suis, elle continu de me suivre c'était flippant pendant un moment.Une fois devant la port, elle est toujours la entrain de me coller alors je lui dit :
-Bon tu m'dit pourquoi tu suis chacun de mes pas ?
-Je te suis pas, je suis venu a ma classe
-Attends, tu veux dire qu'on est dans la même classe ?
-Parce qu'en plus de m'insulter, tu te rapelle même pas m'avoir croisé ce matin ? je t'ai même salué mais tu m'a pas répondu, tu étais plangéé dans tes pensées je suppose, t'es franchement désagréable et vantard, je veux plus te voir .
-Attends je suis désolé je ... et merde pourquoi je peux pas avoir une conversation normal sans embrouille ? c'est franchement décourageant.
Je rentre en classe, le prof est pas encore venu coup de bol, je repense a mon ami suspendue dans un lit d'hôpital, mon moral en prend un sale coup, je plonge une nouvelle fois dans mes pensées, ma vie prend une tournure très triste, plus triste tu meurs je suppose.
Le prof entre et on entame l'après-midi avec des maths, et on la clos avec une heure de Français on ne peux plus chiante
En route vers chez moi, j'aperçois encore cette fille au mauvais caractère, je veux engager la conversation mais elle m'évite clairement et entre chez elle, OMG c'est notre voisine, et je n'en sais rien, c'est pour ça qu'elle disait que je devrais connaitre son prénom chaud c'est de pire en pire.
Je rentre chez moi, je salue ma famille, je rentre directe dans ma chambre, "clic...clic" le son de l'interrupteur de lumière mais FFFUUUUU il n'y a pas de courant
Pas la possibilité d'allumer le PC ou la PS3, merde alors je prend alors mon portable qui me sert pas beaucoup en dehors de la famille et Francis .... merde ça me reviens il faut que j'aille le voir demain car là l'hôpital a surement clos les heurs de visites
Je veux pas sortir, il fait déjà noir et les nuages sont épais, et puis je ferai quoi dehors je serais aussi seul qu'ici .... je continuais a m'interroger sur ce que je vais faire, quand j'entendis ma mère m'appeler pour le diner, je sors de ma chambre et je me dirige vers la cuisine ou on se réuni pour manger, le courant reviens pendant que je me dirigeait la bas, et j'entendis une 4eme voix autre que celle de Père ou mère ou Dominik, elle m'était familière oui, avant d'entre dedans je gueule :
-Je savais pas que Nina venait aujourd'hui ..
-Non en effet mais je me suis dit que j'allais venir pour ton jour de rentrée.
Oups désolé, je vous doit quelque explications, elle c'est Nina ma grande soeur, elle est si cool qu'a chaque fois qu'elle viens j'oublie même de manger
C'est l'ainée de mes frères et soeurs, elle a 28 ans et elle est marié et vis chez son marie, je me place alors sur la chaise devant la table et commence a manger tout en parlant a Nina, Dominik au contraire restait calme, je le comprend, il avait 4 ans quand Nina s'est marié et donc il est plutôt timide, moi je me sentais déjà bien, elle a réussi a me redonner le moral, c'est vraiment un joker elle, elle me sortait toujours des pétrins depuis que j'étais petit et la encore elle m'aide super bien .
22h l'heur de dormir je lui souhaite bonne nuit a elle et a mes parents et je montre dans ma chambre, Domilik dors déjà ce noob et moi j'allais pas tarder.