Note de la fic : Non notée
Le_periple_de_Charlie_Woods
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 1 : Episode pilote
Publié le 19/08/2013 à 01:16:09 par Pseudo supprimé
:mac: ~ Le périple de Charlie Woods ~ :mac:
{Arrêt de la musique à la fin de : Il descendit et ouvrit les portes battantes avec calme.}
Un homme sur son cheval, seul dans le désert. Le vent s’écoula dans la crinière du beau cheval tout noir de cet aventurier. Le soleil tapait très fort sur le désert et fais transpirer cet homme qui siffla un petit air du coin. Il enleva son chapeau et se frotta la tête pour éliminer la transpiration qui s’accumule sur son cuir chevelu. Il le remet et recommença à siffler son air qu’il invente au fur et à mesure de son périple. Le cheval devait avoir très soif, car avouons le, le voyage de Amarillo jusqu’à Austin n’est pas le plus court. C’est l’histoire de Charlie Woods. Communément appelé Ace of Spades dans cette région. Pourquoi ce surnom ? Car à chacune de ses victimes, il pose une carte de jeu : un as de pique. Réputé pour être la bête noire des bandits, il est surtout connu pour ses talents au revolver et aux jeux. Au poker tout le monde dit qu’il triche mais n’ose pas le lui dire en face. Pourtant ce n’est pas un méchant, il est juste solitaire. Aucune compagnie avec lui si ce n’est Trèfle, son cheval. Un American standardbred qu’il aurait capturé tout seul à El paso, et ses deux Colt Peacemaker avec une gravure, c’est un Pique qui est dessus. Nous sommes en 1889, dans la petite ville d’Austin au Texas. Un homme au chapeau noir, un poncho de couleur sable et marron, une barbe de trois jours, des yeux noirs, un pantalon noir et des bottes marron foncé, déboula dans la ruelle. C’est ainsi que les habitants de ce qu’allait devenir la capitale du Texas, chuchote tout doucement le prénom de notre héros. Tout le monde avait peur, tout cela à cause de sa main droite qui est toujours posé sur son Colt. Il vit un saloon ou il attacha son cheval sur la barrière du bar. Il descendit et ouvrit les portes battantes avec calme. Le pianiste s’arrêta de jouer, les joueurs arrêtèrent leurs activités, et les buveurs s’arrêtèrent de boire. Charlie regarda tout la salle et un silence total planait dans le saloon. La peur se lisait sur les visages. Woods avança dans le seul bruit de ses bottes qui faisait craquer le plancher et il s’accouda sur le bar. Le barman avec l’air inquiet lui demande :
-Qu’est ce que je vous sers ? Dit le barman en tremblant comme une feuille.
-Vous avez du whiskey ? Lui demanda Charlie avec un air tranquille.
-Oui…oui en voila !! Réponds le tavernier.
-Juste une question. Pourquoi avez-vous peur de moi ? Je ne suis pas un bandit que je sache ? Dit notre héros d’un air interloqué.
-Moi, je n’ai pas peur de toi sale vantard ! Dit un homme avec un haut de forme noir.
-Pourquoi tu me traite de vantard ?
-Parce que tu es un petit con qui à gagner ses duels d’une balle dans le dos, ce n’est pas loyale. Répliqua l’inconnu.
-Tu veux faire un duel c’est ça ?
-Ouais pour que ton le monde voit ta mort des leurs propres yeux ! Dit l’homme d’un air convaincu.
-Bon très bien, je bois mon whiskey et on va dans la ruelle.
-Je t’y attends déjà !
-Voila monsieur Woods ! Votre whiskey. Dit-le barman toujours avec sa voix tremblotante
Le chasseur de primes lui fit un petit signe du chapeau. Il prit le petit verre de sa main droite, et ingurgita le liquide d’un seul coup. Il reposa le verre calmement, et il tourna les talons en directions de la ruelle. Le prétentieux commença à le regarder fixement alors que Spades n’en tiens même pas compte. Il se plaça en face de lui, releva son chapeau et lui lançât un regard ni trop agressif, ni trop joyeux. Le silence ce pesa dans la longue allée, les fenêtres des simples villageois se claquèrent et un échange de regard violent s’échangea entre les deux pistoleros. Woods savait que l’inconnu n’allait pas chaumer et que si il dégaine le moins vite il se retrouvera le corps remplis de plombs. Il sait aussi que son adversaire recherche la gloire et ainsi en tuant une icône du Far West américain, il entrera dans la légende et Charlie dégagera des livres d’histoire, mais à quoi bon ? Il n’a jamais cherché la célébrité, il avait juste aidé les Sheriffs à capturer Georges Vale dit aussi « Man Gold ». Ce dernier était le tireur le plus rapide de tout l’histoire jusqu’à qu’il se trouve face à Woods qui n’avait encore que 24 ans. Il lui avait collé deux balles dans une jambe chacun, Vale n’y avait vu que du feu. Encore quelque secondes à attendre avec toujours un échange de regard glaciale. (Laissez passer un peu de temps tout en imaginant le regard des deux hommes pendant quelques secondes) L’inconnu commença à prendre son revolver… Que son bras se trouva criblé de balles, et son chapeau vola avec un trou dedans. Woods l’avait épargné de manière magistrale et d’une précision hors du commun. L’homme au haut de forme n’en revenait pas. Il était abasourdi de voir que Charlie qu’il considère comme un pied tendre l’a eu avec une facilité et une rapidité déconcertante. Spades baissa son chapeau et s’avançât vers sa victime, il pris la douille brulante dans sa main et brandi un As de pique de sa manche. Il posa l’as sur le cœur de son adversaire et par-dessus la douille.
-La prochaine fois c’est ici, que la balle se logera. Dit Spades en se relevant.
Charlie revint au saloon et demanda au tavernier si il à un hôtel ou si il à une adresse d’une auberge la plus proche. Le barman lui dit qu’il y a des chambres au premier. Woods accepta sans broncher, et il paya 150$ pour une chambre. Il montât et il entra dans son pied à terre, il détacha son ceinturon, le posa dans une armoire et il partit s’endormir.
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PS: Besoin de commentaire. Dites si oui ou non je continue. Et excusez moi pour les points d'interrogation au lieu des ponctuations normales.
{Arrêt de la musique à la fin de : Il descendit et ouvrit les portes battantes avec calme.}
Un homme sur son cheval, seul dans le désert. Le vent s’écoula dans la crinière du beau cheval tout noir de cet aventurier. Le soleil tapait très fort sur le désert et fais transpirer cet homme qui siffla un petit air du coin. Il enleva son chapeau et se frotta la tête pour éliminer la transpiration qui s’accumule sur son cuir chevelu. Il le remet et recommença à siffler son air qu’il invente au fur et à mesure de son périple. Le cheval devait avoir très soif, car avouons le, le voyage de Amarillo jusqu’à Austin n’est pas le plus court. C’est l’histoire de Charlie Woods. Communément appelé Ace of Spades dans cette région. Pourquoi ce surnom ? Car à chacune de ses victimes, il pose une carte de jeu : un as de pique. Réputé pour être la bête noire des bandits, il est surtout connu pour ses talents au revolver et aux jeux. Au poker tout le monde dit qu’il triche mais n’ose pas le lui dire en face. Pourtant ce n’est pas un méchant, il est juste solitaire. Aucune compagnie avec lui si ce n’est Trèfle, son cheval. Un American standardbred qu’il aurait capturé tout seul à El paso, et ses deux Colt Peacemaker avec une gravure, c’est un Pique qui est dessus. Nous sommes en 1889, dans la petite ville d’Austin au Texas. Un homme au chapeau noir, un poncho de couleur sable et marron, une barbe de trois jours, des yeux noirs, un pantalon noir et des bottes marron foncé, déboula dans la ruelle. C’est ainsi que les habitants de ce qu’allait devenir la capitale du Texas, chuchote tout doucement le prénom de notre héros. Tout le monde avait peur, tout cela à cause de sa main droite qui est toujours posé sur son Colt. Il vit un saloon ou il attacha son cheval sur la barrière du bar. Il descendit et ouvrit les portes battantes avec calme. Le pianiste s’arrêta de jouer, les joueurs arrêtèrent leurs activités, et les buveurs s’arrêtèrent de boire. Charlie regarda tout la salle et un silence total planait dans le saloon. La peur se lisait sur les visages. Woods avança dans le seul bruit de ses bottes qui faisait craquer le plancher et il s’accouda sur le bar. Le barman avec l’air inquiet lui demande :
-Qu’est ce que je vous sers ? Dit le barman en tremblant comme une feuille.
-Vous avez du whiskey ? Lui demanda Charlie avec un air tranquille.
-Oui…oui en voila !! Réponds le tavernier.
-Juste une question. Pourquoi avez-vous peur de moi ? Je ne suis pas un bandit que je sache ? Dit notre héros d’un air interloqué.
-Moi, je n’ai pas peur de toi sale vantard ! Dit un homme avec un haut de forme noir.
-Pourquoi tu me traite de vantard ?
-Parce que tu es un petit con qui à gagner ses duels d’une balle dans le dos, ce n’est pas loyale. Répliqua l’inconnu.
-Tu veux faire un duel c’est ça ?
-Ouais pour que ton le monde voit ta mort des leurs propres yeux ! Dit l’homme d’un air convaincu.
-Bon très bien, je bois mon whiskey et on va dans la ruelle.
-Je t’y attends déjà !
-Voila monsieur Woods ! Votre whiskey. Dit-le barman toujours avec sa voix tremblotante
Le chasseur de primes lui fit un petit signe du chapeau. Il prit le petit verre de sa main droite, et ingurgita le liquide d’un seul coup. Il reposa le verre calmement, et il tourna les talons en directions de la ruelle. Le prétentieux commença à le regarder fixement alors que Spades n’en tiens même pas compte. Il se plaça en face de lui, releva son chapeau et lui lançât un regard ni trop agressif, ni trop joyeux. Le silence ce pesa dans la longue allée, les fenêtres des simples villageois se claquèrent et un échange de regard violent s’échangea entre les deux pistoleros. Woods savait que l’inconnu n’allait pas chaumer et que si il dégaine le moins vite il se retrouvera le corps remplis de plombs. Il sait aussi que son adversaire recherche la gloire et ainsi en tuant une icône du Far West américain, il entrera dans la légende et Charlie dégagera des livres d’histoire, mais à quoi bon ? Il n’a jamais cherché la célébrité, il avait juste aidé les Sheriffs à capturer Georges Vale dit aussi « Man Gold ». Ce dernier était le tireur le plus rapide de tout l’histoire jusqu’à qu’il se trouve face à Woods qui n’avait encore que 24 ans. Il lui avait collé deux balles dans une jambe chacun, Vale n’y avait vu que du feu. Encore quelque secondes à attendre avec toujours un échange de regard glaciale. (Laissez passer un peu de temps tout en imaginant le regard des deux hommes pendant quelques secondes) L’inconnu commença à prendre son revolver… Que son bras se trouva criblé de balles, et son chapeau vola avec un trou dedans. Woods l’avait épargné de manière magistrale et d’une précision hors du commun. L’homme au haut de forme n’en revenait pas. Il était abasourdi de voir que Charlie qu’il considère comme un pied tendre l’a eu avec une facilité et une rapidité déconcertante. Spades baissa son chapeau et s’avançât vers sa victime, il pris la douille brulante dans sa main et brandi un As de pique de sa manche. Il posa l’as sur le cœur de son adversaire et par-dessus la douille.
-La prochaine fois c’est ici, que la balle se logera. Dit Spades en se relevant.
Charlie revint au saloon et demanda au tavernier si il à un hôtel ou si il à une adresse d’une auberge la plus proche. Le barman lui dit qu’il y a des chambres au premier. Woods accepta sans broncher, et il paya 150$ pour une chambre. Il montât et il entra dans son pied à terre, il détacha son ceinturon, le posa dans une armoire et il partit s’endormir.
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PS: Besoin de commentaire. Dites si oui ou non je continue. Et excusez moi pour les points d'interrogation au lieu des ponctuations normales.