Note de la fic : Non notée
Skins__pouembout__Saison_2
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 8 : Alexandre (partie 2)
Publié le 19/08/2013 à 01:16:02 par Pseudo supprimé
Alexandre passe l'aprèm' avec ses potes du lycée, dans la rues ils croisent que des gens de Koné-Pouembout, c'est ça Nouméa le week-end et pendant les vacances.
La bande se place donc vers le complex, de son vrai nom "la ballade", un complex commercial qui n'est pas encore fini, mais dont la pelouse réputée assez molle et très confortable attire de nombreux jeunes, pour ne pas dire, tous les jeunes.
Faire son entrée là-bas est très stressant, parce que tout le monde vous regarde à chaque pas que vous faites. Si vous vous broutez, tout le monde rigolera, et si un mec te connais, ta réputation est foutue et ça sera affiché sur Facebook (note de l'auteur : expérience personnelle, à éviter).
Les garçons vont donc s'assoir dans l'herbe. Les filles arrivent plus tard, bien plus tard que c'était prévu au départ. Elles portent de nombreux sacs sur les bras, bien plus que ce qu'un homme peut imaginer qu'une femme peut porter.
Ben : "Alors quand vous vous achetez des conneries, vous êtes bien fortes, mais lorsqu'il faut faire le cross vous êtes trop faible pour courir 3km..."
Coralie : "Sois pas stupide Ben, c'est pas la même chose."
Ben : "Vous portez des trucs sur les bras à longueur de journée. C'est du sport."
Julie : "Laisse-tomber Julie, c'est un mec."
Alex : "N'empêche qu'il a raison."
Amaury : "Je pense que c'est le système de récompense dans notre cerveau qui fait lorsqu'elles achètent, la production d'opioïde naturels augmente faisant qu'elles sentent moins la douleur que d'habitude."
Tout le monde s'est tut est regarde Amaury avec des yeux d'incompréhension totale.
Amaury : "On a vu ça en cours d'SVT."
Alex : "Nan, on a pas vu ça."
Amaury : "J'ai pris de l'avance en m'instruisant sur le programme de première."
Guillaume : "Léa Greenfield ne te parles plus ?"
Amaury : "Ça fait 2 mois que je n'ai plus de nouvelles."
Ben : "T'inquiètes pas, mec. Elle te reviendra sûrement."
Guillaume : "Ou sans doute pas en fait. Elle fait un peu ce qu'elle veut cette fille."
Ben : "Tu ne l'aides pas, là."
Guillaume : "Je la connais bien, elle reviendra sûrement pas."
Dans un bureau au centre-ville, Pierre fait tant bien que mal son travail de stagiaire, Il va chercher le café de ses supérieurs, il va imprimer des papiers, il doit prendre des notes sur des commandes personnelles de ses patrons, des fleurs pour leurs maîtresses, des cadeaux pour leurs enfants.
Mais pour empoisonner le tout, Christia est constamment en train de le suivre du regard. Elle le regarde dans tout ce qu'il fait. Il ne se sentait pas bien avant, mais sa mère sur son dos 24h/24 le fait plus chier qu'autre chose.
Pierre vient de monter un carton du rez-de-chaussé jusqu'au 5ème étage par les escaliers, une fois en haut, son patron l'attend.
*patron* : "Bien Pierre. Maintenant je veux que tu ailles me chercher le pain à la boulangerie d'en bas."
Pierre : "Sauf votre respect monsieur, vous me les brisez beaucoup là. Je suis en stage, quand est-ce que je vais apprendre un travail à proprement parlé ?"
Christia : "Ne joue pas les idiots, Pierre, fait ce qu'il te dit, le reste, ce ne sont que des détails."
Pierre : "Ouais mais moi je suis venu travailler pour avoir de l'expérience. Pas pour être le larbin de l'entreprise."
Christia : "Parles mieux à ton patron ! C'est déjà difficile pour quelqu'un comme toi d'avoir un travail."
*patron* : "J'ai été généreux parce que je connaissais ta mère."
Pierre : "Quelqu'un comme moi ? T'oublies quelque chose maman. C'est toi qui as fait ça de moi. C'est toi qui m'a foutu dehors du lycée à la première tentative, c'est toi qui a causé la deuxième en faisant de ma vie un tel enfer que j'ai regretter de ne pas avoir réussi la première fois."
Christia : "Ne dis pas ça..."
Pierre : "Oh si je vais le dire. Tout-est-de-ta-faute !"
Christia gifle Pierre d'une force extrème, il en tombe par terre, sa joue est rouge et son nez saigne aussi.
Pierre pète les plombs, il prend sa mère et la pousse contre des bureaux avec violence, son patron tente de le frapper mais Pierre le prend de vitesse, et le frappe avant dans le ventre. Les gens regarde Pierre frapper le patron de loin, il le regarde comme un animal de foire, et il le sait.
Pierre prend les jambes à son coup, il prend les escaliers, mais au lieu de descendre, il les monte. Il arrive face à une porte, il l'ouvre et se trouve sur le toit de l'immeuble de 10 étages. Il prend un tournevis dans une caisse à outil et bloque la porte.
Il se penche pour voir en bas, des passants le remarque et la panique commence.
Il ne faudra pas longtemps pour que la nouvelle d'un gars voulant sauter d'un immeuble du centre-ville arrive jusqu'aux plage et au complex. Alexandre et les autres décide d'y aller. Mais à mesure qu'ils approchaient, Alex avait de de plus en plus peur. Car plus ils étaient proche, plus la description de l'homme devenait précise.
Alex savait que son frère serait peut-être cet homme.
Il n'en fut sûr que lorsque sa mère l'appela.
"Alex... Ton frère..."
"Y a quoi maman ?"
"Il veut sauter... Je veux l'en empêcher mais il refuse de me parler..."
"Je suis en bas de l'immeuble... Je monte."
Amaury : "Alex..."
Alex : "Pas d'inquiétudes les gars, je vais le sauver, comme je l'ai fait il y a 4 ans."
Et Alexandre parti en courant et se mit à monter les marches jusqu'au 10ème étage.
Le cauchemar recommence.
La bande se place donc vers le complex, de son vrai nom "la ballade", un complex commercial qui n'est pas encore fini, mais dont la pelouse réputée assez molle et très confortable attire de nombreux jeunes, pour ne pas dire, tous les jeunes.
Faire son entrée là-bas est très stressant, parce que tout le monde vous regarde à chaque pas que vous faites. Si vous vous broutez, tout le monde rigolera, et si un mec te connais, ta réputation est foutue et ça sera affiché sur Facebook (note de l'auteur : expérience personnelle, à éviter).
Les garçons vont donc s'assoir dans l'herbe. Les filles arrivent plus tard, bien plus tard que c'était prévu au départ. Elles portent de nombreux sacs sur les bras, bien plus que ce qu'un homme peut imaginer qu'une femme peut porter.
Ben : "Alors quand vous vous achetez des conneries, vous êtes bien fortes, mais lorsqu'il faut faire le cross vous êtes trop faible pour courir 3km..."
Coralie : "Sois pas stupide Ben, c'est pas la même chose."
Ben : "Vous portez des trucs sur les bras à longueur de journée. C'est du sport."
Julie : "Laisse-tomber Julie, c'est un mec."
Alex : "N'empêche qu'il a raison."
Amaury : "Je pense que c'est le système de récompense dans notre cerveau qui fait lorsqu'elles achètent, la production d'opioïde naturels augmente faisant qu'elles sentent moins la douleur que d'habitude."
Tout le monde s'est tut est regarde Amaury avec des yeux d'incompréhension totale.
Amaury : "On a vu ça en cours d'SVT."
Alex : "Nan, on a pas vu ça."
Amaury : "J'ai pris de l'avance en m'instruisant sur le programme de première."
Guillaume : "Léa Greenfield ne te parles plus ?"
Amaury : "Ça fait 2 mois que je n'ai plus de nouvelles."
Ben : "T'inquiètes pas, mec. Elle te reviendra sûrement."
Guillaume : "Ou sans doute pas en fait. Elle fait un peu ce qu'elle veut cette fille."
Ben : "Tu ne l'aides pas, là."
Guillaume : "Je la connais bien, elle reviendra sûrement pas."
Dans un bureau au centre-ville, Pierre fait tant bien que mal son travail de stagiaire, Il va chercher le café de ses supérieurs, il va imprimer des papiers, il doit prendre des notes sur des commandes personnelles de ses patrons, des fleurs pour leurs maîtresses, des cadeaux pour leurs enfants.
Mais pour empoisonner le tout, Christia est constamment en train de le suivre du regard. Elle le regarde dans tout ce qu'il fait. Il ne se sentait pas bien avant, mais sa mère sur son dos 24h/24 le fait plus chier qu'autre chose.
Pierre vient de monter un carton du rez-de-chaussé jusqu'au 5ème étage par les escaliers, une fois en haut, son patron l'attend.
*patron* : "Bien Pierre. Maintenant je veux que tu ailles me chercher le pain à la boulangerie d'en bas."
Pierre : "Sauf votre respect monsieur, vous me les brisez beaucoup là. Je suis en stage, quand est-ce que je vais apprendre un travail à proprement parlé ?"
Christia : "Ne joue pas les idiots, Pierre, fait ce qu'il te dit, le reste, ce ne sont que des détails."
Pierre : "Ouais mais moi je suis venu travailler pour avoir de l'expérience. Pas pour être le larbin de l'entreprise."
Christia : "Parles mieux à ton patron ! C'est déjà difficile pour quelqu'un comme toi d'avoir un travail."
*patron* : "J'ai été généreux parce que je connaissais ta mère."
Pierre : "Quelqu'un comme moi ? T'oublies quelque chose maman. C'est toi qui as fait ça de moi. C'est toi qui m'a foutu dehors du lycée à la première tentative, c'est toi qui a causé la deuxième en faisant de ma vie un tel enfer que j'ai regretter de ne pas avoir réussi la première fois."
Christia : "Ne dis pas ça..."
Pierre : "Oh si je vais le dire. Tout-est-de-ta-faute !"
Christia gifle Pierre d'une force extrème, il en tombe par terre, sa joue est rouge et son nez saigne aussi.
Pierre pète les plombs, il prend sa mère et la pousse contre des bureaux avec violence, son patron tente de le frapper mais Pierre le prend de vitesse, et le frappe avant dans le ventre. Les gens regarde Pierre frapper le patron de loin, il le regarde comme un animal de foire, et il le sait.
Pierre prend les jambes à son coup, il prend les escaliers, mais au lieu de descendre, il les monte. Il arrive face à une porte, il l'ouvre et se trouve sur le toit de l'immeuble de 10 étages. Il prend un tournevis dans une caisse à outil et bloque la porte.
Il se penche pour voir en bas, des passants le remarque et la panique commence.
Il ne faudra pas longtemps pour que la nouvelle d'un gars voulant sauter d'un immeuble du centre-ville arrive jusqu'aux plage et au complex. Alexandre et les autres décide d'y aller. Mais à mesure qu'ils approchaient, Alex avait de de plus en plus peur. Car plus ils étaient proche, plus la description de l'homme devenait précise.
Alex savait que son frère serait peut-être cet homme.
Il n'en fut sûr que lorsque sa mère l'appela.
"Alex... Ton frère..."
"Y a quoi maman ?"
"Il veut sauter... Je veux l'en empêcher mais il refuse de me parler..."
"Je suis en bas de l'immeuble... Je monte."
Amaury : "Alex..."
Alex : "Pas d'inquiétudes les gars, je vais le sauver, comme je l'ai fait il y a 4 ans."
Et Alexandre parti en courant et se mit à monter les marches jusqu'au 10ème étage.
Le cauchemar recommence.