Note de la fic : Non notée
Skins__pouembout__Saison_2
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 38 : Guillaume (partie 2)
Publié le 19/08/2013 à 01:16:02 par Pseudo supprimé
Au poste de police, Guillaume passe un interrogatoire. Un flic surexcité, shooté à la caffeine (ou à autre chose) lui fait passer un sale quart d'heure. Guillaume est assis sur une chaise inconfortable de bureau, et il est menotté avec les mains derrière son dos. Le flic se la joue à l'américaine, mais ça manque de crédibilité.
*policier1* : "Alors petit ? tu croyais faire le malin avec la loi ? Pas de chance. Je suis la loi, et personne ne se joue de moi ! Tu sais comment on m'appelle ici ?"
Guillaume : "Je sais pas moi... Jackie ?.."
*policier1* : "Ouais... C'est vrai. On m'appelle Jackie des fois. Mais ne crois pas faire le malin contre moi espèce de pédophile !"
Guillaume : "Pédophile !? Je ne suis pas là pour ça !"
Jackie : "Hein ?" vérifie ses papiers "Ah oui ! Maintenant réponds ! Pourquoi t'as agressé ce jeune ado ?"
Guillaume : "Je ne l'ai pas agressé !"
Jackie : "Tu nies les faits !?"
*policier2* : "Laisse-tomber Jackie."
Jackie : "Mais... Léo... Tu ne peux pas me laisser faire pour une fois ?"
Léopold : "Nan mais tu rêves le bleu ! Et en plus t'as vu comment tu le traites ? Menotté ! Rien que ça ! On est pas dans un film américain."
Jackie : "Je veux juste qu'il parle de lui-même."
Léopold : "Tu fais de la merde Jackie, et c'est tout ce que tu as fait depuis le dernier mois. Maintenant, vas me chercher un café."
Jackie : "Faut bien que quelqu'un fasse le méchant flic." s'en va hors du bureau.
Léopold : défait les menottes à Guillaume "Bien... Maintenant on peut commencer. Même s'il n'y a vraiment rien à faire, je suis juste venu prendre quelques informations, ton nom, toutes ces conneries. Bref. Tu remplieras la feuille. Tu vas passer la nuit ici. Un avocat commis d'office te seras envoyé. À moins que tes parents n'en achètent un bon."
Guillaume : "Je peux juste passer un coup de fil ?"
Léopold : "Le téléphone est sur la table, utilises-le à ta guise, dés que t'as fini, je t'emmènerai en cellule."
Léopold, le flic cool, laisse Guillaume se lever et prendre le téléphone, il sort du bureau pour laisser Guillaume passer son appel en privé. Il attend bien 5 minutes, il entend Guillaume parler calmement, lancer des insultes et crier. Il est clair qu'il n'appelle pas qu'une seule personne, mais qu'il a l'air de prévenir tout le monde. Des réactions différentes s'enchaînent. Puis le dernier coup de fil, qui ne dura que 10 secondes, mais sans grand éclat. Après celui-ci, Guillaume se décide enfin à sortir.
Léopold l'amène en cellule, dans laquelle se trouve déjà un gars qu'on ne s'attend pas à voir dans ce genre d'endroit, il est petit, un peu gros, et chauve sur le sommet du crâne, il a bien l'air de faire la trentaine. Mais il a aussi une drôle de manière de s'habiller, il porte une veste en cuir, comme un motard, avec un jogging et des chaussures de sports. Ce n'est pas le genre de chose qu'on porte quand on a une tête de travailleur désabusé de 35 ans. Cet étrange personnage sourit tout le temps, comme sûr de lui tout le temps. Il finit par parler avec Guillaume au bout d'une demi-heure de cohabitation.
*compagnon* : "T'es là pour quoi toi ?"
Guillaume : "Un gars prétend que je l'ai agressé... Et vous ? Je suppose que vous êtes le pédophile ?"
*compagnon* : "Nan, je ne suis pas le pédo, Jules est dans la cellule à côté. Moi aussi je suis là alors que je suis "innocent", tout comme toi."
Guillaume : "Et de quoi on vous accuse alors ?"
*compagnon* : "De traîner dans des traffics de drogues. Mais ça n'a pas d'importance."
Guillaume : "Et pourquoi ?"
*compagnon* : "Parce que dans tous les cas, je serais libre dans quelques jours."
Guillaume : "Bin... Si vous êtes innocent, c'est normal."
*compagnon* : "Même si je ne le suis pas, je pourrais même te trouver une place dehors."
Guillaume : "Dehors ?"
*compagnon* : "Libre."
Guillaume : "Je crois bien que je vais pouvoir m'en sortir sans magouille."
*compagnon* : "Si tu changes d'avis, je ne risque pas de bouger d'ici de si-tôt."
Guillaume : "C'est quoi votre nom déjà ?"
*compagnon* : "Appelles-moi Marco."
Guillaume détourne le regard de ce "Marco", il préfère ne plus lui parler, ça a l'air d'être un maniaque pensant être un mafieux. Même si Guillaume a déjà entendu parler d'un Marco. Mais s'il existe vraiment, ce ne sera pas un dégénéré en pleine crise de la trentaine un peu grassouillet.
4 heures se sont passée. Guillaume est assis dans sa cellule, il attend passivement l'arrivée de quelqu'un, ou peut-être juste l'heure à laquelle il va pouvoir s'en aller. Et alors qu'il s'apprêtait à s'endormir (quelque chose que Marco avait déjà fait depuis une heure déjà), Jackie lui annonce qu'il a de la visite. C'est Benjamin qui passe la porte. Et s'avance pour parler à Guillaume à travers les barreaux de la cellule.
Ben : "Merde, quand tu m'as dis que t'étais chez la police, je n'aurais jamais pensé à ça."
Guillaume : "Si c'était pas sérieux, je ne t'aurais jamais appelé toi."
Ben : "Bon, qu'est-ce que je peux faire pour toi ?"
Guillaume : "Il n'y a qu'un mec pour me sortir de tout ça, il faut que tu trouves Lucas, et que tu lui dises d'abandonner les charges contre moi."
Ben : "Quoi ? T'es pas au courant ?"
Guillaume : "Quoi ?"
Ben : "Je ne crois pas que tu vas pouvoir parler à Lucas de si tôt..."
*policier1* : "Alors petit ? tu croyais faire le malin avec la loi ? Pas de chance. Je suis la loi, et personne ne se joue de moi ! Tu sais comment on m'appelle ici ?"
Guillaume : "Je sais pas moi... Jackie ?.."
*policier1* : "Ouais... C'est vrai. On m'appelle Jackie des fois. Mais ne crois pas faire le malin contre moi espèce de pédophile !"
Guillaume : "Pédophile !? Je ne suis pas là pour ça !"
Jackie : "Hein ?" vérifie ses papiers "Ah oui ! Maintenant réponds ! Pourquoi t'as agressé ce jeune ado ?"
Guillaume : "Je ne l'ai pas agressé !"
Jackie : "Tu nies les faits !?"
*policier2* : "Laisse-tomber Jackie."
Jackie : "Mais... Léo... Tu ne peux pas me laisser faire pour une fois ?"
Léopold : "Nan mais tu rêves le bleu ! Et en plus t'as vu comment tu le traites ? Menotté ! Rien que ça ! On est pas dans un film américain."
Jackie : "Je veux juste qu'il parle de lui-même."
Léopold : "Tu fais de la merde Jackie, et c'est tout ce que tu as fait depuis le dernier mois. Maintenant, vas me chercher un café."
Jackie : "Faut bien que quelqu'un fasse le méchant flic." s'en va hors du bureau.
Léopold : défait les menottes à Guillaume "Bien... Maintenant on peut commencer. Même s'il n'y a vraiment rien à faire, je suis juste venu prendre quelques informations, ton nom, toutes ces conneries. Bref. Tu remplieras la feuille. Tu vas passer la nuit ici. Un avocat commis d'office te seras envoyé. À moins que tes parents n'en achètent un bon."
Guillaume : "Je peux juste passer un coup de fil ?"
Léopold : "Le téléphone est sur la table, utilises-le à ta guise, dés que t'as fini, je t'emmènerai en cellule."
Léopold, le flic cool, laisse Guillaume se lever et prendre le téléphone, il sort du bureau pour laisser Guillaume passer son appel en privé. Il attend bien 5 minutes, il entend Guillaume parler calmement, lancer des insultes et crier. Il est clair qu'il n'appelle pas qu'une seule personne, mais qu'il a l'air de prévenir tout le monde. Des réactions différentes s'enchaînent. Puis le dernier coup de fil, qui ne dura que 10 secondes, mais sans grand éclat. Après celui-ci, Guillaume se décide enfin à sortir.
Léopold l'amène en cellule, dans laquelle se trouve déjà un gars qu'on ne s'attend pas à voir dans ce genre d'endroit, il est petit, un peu gros, et chauve sur le sommet du crâne, il a bien l'air de faire la trentaine. Mais il a aussi une drôle de manière de s'habiller, il porte une veste en cuir, comme un motard, avec un jogging et des chaussures de sports. Ce n'est pas le genre de chose qu'on porte quand on a une tête de travailleur désabusé de 35 ans. Cet étrange personnage sourit tout le temps, comme sûr de lui tout le temps. Il finit par parler avec Guillaume au bout d'une demi-heure de cohabitation.
*compagnon* : "T'es là pour quoi toi ?"
Guillaume : "Un gars prétend que je l'ai agressé... Et vous ? Je suppose que vous êtes le pédophile ?"
*compagnon* : "Nan, je ne suis pas le pédo, Jules est dans la cellule à côté. Moi aussi je suis là alors que je suis "innocent", tout comme toi."
Guillaume : "Et de quoi on vous accuse alors ?"
*compagnon* : "De traîner dans des traffics de drogues. Mais ça n'a pas d'importance."
Guillaume : "Et pourquoi ?"
*compagnon* : "Parce que dans tous les cas, je serais libre dans quelques jours."
Guillaume : "Bin... Si vous êtes innocent, c'est normal."
*compagnon* : "Même si je ne le suis pas, je pourrais même te trouver une place dehors."
Guillaume : "Dehors ?"
*compagnon* : "Libre."
Guillaume : "Je crois bien que je vais pouvoir m'en sortir sans magouille."
*compagnon* : "Si tu changes d'avis, je ne risque pas de bouger d'ici de si-tôt."
Guillaume : "C'est quoi votre nom déjà ?"
*compagnon* : "Appelles-moi Marco."
Guillaume détourne le regard de ce "Marco", il préfère ne plus lui parler, ça a l'air d'être un maniaque pensant être un mafieux. Même si Guillaume a déjà entendu parler d'un Marco. Mais s'il existe vraiment, ce ne sera pas un dégénéré en pleine crise de la trentaine un peu grassouillet.
4 heures se sont passée. Guillaume est assis dans sa cellule, il attend passivement l'arrivée de quelqu'un, ou peut-être juste l'heure à laquelle il va pouvoir s'en aller. Et alors qu'il s'apprêtait à s'endormir (quelque chose que Marco avait déjà fait depuis une heure déjà), Jackie lui annonce qu'il a de la visite. C'est Benjamin qui passe la porte. Et s'avance pour parler à Guillaume à travers les barreaux de la cellule.
Ben : "Merde, quand tu m'as dis que t'étais chez la police, je n'aurais jamais pensé à ça."
Guillaume : "Si c'était pas sérieux, je ne t'aurais jamais appelé toi."
Ben : "Bon, qu'est-ce que je peux faire pour toi ?"
Guillaume : "Il n'y a qu'un mec pour me sortir de tout ça, il faut que tu trouves Lucas, et que tu lui dises d'abandonner les charges contre moi."
Ben : "Quoi ? T'es pas au courant ?"
Guillaume : "Quoi ?"
Ben : "Je ne crois pas que tu vas pouvoir parler à Lucas de si tôt..."