Note de la fic :
Publié le 24/04/2009 à 02:32:19 par Rastafari
Ce jour là, Keron, un fier barbare de la jungle d'Yllitia, alors qu'il faisait rôtir sa dernière prise, eut comme à son habitude, une légère pensée pour sa tribu qu'il avait quittée il y a de cela 3 ans. En revoyant ses souvenirs, il se demandait toujours s'il avait fait le bon choix en quittant cette dernière, malgré les raisons qui l'ont amenées là. Quand il eût terminé son faisan, il entreprît comme chaque soir de se confectionner un abri de fortune avec les branchages qui trainaient alentours. Cette nuit, ces efforts furent malgré tout vains car le vent se mit a souffler bien trop fort pour faire tenir debout n'importe quel structure qui ne serait pas solidement ancré au sol. Keron dormit donc a la belle étoile, se qui ne le dérangea pas plus que cela.
Il se réveilla au milieu de la nuit, alerté par le son d'un cor qui retentit dans tout le marais au abords du campement. Le barbare entendit maints bruits de pas entre les arbres difformes qui l'entourait, il eut a peine le temps de saisir son arme, un groupe d'orcs était déjà sur lui et le cernait de toute parts. Alors qu'il se croyait perdu, un orc bien plus grand que ses semblables, à la peau d'un vert bien plus sombre et couverte de balafres se fraya un chemin entre ce qui semblait être ses soldats et surprit le jeune homme en lui adressant la parole en sa langue :
<<Orc-: Toi, qui est-tu et que vient tu faire sur les terres de Wunör et ses serviteurs ?
Keron-: Je me nomme Keron et je suppose que tu doit être Wunör ? Je passe dans ce marécage par pure vagabondage, je ne vous veux aucun mal.
-: Oui, je suis Wunör. J'éspère pour toi que tu ne causera aucun ennuies au quel cas je me verrait obligé de revenir t'abattre...
-: Bien, je vous souhaite donc une bonne nuit à toi et ton armée en espérant ne pas avoir a vous recroiser.
-: Pareillement, humain pathétique! Im ritraeti frèriz, eh m'im vaho paz ha piemi!(En retraite frères, il n'en vaut pas la peine)>>
Keron eut du mal à trouver le sommeil suite à cette tourmente qui l'avait extrait de son repos. Il patienta de longues heures, se tournant et se retournant, et fini par parvenir a dormir durant deux heures environ, avant que les chauds rayons du soleil qui s'abattait dans la clairière ou il avait dressé son camp ne viennent lui bruler la peau. Il se leva alors doucement, cherchant un point d'eau ou se rafraichir et peut-être se laver mais sans succès.
Il se remit en route, vers une destination non fixée pour l'heure dans sa tête, mais les fils de son destin étaient dors et déjà entremêler avec ceux du monde tel qu'il le connaissait alors.
Il se réveilla au milieu de la nuit, alerté par le son d'un cor qui retentit dans tout le marais au abords du campement. Le barbare entendit maints bruits de pas entre les arbres difformes qui l'entourait, il eut a peine le temps de saisir son arme, un groupe d'orcs était déjà sur lui et le cernait de toute parts. Alors qu'il se croyait perdu, un orc bien plus grand que ses semblables, à la peau d'un vert bien plus sombre et couverte de balafres se fraya un chemin entre ce qui semblait être ses soldats et surprit le jeune homme en lui adressant la parole en sa langue :
<<Orc-: Toi, qui est-tu et que vient tu faire sur les terres de Wunör et ses serviteurs ?
Keron-: Je me nomme Keron et je suppose que tu doit être Wunör ? Je passe dans ce marécage par pure vagabondage, je ne vous veux aucun mal.
-: Oui, je suis Wunör. J'éspère pour toi que tu ne causera aucun ennuies au quel cas je me verrait obligé de revenir t'abattre...
-: Bien, je vous souhaite donc une bonne nuit à toi et ton armée en espérant ne pas avoir a vous recroiser.
-: Pareillement, humain pathétique! Im ritraeti frèriz, eh m'im vaho paz ha piemi!(En retraite frères, il n'en vaut pas la peine)>>
Keron eut du mal à trouver le sommeil suite à cette tourmente qui l'avait extrait de son repos. Il patienta de longues heures, se tournant et se retournant, et fini par parvenir a dormir durant deux heures environ, avant que les chauds rayons du soleil qui s'abattait dans la clairière ou il avait dressé son camp ne viennent lui bruler la peau. Il se leva alors doucement, cherchant un point d'eau ou se rafraichir et peut-être se laver mais sans succès.
Il se remit en route, vers une destination non fixée pour l'heure dans sa tête, mais les fils de son destin étaient dors et déjà entremêler avec ceux du monde tel qu'il le connaissait alors.