Note de la fic : Non notée

OnlyOneChapter_-_Voyage_au_bout_de_l__Italie


Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué



Chapitre 1


Publié le 19/08/2013 à 01:14:47 par Pseudo supprimé

Commentaire de l'auteur: J'ai eu plusieurs idées intéressantes, mais elles sont courtes, le temps d'un seul acte. Plutôt que de les modifier et d'en faire une fic interminable, en plus des fic que j'ai déjà créé, je vous proposerai ces mini-fic, tenant sur un seul chapitre. Vous inquiétez pas, ils seront quand même assez consistants :ok: Mais seulement n'espérez pas de suite :ok: Si vraiment une mini-fic vous plait, alors il y aura des chances qu'elle deviennent une fic à part entière :ok: Bonne lecture à tous, en espérant qu'elle vous plaira :ok:


- Voyage au bout de l'Italie -

Salut à tous, je me présente: je m'appelle Adam, j'ai 18 ans, et je suis en BTS (pas la peine d'expliquer lequel). Cette année, j'ai décidé de me changer les idées. Fini de passer pour un timide. Depuis la 6ème, je suis le mignon ultra timide de service. J'ai eu quelques copines en fin de lycée, mais rien de bien intéressant, d'autant plus que j'apprécie énormément les parties de jambe en l'air vous voyez =p.

Cette année encore, l'école dans laquelle je suis propose un voyage en Italie, à Rome, pendant les vacances de Pâque. J'ai décidé d'y aller. Malheureusement, j'y vais seul, car aucun de mes amis ne veulent "bouffer leurs vac' à visiter de la merde faite de pierres et de sculptures", ce que je trouve triste, car Rome est une très belle ville, même si j'aurai préféré visiter Venise, qui est LA ville que j'aimerai visiter, rien que pour sa topographie si particulière et si magnifique.

L'année se déroule sans encombres, jusqu'au jour fatidique où je dois m'en aller pendant 10 jours. Le voyage se déroule en bus :mort: 10 heures à poiroter dans un lieu confis, c'est jamais terrible, d'autant plus que je n'ai pas d'ami, ni de PC portable, ou du moins la connexion y sera inexistante :-( . Nous sommes.. 1, 2, 3... 38 personnes à y aller, plus deux professeurs. La plupart sont des filles, mmh... environ 60% sont des filles :ok: Je préfère jeter un coup d'½il aux mecs, pour voir avec qui je vais pouvoir sympathiser. Malheureusement, un seul sort du lot, les autres étant de gros intellos à l'ego sur-dimensionné :hum: Nous montons dans le bus. La nuit tombera d'ici 3-4 heures. Je compte sur mon fidèle iPod Touch pour me distraire, avec mes 15Go de zic et 12 de films :noel:

Je rentrai en premier dans le bus, visant de suite les places du fond, les deux sièges à gauche, et surtout surtout, celui contre la fenêtre. A peine installé, je met en route mon écran de fortune, et commence à regarder Shaun of the Dead. Je fais même pas attention à la personne qui s'installe à coté de moi. A en sentir le parfum, c'est une fille, mais mon investigation s'arrête là, je préfère mater le film, sans constater que seuls ma voisine inconnue et moi étions au dernier rang du bus.

Le bus roule, roule, roule encore. Après avoir regardé Shaun, j'imbrique direct sur TDK. Mais au milieu du film, je sens qu'on me regarde. C'était la fille, elle regardait aussi le film, et avec une certaine difficulté puisqu'elle n'avait pas le son... La vache! Elle est vachement jolie! Châtain, cheveux longs, les yeux émeraude, un visage magnifique. Un sourire parfait.
- Oh! Excuse moi! J'ai pas osé te demander si je pouvais regarder avec toi =s
- Ah, euh... non c'est pas grave... Comment tu t'appelles?
- Maryam, et toi?
- Adam.
- D'accord!

Nous continuons à discuter. Je constate que nous avons les mêmes goûts, surtout musicaux.

- T'as un mec?
- Non, en Allemagne ils sont pas géniaux...
- T'es allemande?
- Oui :rouge: En même temps tu regarde mon nom de famille tu comprends :hum:
- Oui c'est vrai :rire:
- Oh arrête! :-)
- D'accord d'accord...

Nous écoutâmes de la musique jusqu'à une heure du mat'. Dans le bus, c'était terriblement calme. Hormis deux trois sièges à l'avant où quelques rires discrets s'échappaient, la lumière tamisée de l'allée centrale du bus rendait l'atmosphère vraiment agréable. Quasiment tout les rangs étaient dans l'obscurité, laissant apparaitre quelque écrans allumés. Le vrombissement du bus me rendait somnolent.

Mais alors que la musique me berçait, je senti une main se frotter à ma jambe. Je tourna la tête, et Maryam me regardait avec passion, et un semblant de perversité. Sa main remonta le long de ma cuisse, allant vers l'intérieur de celle-ci. Elle prit mon menton de son autre main, me fixa de so magnifique regard. Je craque. Nous nous embrassons lentement, profitant de chaque instant, et même si la peur de se faire voir était intense, nous nous en fichions. Mes mains se mirent à prendre sa taille, à longer son dos pour caresser ses fesses, avant qu'une de mes mains m'aille malaxer le sein gauche de la demoiselle. Puis elle se mit à me rouler des galoches, de plus en plus petites, me laissant un goût extra dans la bouche après chacun des passages de sa langue sur la mienne. Sa main se mit à fouiner sous mon jean, mon engin devenant de plus en plus dur.
Sa main caressa mon caleçon, et fini par sortir ma verge déjà assez dure. Elle se pencha dessus, me jette un dernier regard de braise, et se mit à me sucer. Tout en lenteur, elle parcourait ma bite de haut en bas, malaxant doucement mes couilles de son autre main. C'était magnifique, elle faisait ça parfaitement. On sens l'expérience allemande :noel:
Le pré-sperme coulait à flot. Lorsqu'elle retira mon bâton de sa bouche, elle laissa des filets s'étendre de puis mon pénis à sa bouche. Son regard ne fit que m'exciter encore plus. Je laissa ses fesses et ses seins, puis dirigea mes mains vers son bassin. Je la fit se pencher sur le siège du milieu, laissant seulement son visage en vue sur l'allée. Elle avait l'air terriblement excitée. Je baissa son jean, et le mis au niveau de ses talons. Elle écarta ses jambes, et j'ai pu enfin voir son magnifique clitoris, quasiment rasé, avec seulement ce que certains appellent le "ticket de métro". Elle mouillait déjà un peu. Je me pencha sur sa porte secrète, puis me mit à la lécher. J'y entra ensuite ma langue, la tournant un peu plus vite. Elle était haletante, tenant ma tête pour que je continue encore.
Je leva la tête, et la releva. Elle retira son jean, le posa à nos pieds, de même que sa culotte et son haut, ne laissant que son soutien-gorge et sa belle paire de seins. Je l'embrassa, et inséra en même temps deux doigts dans son vagin. Son cri s'étouffa dans notre baiser. Elle respirait fortement. Elle me branla à nouveau, me rendant le plaisir que j'étais en train de lui procurer.
Nous arrêtâmes nos préliminaires, puis je m'adossa contre la fenêtre. J'écartai les cuisse, puis laissa Maryam s'installer. Elle s'inséra lentement sur mon engin, levant la tête de plaisir. Elle se teint sur les sièges de chaque coté, puis fit ses va-et-viens. Quel plaisir de coucher avec une belle allemande avec pour seuls témoins la nuit et la lune. Pour l'aider je fit des va-et-viens aussi, accélérant de plus en plus. Je sentais qu'elle allait crier. J'arrêtai mes mouvements, pour qu'on se repose un peu, et pour vérifier si personne n'avait constaté nos ébats sexuels.
Ouf! Personne n'a sembler remarquer.
Je lui propose de se mettre face à moi, moi assit au centre des deux siège, elle sur moi, nos visages face-à-face, les jambes écartées. Elle accepte. Je me remet à l'empaler comme un dingue, elle me regarde en me suppliant d'aller plus vite, ce que je fait. Ma bite dans son antre fait un bruit que j'apprécie tellement, un espèce de frottement humide. Elle va crier. Elle se penche sur moi et m'embrasse de toute ses forces. Nous vivons un moment vraiment magique.
Je lui propose une dernière chose: la levrette. Dans un bus, faut avouer que c'est pas facile. Mais je lui proposa la chose suivante: elle contre la fenêtre, m'exposant son beau fessier. Nous nous sommes installés ainsi, et j'insérai à nouveau ma bite dans sa chatte devenue totalement humide. Elle se cambra, et se colla contre la vitre. La bouche à demi ouverte, les yeux comme en transe. Mes mouvements étaient d'abord lents, érotiques, puis elle me demanda d'aller plus vite. J'accéléra le mouvement. Elle respirait vite et fortement. Nos corps suintaient, la fenêtre pleine de buée. Elle mit ses mains sur ses fesses, et les écarta. Je continue mes mouvement brusques, levant un peu mon bassin, faisant bouger son corps de haut en bas le long de la fenêtre. Elle tourna la tête et saisit la mienne. Nous nous embrassons amoureusement. Il s'agit sûrement du moment le plus érotique de ma vie.
Je sens que je ne vais pas tarder à lâcher. Je continue un peu mes mouvement, insérant en plus un doigt dans son anus. Elle apprécie énormément, cambrant son corps vers l'arrière. Nous continuâmes ainsi encore un instant, puis je vit qu'elle ne tiendrait plus pour très longtemps. J'arrête la levrette. Elle se retourne, se cale dos contre la fenêtre, et pris mon pénis en main. Elle le rentra dans son sexe, puis je recommença mes mouvements me maintenant contre la fenêtre. Elle ne tenait plus, fermant les yeux, poussant de légers cris de jouissance. Elle fit quelque chose que je n'avais jamais connu: elle pressa mon pénis avec sa main. Quelle sensation! Je continua mes mouvements de plus en plus vite. Puis son orgasme arriva. Elle ouvrit grand les yeux, se cambra comme pas possible, et me roula une pelle d'une telle force, afin de cacher son cri ultime. Je ne teint pas longtemps. Je me retira de son sexe mouillé, laissant quelques filets de sperme, et lâcha le plus gros sur son ventre. Nous nous embrassons à nouveau. Finalement, ce fut le plus beau voyage que j'ai connu


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