Note de la fic :
sacré roman...(ou la stupiduté pathetique de l'homme...)
Par : jorjinho
Genre : Sentimental
Statut : C'est compliqué
Chapitre 2
Publié le 18/05/2009 à 17:47:16 par jorjinho
((okay j'ai essayé de faire moins bloc que la première fois mais j'avoue que c'est super difficile. Je suis désolé si le découpage ne suit aucun logique :s)bonne lecture)
Il l'a regardait, elle ne le remarquait pas :s , il l'a dévorait des yeux, elle ne le savait pas.
Il voulait lui parler, elle s'en foutait. Pourquoi? Parce que c'était un garçon on ne peut plus banal, mais plus idiot que la moyenne.
Mais un beau jour de printemps il s'est dit avec un de ses pote (euh son seul vrai pote en réalité )qu'il fallait lui parler, a elle et ses copines:P.
Notre homme c'est beaucoup rapproché de ses copines mais il voulait se rapprocher plus de la belle, chose qu'il parvint a réaliser, cependant cela ne lui suffisait pas, et ça n'allait certainement jamais suffire... ( ne sombrons pas dans le pathos comme l'aurait dit ma prof de français même si tout ce roman est pathétiquement pathétique :d.)
Il savait que si il tombait un jour, il tomberait de sacrement haut ... mais il ne regrettera en aucun cas cette relation. Il l'aimait comme jamais il n'avait aimé et comme jamais il n 'aimera. Il va donc se rapprocher d'elle en devenant son "ami".
Ils vont donc tous les deux essayer de travailler cette "amitié" ( ce qui est bête car ce genre d'amitié n'est pas faite pour durer) et lui va essayer d'aller plus loin a chaque fois, et elle le remarquant se jouera de lui... .
Il décide donc de travailler pendant cinq long mois pour réaliser ce rêve fou de voyage, et va proposer a celle qu'il convoite (d'après cette chère Anaïs c'est mieux de mettre ça et non elle :D) de partir avec lui. Seul bémol, elle a un copain:s.
En même temps si notre homme s'était bougé le cul, il aurait peut être eut sa chance:@. Mais bon il est lent, de ce coté là surtout, doublé d'un imbécile. Il est du genre "je-m'en-foutiste", il ne voyait la vie qu'a sa manière, mais cela est un autre chapitre de cette histoire,:P.
Il a donc trimé durant cinq longs mois : pendant lesquels il a gagné prés de cinq milles euro (il a fait deux jobs en même temps) ils étaient bien rémunérés, et c'est pourquoi il les avait choisi mais ne nous étalons pas sur ce sujet car il n'est pas très intéressant.)
En fait il a décidé de le lui offrir pour son anniversaire. Beau le cadeau d'anniversaire. Il savait qu'elle n'allait pas refuser, elle lui avait dit qu'elle le suivrait où il irait, mais au fond de lui il savait qu'elle pouvait accepter comme refuser.:s
Il aime regarder ses mains. il ne sait pas pourquoi mais elles lui semblent importantes. Il peut les regarder ainsi des heures durant et elle lorsqu'elle le remarque les fait jouer comme si elle a un piano et elle fait de même avec ses pieds.
Elle lui semble être la perfection incarnée, car elle n'est pas parfaite justement. Il pensait avoir des goûts originaux, qu'il était l'un des seul a convoiter la jolie jeune fille mais en réalité elle était vraiment belle.:@
Déçus par cette révélation, notre homme rentre chez lui dégoûté car elle a sourit a un garçon, qui lui a rendu l'esquisse, provoquant chez notre homme un drôle de sentiment la jalousie et ne se supportant plus, ayant également marre de sa lassitude, il pris un de ces élan et se claquât la joue droite avec une violence qu'il se mordit la langue et faillit perdre l'équilibre, et garda la marque une bonne demie journée. Il commença a taper dans le mur de sa chambre et s'arrêta quelques temps plus tard car ses doigts étaient tout ensanglantés. Il se traita de bouffon et rigola de sa stupidité.
Donc il est 9h 37, il commence a s'habiller. Des habits pas trop classes mais décontractés comme son caractère avec un pantalon ample que l'on appelle "battle", il met avec cela une chemise blanche dont il retrousse les manches en une seule fois mais qui arrive jusqu'au coudes. Il chausse une paire de "converse" kaki (mais sur des tons plus gris que son pantalon). Il adore s'habiller comme ça. Il met un chapeau noir (tu sais ce qui ont trop la classe)et une écharpe en triangle noire et blanche (le seul truc de valable dans le phénomène "tecktonique" je sais même pas comment ça s'écrit ). Il n'a que ce genre d'habits dans son armoire.
Ça y' est il est prêt pour rejoindre sa belle,:P même si elle n'est qu'une amie. Il ne voulait pas de rapports ambigus mais si c'est le cas cela ne le dérange pas. Il prend sa 125 cm3 et part a toute allure. Ils habitent a une trentaine de km l'un de l'autre, lui en race campagne et elle .. euh on ne le sait pas car rappelons le (même si on ne l'a jamais précisé) nous ne pouvons décrire que les choses que notre "héros" voit ou a déjà vu)Il se laissa guider par son instinct (et les panneaux directionnels) il s'en fout, part, et finalement trouve le village (qu'on décrira plus tard .
Elle est là, assise sur un banc, d'une beauté extravagante, peut être n'est elle pas coiffée ou maquillée et habillée simplement d'un jean et d'un blouson a capuche avec des étoiles discrètement imprimées sur l'habit, mais notre homme l'aimait comme ça.(c'est vrai quoi ça sert a rien de se maquiller comme une malade si le matin vous faites peur a votre copain lorsque vous ne l'êtes plus, alors pour éviter toutes surprises matinales soyez naturelles mesdames...et on vous appréciera encore plus.
Comme l'a si bien dit une de mes potta (potto au féminin) on est tous des humains avec du caca dans les yeux le matin on va tous aux toilettes... on développera ce sujet plus tard...)Mais quelque chose vient troubler cette vision magnifique, là a coté d'elle, un garçon de son age est assis a coté d'elle ( nous ne le décrirons pas maintenant) sûrement son copain.
Il l'a regardait, elle ne le remarquait pas :s , il l'a dévorait des yeux, elle ne le savait pas.
Il voulait lui parler, elle s'en foutait. Pourquoi? Parce que c'était un garçon on ne peut plus banal, mais plus idiot que la moyenne.
Mais un beau jour de printemps il s'est dit avec un de ses pote (euh son seul vrai pote en réalité )qu'il fallait lui parler, a elle et ses copines:P.
Notre homme c'est beaucoup rapproché de ses copines mais il voulait se rapprocher plus de la belle, chose qu'il parvint a réaliser, cependant cela ne lui suffisait pas, et ça n'allait certainement jamais suffire... ( ne sombrons pas dans le pathos comme l'aurait dit ma prof de français même si tout ce roman est pathétiquement pathétique :d.)
Il savait que si il tombait un jour, il tomberait de sacrement haut ... mais il ne regrettera en aucun cas cette relation. Il l'aimait comme jamais il n'avait aimé et comme jamais il n 'aimera. Il va donc se rapprocher d'elle en devenant son "ami".
Ils vont donc tous les deux essayer de travailler cette "amitié" ( ce qui est bête car ce genre d'amitié n'est pas faite pour durer) et lui va essayer d'aller plus loin a chaque fois, et elle le remarquant se jouera de lui... .
Il décide donc de travailler pendant cinq long mois pour réaliser ce rêve fou de voyage, et va proposer a celle qu'il convoite (d'après cette chère Anaïs c'est mieux de mettre ça et non elle :D) de partir avec lui. Seul bémol, elle a un copain:s.
En même temps si notre homme s'était bougé le cul, il aurait peut être eut sa chance:@. Mais bon il est lent, de ce coté là surtout, doublé d'un imbécile. Il est du genre "je-m'en-foutiste", il ne voyait la vie qu'a sa manière, mais cela est un autre chapitre de cette histoire,:P.
Il a donc trimé durant cinq longs mois : pendant lesquels il a gagné prés de cinq milles euro (il a fait deux jobs en même temps) ils étaient bien rémunérés, et c'est pourquoi il les avait choisi mais ne nous étalons pas sur ce sujet car il n'est pas très intéressant.)
En fait il a décidé de le lui offrir pour son anniversaire. Beau le cadeau d'anniversaire. Il savait qu'elle n'allait pas refuser, elle lui avait dit qu'elle le suivrait où il irait, mais au fond de lui il savait qu'elle pouvait accepter comme refuser.:s
Il aime regarder ses mains. il ne sait pas pourquoi mais elles lui semblent importantes. Il peut les regarder ainsi des heures durant et elle lorsqu'elle le remarque les fait jouer comme si elle a un piano et elle fait de même avec ses pieds.
Elle lui semble être la perfection incarnée, car elle n'est pas parfaite justement. Il pensait avoir des goûts originaux, qu'il était l'un des seul a convoiter la jolie jeune fille mais en réalité elle était vraiment belle.:@
Déçus par cette révélation, notre homme rentre chez lui dégoûté car elle a sourit a un garçon, qui lui a rendu l'esquisse, provoquant chez notre homme un drôle de sentiment la jalousie et ne se supportant plus, ayant également marre de sa lassitude, il pris un de ces élan et se claquât la joue droite avec une violence qu'il se mordit la langue et faillit perdre l'équilibre, et garda la marque une bonne demie journée. Il commença a taper dans le mur de sa chambre et s'arrêta quelques temps plus tard car ses doigts étaient tout ensanglantés. Il se traita de bouffon et rigola de sa stupidité.
Donc il est 9h 37, il commence a s'habiller. Des habits pas trop classes mais décontractés comme son caractère avec un pantalon ample que l'on appelle "battle", il met avec cela une chemise blanche dont il retrousse les manches en une seule fois mais qui arrive jusqu'au coudes. Il chausse une paire de "converse" kaki (mais sur des tons plus gris que son pantalon). Il adore s'habiller comme ça. Il met un chapeau noir (tu sais ce qui ont trop la classe)et une écharpe en triangle noire et blanche (le seul truc de valable dans le phénomène "tecktonique" je sais même pas comment ça s'écrit ). Il n'a que ce genre d'habits dans son armoire.
Ça y' est il est prêt pour rejoindre sa belle,:P même si elle n'est qu'une amie. Il ne voulait pas de rapports ambigus mais si c'est le cas cela ne le dérange pas. Il prend sa 125 cm3 et part a toute allure. Ils habitent a une trentaine de km l'un de l'autre, lui en race campagne et elle .. euh on ne le sait pas car rappelons le (même si on ne l'a jamais précisé) nous ne pouvons décrire que les choses que notre "héros" voit ou a déjà vu)Il se laissa guider par son instinct (et les panneaux directionnels) il s'en fout, part, et finalement trouve le village (qu'on décrira plus tard .
Elle est là, assise sur un banc, d'une beauté extravagante, peut être n'est elle pas coiffée ou maquillée et habillée simplement d'un jean et d'un blouson a capuche avec des étoiles discrètement imprimées sur l'habit, mais notre homme l'aimait comme ça.(c'est vrai quoi ça sert a rien de se maquiller comme une malade si le matin vous faites peur a votre copain lorsque vous ne l'êtes plus, alors pour éviter toutes surprises matinales soyez naturelles mesdames...et on vous appréciera encore plus.
Comme l'a si bien dit une de mes potta (potto au féminin) on est tous des humains avec du caca dans les yeux le matin on va tous aux toilettes... on développera ce sujet plus tard...)Mais quelque chose vient troubler cette vision magnifique, là a coté d'elle, un garçon de son age est assis a coté d'elle ( nous ne le décrirons pas maintenant) sûrement son copain.
Commentaires
- ArtShoot
18/05/2009 à 18:06:05
Ne t'inquiète pas pour le fait que ce soit trop court.
J'avoue que je n'ai pas tout lu, peut-être plus tard.
Bonne chance pour la suite