Note de la fic : Non notée

Epopee_Philosophique


Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué



Chapitre 1


Publié le 19/08/2013 à 01:14:18 par Pseudo supprimé

28/09/2012



à écouter en lisant !


Ceci est le récit d'un organe a la première personne.

Je me demande pourquoi se pose toujours la question pourquoi ?
Peut etre parce que je me la pose aussi...
Notre idéal nous pousse a dépasser nos limites, sachant que des limites sont indépassables, la société nous pousserait-elle a nous surestimer tout en faisant de nous des moutons assoifés d'argent et de biens ? Je pense qu'elle nous pousse surtout à etre dépendant d'une seule et même machine et que le monde entier appartient a une ombre lugubre et invisible.

L'amour est elle la plus belle chose au monde ou est-ce la mort ? La mort, car il n'y a qu'elle pour nous libérer de la mort
Je ne me demande pas ce qu'il y a après cette dernière, je me demande déja ce que je vais faire avant, c'est sa le plus important.

Le bien ou le mal n'est pas une question de pensée mais de conditionnement dans lequel on vit, dans le régime politique, dans lequel on vit. Nos esprits et nos jugements sont esclaves d'une nation ou d'un peuple, donc il faut se rebeller psychlogiquement, comme moi, afin de pouvoir survivre psychiquement.

D'ailleurs la politique apporte-t-elle une véritable evolution constante a l'humain ou ne fait-elle que réussir a freiner les envies de tout le monde ? Elle les freine car une routine , un cycle s'installe, les élections.
On nous mens , on nous promet...
La politique fait de nous des gens "civilisés" alors que partout ailleurs dans le monde il y a des tribus sans politiques mais qui sont bien plus heureuses que nous...

Si les mouvements comme les hippies existent pourquoi mon idéologie ne traverserait pas les siècles ? Mon idéologie est peut etre meilleur que la votre, alors fondez vous en une.
Pourquoi un amas de questions sans réponse ?
Car personne ne les a.
Je considère d'ailleurs les mouvement comme une avancée dans ce fameux conditionnement.

Quand à l'amour, la musique lui est d'égal car les sensations versées dans notre esprit après chaque jouissance de l'une ou de l'autre, sont égales. Ce sont les émotions, les meilleures choses dans la vie, sachez-le
Le fait d'acheter et de dépenser ne fait pas de toi un mouton, il fait de toi une victime. Une victime de la société de peur.

Victime de cette sale société qui par ailleurs nous rend heureux en nous donnant une définition du bonheur tout à fait ailleurs de ce que je considère.
Pour moi le bonheur se trouve partout, dans chaque plantes chaque pierre, mais pas dans l'argent.
"Les moments les plus excitants de ma vie furent ceux où je n'avait pas d'argent".

La confiance est la meilleur arme , et l'envie la seconde. L'abus de confiance empêche d'apprendre, la manque de confiance empêche d'agir.
Sans envies, il n'y a pas d'actes.
A la quête de ce que l'on voudrait etre, durant notre vie, on se perd, dans nos retranchement on espere, et on survit, au gré du vent, de la pluie, les choses nous trhaissent , et on subsiste par tous les moyens préconçus d'une société foutue.

Savoir lire entre les lignes ne vous donnera pas plus d'informations car vous passerez a coté du vrai texte.

L'amour a réponse à tout, mais Dieu alors ? Pourquoi les hommes aiment Dieu aveuglément, dans une confiance prospère ? Car la confiance est la meilleure arme.

Si vous en êtes arrivés là, vous posez vous des questions ? Les bonnes questions ?
Il le faut sinon vous passerez votre vie sans réponse. "Ne pas craindre de mourir idiot c'est risquer de mourir sans savoir pourquoi."

Un homme ne peut etre ami avec une fille que si cette magnfiique créature est en couple ou est moche. Ce qui fait que nous sommes fixés sur l'apparence, comme au moyen-age, d'où cette idée de non-évolution.

Trop de questions tuent les questions ?

Retiendrez vous l'essentiel ou ne retiendrez vous que ce que vous voulez retenir ?
L'essentiel est peut etre ce que vous voulez retenir...

La vie la mort qu'importe, le fait est que nous soyons là, tous différents, dans cette merde commune.

Il est au sein des bois un charme solitaire,
Un pur ravissement aux confins du désert,
Et de douces présences où nul ne s'aventure
Au bord de l'océan qui gronde et qui murmure
Sans cesser d'aimer l'homme, j'adore la Nature.

Christopher Supertramp McCandless




Tyler Durden, d'age mental équivalent a ce que vous venez de lire, en fugue depuis 12 ans.
Ils ne m'ont jamais retrouvé


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