Note de la fic : Non notée
Ses_amis_l_appelaient_Bob...
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 2 : ...
Publié le 19/08/2013 à 01:12:36 par Pseudo supprimé
Il se nommait Robert, mais ses amis l'appelaient Bob. Bob est un type normal, un type comme vous et moi, comme on en croise des centaines dans les rues. Il venait d'entrer dans la vie active et s'était trouvé un travail comme comptable dans un bureau.
Bob avait tout juste enterré ses rêves d'adolescent, d'idéaliste, se résignant comme il faut bien le faire un jour lorsque la vie vous prend tout à coup à la gorge, lorsque vous devez faire face aux visages austères du monde des adultes. Il n'était pas particulièrement heureux, la vie de Bob sonnait creux. Il avait pourtant eu des rêves, des projets, d'une vie vécue au jour le jour, une vie libre et indépendante. Il avait même formé un groupe de musique avec des amis et il lui semblait avoir vraiment été heureux à cette époque maintenant révolue. Depuis quelques temps il en avait assez, mais que pouvait-il y faire ?
Cela faisait exactement deux semaines qu'il faisait le même trajet pour se rendre dans cette tour grise et froide, contemplant les têtes de zombies que tiraient les autres types dans la même cas que lui, se demandant si il leur ressemblait, sans doute. il marchait sur le trottoir gris, tout étais gris, le ciel les gens, son humeur, la vie... Bob poussa la porte d'entrée, pénétra dans le hall et un petit "ding" se fit entendre lorsque les portes de l'ascenseur s'ouvrirent, il appuya sur le bouton du vingt deuxième étage.
Bob se regarda dans le miroir de l'ascenseur, il avait vraiment une mine de déterré, cernes, barbe d'un jour et cheveux ébouriffés, on aurait dit un singe de l'espace. C'était vraiment désolant, oui désolant était le bon mot et ...
"Ding"
Les portes s'ouvrirent et il se dirigea vers son box, alluma son ordinateur. Il était 8 heures la journée de travail commençait il salua quelques collègues fit un détour par la machine à café se mit en route vers son emplacement et s'assit, il commença à tapoter sur son clavier, le programme était chargé, trop chargé, il avait l'impression d'être surexploité.
14 H 37 indiquait sa montre, plus de 6 heures qu'il était là assis à compter, se levant de temps en temps pour faire de photocopies ou a midi pour la pause déjeuner.
Son chef vint le voir pour la quatrième fois de la journée, à croire qu'il n'avait pour seul but que lui pourrir la vie, sans doute ayant pour Saint Graal de se persuader que la sienne était meilleure. Il était là, depuis le début Bob sentait qu'il l'avait repéré, ce petit homme à moitié chauve ne pouvait pas le sentir et ça se voyait, il profitait de sa position pour lui glisser des remarques sifflantes, sachant très bien qu'une quelconque réaction de Bob serait retenue contre lui. Et ça faisait une fois de plus aujourd'hui que cet avorton à la voix nasillarde venait "inspecter son travail". Bob avait toujours eu des problèmes avec l'autorité, il avait été forcé de se calmer avec le temps mais il sentait qu'il pouvait perdre le contrôle à tout moment.
Bob ne put décrire ce qui se passa ensuite. Tout à coup tout lui revint, en quelques secondes il se repassa de nombreux moment du film de sa vie. Qu'il y'avait un temps pas si reculé ou tout ce qu'il voulait était vivre au jour le jour et vivre, VIVRE, pas mourir à petit feu comme tous ces gens aux visages tristes qu'il croisait le matin. Il savait qu'il pouvait changer ça, qui pouvait y faire quelque chose, il suffisait de saisir l'occasion.
Il se souvint qu'un jour il avait eu des rêves, des convictions, qu'il voulait faire tout éviter de finir comme il avait fini. Bob se souvint du groupe de musique qu'il avait formé avec ses amis. Il se rendit compte qu'un jour il avait été heureux et que ce n'était plus le cas. Il se dit qu'il avait peut-être encore le temps, le temps de changer de cap.
Bob était devenu une sous-merde et il allait changer ça.
Une colère intense monta alors en lui, une colère contre ce qu'il était devenu, et plus encore, contre ceux qui avaient fait ce qu'il était devenu. Il entendit l'écho d'une chanson de sa jeunesse dans son esprit Smells Like A Teen Spirit de Nirvana un bon classique. Il savait qu'il avait aimé la jouer, et il allait la jouer encore une fois. Bob saisit son agrafeuse qui cette fois-ci ferait office de guitare.
"Fermez votre putain de gueule..." Susurra t-il à peine assez fort pour qu'il l'entende.
"Vous pouvez répéter ?" Demanda le petit homme menaçant et tout guilleret d'avoir réussi à la provoquer
Puis Bob le saisit au col, pris par surprise, il était à moitié livide et à moitié rouge de colère. Bob pointa son index sous le menton de son adversaire.
"J'ai dit fermez votre gueule, vous comprenez ça ? Je pisse sur les gens qui veulent diriger chacun de mes geste et j'ai la certitude que vous en faites partie alors maintenant vous allez la boucler car j'ai très envie de frapper quelqu'un et j'ai bien peur que ça ne soit vous qui me tombiez sous la main"
"Je vais vous faire virer !" Répliqua t-il d'une voix rauque
Bob s'approcha de son oreille et murmura :
"Vous faites exprès d'être con jusqu'au bout ou vous ne vous en rendez pas compte ?"
Il prit la main de sa victime qui se débattit et approcha son agrafeuse. Le voyant faire il se débattit de plus en plus et se mit à crier
"A l'aide, c'est un fou, a l'..."
Il planta une agrafe dans la main de cette raclure qui lui servait de supérieur qui hurla. Vert de rage et tout en pleurnichant ce dernier répliqua :
"Espèce de sale petit con je vais vous ..."
Bob lui envoya une droite dans le nez, son adversaire tomba à terre K.O le nez en sang. Il contempla son oeuvre, il entendit les petits cris étonnés des autres employés rassemblés pour voir la scène. Bob se sentit vivre, mais ce n'était qu'un début, il fallait continuer. Il sortit de son box d'un pas rapide, le regard déterminé, les têtes de ses collègues perplexes tournées vers lui, sans doute choqués par ce qui venait de se passer, ils voyaient surement ça comme un imprévu dans leur routine quotidienne.
"Ding"
Bob entra dans l'ascenseur. Il se regarda dans le miroir et se sourit à lui même, un sourire franc et chaleureux, satisfait, presque naïf.
"Ding"
Bob sortit de l'ascenseur à la même allure qu'il y était entré, poussa la porte d'entrée et sortit, entra dans sa voiture, chercha les clefs, mit le contact.
Il sortit un CD de la boîte à gant sans le regarder et l'inséra dans l'autoradio et mit le son à fond. Il n'était pas à lui et appartenait à un ami auquel il avait prêté la voiture et qui avait dû le laisser là. La musique retentit Should I Stay Or Should I Go, la question ne se posait pas.
Bob prit la direction de la côte.
Les fenêtres ouvertes il respirait l'air frais, un sentiment de liberté s'empara de lui. Il avait laissé la ville derrière lui depuis quelques temps. Il passait dans des petits bosquets, heureux de contempler la nature. Il avait choisi la mer car cela faisait tellement longtemps qu'il y était allé. La mer avait le don de le reposer. Il se souvint qu'il y allait souvent quand quelque chose n'allait pas. Cette fois-ci il avait le coeur léger. Porté par la musique il ne vit pas le temps passé et le ciel virer au jaune puis à l'orange. C'était une fin de printemps.
19 H 23 indiquait sa montre jusqu'au moment ou il ouvrit la fenêtre et la jeta sur la route. Le temps n'avait aucune importance seules les expériences comptaient à ses yeux, comme au temps de ses amis avec lesquels il avait vécu des choses géniales, malheureusement il avaient lentement perdu contact et il était rentré dans le rang.
Il roulait depuis un bon moment. La nuit avait déjà commencé à tomber, il écoutait maintenant la radio et passait actuellement Nightcall de Kavinsky.
C'était juste parfait, les lumières Il respira un grand coup l'air frais qui commençait à sentir la mer. C'était ça être vraiment heureux, dire qu'il avait oublié cette sensation, dire qu'il y avait renoncé.
La vie est belle, la vie fait pleurer.
Il arriva en vue de la plage la mer nocturne se mouvant telle une ombre noire se balançant d'avant en arrière, il se gara le plus près possible et sortit,il marchait doucement, prenait son temps. Qu'auraient pensé des gens en le voyant, il s'en moquait, il allait être en tête à tête avec l'eau et il pourrait tirer un trait sur le passé et commencer quelque chose de nouveau. On pouvait apercevoir la lune et les étoiles, une nuit sans nuages. Il faisait frais la nuit, une fraîcheur tellement agréable. Il se sentit minuscule et plein de mélancolie.
Au fur et à mesure qu'il marchait il se mit à sangloter puis à pleurer. Il s'assit sur la plage les bras croisés sur les genoux et contempla la mer laissant aller ses émotions au gré des flots. il se rappela tour à tour de ses amis, de ses amours, tout ce qu'il avait vécu puis pensa à tout ce qu'il allait vivre, se demanda ce qu'il allait faire ensuite ? Une dernière musique vint doucement se rapprocher de lui, il ne s'en rappelait plus le nom. Elle était agréable et évoquait tellement de moments à ses yeux. Il se demanda comment une chanson pouvait rappeler tant de souvenirs. C'était sa chanson préférée et il l'avait oubliée.
A ce moment là il n'aurait pu dire si elle provenait de la radio ou si c'était une réminiscence d'un passé lointain.
Bob avait tout juste enterré ses rêves d'adolescent, d'idéaliste, se résignant comme il faut bien le faire un jour lorsque la vie vous prend tout à coup à la gorge, lorsque vous devez faire face aux visages austères du monde des adultes. Il n'était pas particulièrement heureux, la vie de Bob sonnait creux. Il avait pourtant eu des rêves, des projets, d'une vie vécue au jour le jour, une vie libre et indépendante. Il avait même formé un groupe de musique avec des amis et il lui semblait avoir vraiment été heureux à cette époque maintenant révolue. Depuis quelques temps il en avait assez, mais que pouvait-il y faire ?
Cela faisait exactement deux semaines qu'il faisait le même trajet pour se rendre dans cette tour grise et froide, contemplant les têtes de zombies que tiraient les autres types dans la même cas que lui, se demandant si il leur ressemblait, sans doute. il marchait sur le trottoir gris, tout étais gris, le ciel les gens, son humeur, la vie... Bob poussa la porte d'entrée, pénétra dans le hall et un petit "ding" se fit entendre lorsque les portes de l'ascenseur s'ouvrirent, il appuya sur le bouton du vingt deuxième étage.
Bob se regarda dans le miroir de l'ascenseur, il avait vraiment une mine de déterré, cernes, barbe d'un jour et cheveux ébouriffés, on aurait dit un singe de l'espace. C'était vraiment désolant, oui désolant était le bon mot et ...
"Ding"
Les portes s'ouvrirent et il se dirigea vers son box, alluma son ordinateur. Il était 8 heures la journée de travail commençait il salua quelques collègues fit un détour par la machine à café se mit en route vers son emplacement et s'assit, il commença à tapoter sur son clavier, le programme était chargé, trop chargé, il avait l'impression d'être surexploité.
14 H 37 indiquait sa montre, plus de 6 heures qu'il était là assis à compter, se levant de temps en temps pour faire de photocopies ou a midi pour la pause déjeuner.
Son chef vint le voir pour la quatrième fois de la journée, à croire qu'il n'avait pour seul but que lui pourrir la vie, sans doute ayant pour Saint Graal de se persuader que la sienne était meilleure. Il était là, depuis le début Bob sentait qu'il l'avait repéré, ce petit homme à moitié chauve ne pouvait pas le sentir et ça se voyait, il profitait de sa position pour lui glisser des remarques sifflantes, sachant très bien qu'une quelconque réaction de Bob serait retenue contre lui. Et ça faisait une fois de plus aujourd'hui que cet avorton à la voix nasillarde venait "inspecter son travail". Bob avait toujours eu des problèmes avec l'autorité, il avait été forcé de se calmer avec le temps mais il sentait qu'il pouvait perdre le contrôle à tout moment.
Bob ne put décrire ce qui se passa ensuite. Tout à coup tout lui revint, en quelques secondes il se repassa de nombreux moment du film de sa vie. Qu'il y'avait un temps pas si reculé ou tout ce qu'il voulait était vivre au jour le jour et vivre, VIVRE, pas mourir à petit feu comme tous ces gens aux visages tristes qu'il croisait le matin. Il savait qu'il pouvait changer ça, qui pouvait y faire quelque chose, il suffisait de saisir l'occasion.
Il se souvint qu'un jour il avait eu des rêves, des convictions, qu'il voulait faire tout éviter de finir comme il avait fini. Bob se souvint du groupe de musique qu'il avait formé avec ses amis. Il se rendit compte qu'un jour il avait été heureux et que ce n'était plus le cas. Il se dit qu'il avait peut-être encore le temps, le temps de changer de cap.
Bob était devenu une sous-merde et il allait changer ça.
Une colère intense monta alors en lui, une colère contre ce qu'il était devenu, et plus encore, contre ceux qui avaient fait ce qu'il était devenu. Il entendit l'écho d'une chanson de sa jeunesse dans son esprit Smells Like A Teen Spirit de Nirvana un bon classique. Il savait qu'il avait aimé la jouer, et il allait la jouer encore une fois. Bob saisit son agrafeuse qui cette fois-ci ferait office de guitare.
"Fermez votre putain de gueule..." Susurra t-il à peine assez fort pour qu'il l'entende.
"Vous pouvez répéter ?" Demanda le petit homme menaçant et tout guilleret d'avoir réussi à la provoquer
Puis Bob le saisit au col, pris par surprise, il était à moitié livide et à moitié rouge de colère. Bob pointa son index sous le menton de son adversaire.
"J'ai dit fermez votre gueule, vous comprenez ça ? Je pisse sur les gens qui veulent diriger chacun de mes geste et j'ai la certitude que vous en faites partie alors maintenant vous allez la boucler car j'ai très envie de frapper quelqu'un et j'ai bien peur que ça ne soit vous qui me tombiez sous la main"
"Je vais vous faire virer !" Répliqua t-il d'une voix rauque
Bob s'approcha de son oreille et murmura :
"Vous faites exprès d'être con jusqu'au bout ou vous ne vous en rendez pas compte ?"
Il prit la main de sa victime qui se débattit et approcha son agrafeuse. Le voyant faire il se débattit de plus en plus et se mit à crier
"A l'aide, c'est un fou, a l'..."
Il planta une agrafe dans la main de cette raclure qui lui servait de supérieur qui hurla. Vert de rage et tout en pleurnichant ce dernier répliqua :
"Espèce de sale petit con je vais vous ..."
Bob lui envoya une droite dans le nez, son adversaire tomba à terre K.O le nez en sang. Il contempla son oeuvre, il entendit les petits cris étonnés des autres employés rassemblés pour voir la scène. Bob se sentit vivre, mais ce n'était qu'un début, il fallait continuer. Il sortit de son box d'un pas rapide, le regard déterminé, les têtes de ses collègues perplexes tournées vers lui, sans doute choqués par ce qui venait de se passer, ils voyaient surement ça comme un imprévu dans leur routine quotidienne.
"Ding"
Bob entra dans l'ascenseur. Il se regarda dans le miroir et se sourit à lui même, un sourire franc et chaleureux, satisfait, presque naïf.
"Ding"
Bob sortit de l'ascenseur à la même allure qu'il y était entré, poussa la porte d'entrée et sortit, entra dans sa voiture, chercha les clefs, mit le contact.
Il sortit un CD de la boîte à gant sans le regarder et l'inséra dans l'autoradio et mit le son à fond. Il n'était pas à lui et appartenait à un ami auquel il avait prêté la voiture et qui avait dû le laisser là. La musique retentit Should I Stay Or Should I Go, la question ne se posait pas.
Bob prit la direction de la côte.
Les fenêtres ouvertes il respirait l'air frais, un sentiment de liberté s'empara de lui. Il avait laissé la ville derrière lui depuis quelques temps. Il passait dans des petits bosquets, heureux de contempler la nature. Il avait choisi la mer car cela faisait tellement longtemps qu'il y était allé. La mer avait le don de le reposer. Il se souvint qu'il y allait souvent quand quelque chose n'allait pas. Cette fois-ci il avait le coeur léger. Porté par la musique il ne vit pas le temps passé et le ciel virer au jaune puis à l'orange. C'était une fin de printemps.
19 H 23 indiquait sa montre jusqu'au moment ou il ouvrit la fenêtre et la jeta sur la route. Le temps n'avait aucune importance seules les expériences comptaient à ses yeux, comme au temps de ses amis avec lesquels il avait vécu des choses géniales, malheureusement il avaient lentement perdu contact et il était rentré dans le rang.
Il roulait depuis un bon moment. La nuit avait déjà commencé à tomber, il écoutait maintenant la radio et passait actuellement Nightcall de Kavinsky.
C'était juste parfait, les lumières Il respira un grand coup l'air frais qui commençait à sentir la mer. C'était ça être vraiment heureux, dire qu'il avait oublié cette sensation, dire qu'il y avait renoncé.
La vie est belle, la vie fait pleurer.
Il arriva en vue de la plage la mer nocturne se mouvant telle une ombre noire se balançant d'avant en arrière, il se gara le plus près possible et sortit,il marchait doucement, prenait son temps. Qu'auraient pensé des gens en le voyant, il s'en moquait, il allait être en tête à tête avec l'eau et il pourrait tirer un trait sur le passé et commencer quelque chose de nouveau. On pouvait apercevoir la lune et les étoiles, une nuit sans nuages. Il faisait frais la nuit, une fraîcheur tellement agréable. Il se sentit minuscule et plein de mélancolie.
Au fur et à mesure qu'il marchait il se mit à sangloter puis à pleurer. Il s'assit sur la plage les bras croisés sur les genoux et contempla la mer laissant aller ses émotions au gré des flots. il se rappela tour à tour de ses amis, de ses amours, tout ce qu'il avait vécu puis pensa à tout ce qu'il allait vivre, se demanda ce qu'il allait faire ensuite ? Une dernière musique vint doucement se rapprocher de lui, il ne s'en rappelait plus le nom. Elle était agréable et évoquait tellement de moments à ses yeux. Il se demanda comment une chanson pouvait rappeler tant de souvenirs. C'était sa chanson préférée et il l'avait oubliée.
A ce moment là il n'aurait pu dire si elle provenait de la radio ou si c'était une réminiscence d'un passé lointain.