Note de la fic : Non notée
Des_Vacances_de_Reves
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 5 : Danger imminent
Publié le 19/08/2013 à 01:12:24 par Pseudo supprimé
Je me reveillai le lendemain matin , Julie était entrain de dormir , je regarde mon portable , 10h07 , j'aurais aimé me réveiller et être chez moi , dans mon lit , sans que rien de ce que j'ai vécu n'existe , malheureusement ce qui s'est passé à la prison et dans la rue étaient bel et bien réels . Après une bonne dizaine de minutes à réfléchir , je regardai donc mon portable , pas de réseau .Tu m'étonne , c'est toujours comme ça , dans les films , les jeux et les fics que je lisait sur un site appelé Noelfic .
Je me levai donc et je suis allé dans le salon , personne ( chaud les parents qui dorment jusqu'à midi ) . Je sorti donc un paquet de céréales et allumai la télé , cool je tombe sur Garfield sur France 3 mais , putin c'est quand qu'ils parlent de ce qui ce passe ici sérieux .
Bon je zappe , l'autre gros tas orange me saoule deja , enfaite j'ai fait que ça de tout mon p'tit dej , zapper , zapper , zapper..
C'est alors que Julie arriva dans le salon
J-" Bien dormi ?
- Ouais , j'étais tellement mort hier soir que voilà quoi. Et toi?
J- J'ai eu du mal à m'endormir , j'entendais des gens crié au loin c'était assez flippant en fait . J'me suis endormie que 2 h après
- Putin.. On est dans une belle merde..
J- Jte le fait pas dire Seb'..
- Aufait , ils sont ou les parents , ils dorment ?
J- Certains oui et d'autres non
- Comment ça ? Ils font des tours de garde tu veux dire ?
J- Oui , ils se relayent toutes les 2 heures.
- Mais jcroyais que l'endroit était sécurisé ?
J- Ouais bah apparemment ça l'est moins maintenant.
Sur ces mots elle mangea ses céréales . On passa 1h30 à regarderà télé comme des glands en attendant que les autres se réveillent .
Après cette attente tout le monde était dans le salon , y comprit les parents . Je dis bonjour à tout le monde , Julie fit de même .
L'oncle Ben pris donc la parole
B- " Bon , on a un problème . Ces..zombies..monstres..etc.. Savent qu'on est la , y'en a pas mal qui on commencé à se regrouper en bas de la rue. Il va falloir qu'on bouge d'ici au plus tard demain matin .
- Pour aller ou ? dis-je
A- Ouais et comment on rentrera à Castres tonton ?
B -On ira sur la côte au Sud direction Cap de Joux , là-bas on prendra mon yacht que j'ai acheter avant les vacances , direction Marseille , j'ai un stock d'essence au cas ou on tomberait en rade en mer, puis on rentre à Castres en bus ou en train , on verra.
J- Mais si en arrivant à Marseille des militaires surveille le port , on leur dit quoi ? Si ça se trouve ils ont mus un blocus et ils tirerons à vue , ils croiront qu'on sera infecté .
B- Cest justement ça le problème , j'ai aucune idée de de qui va nous arriver à Marseille
- Tant pis on doit tenter , si on meurt on sera tué par notre armée , ce sera déjà mieux que par ces zombies .
J- Ouais..jle sens pas trop moi..
- On a pas le choix Julie , si on reste sur l'île , notre mort ne sera qu'une question de temps
A- Ouais on a qu'à faire ça.
B- Ok , demain je veux tout le monde debout à 6h , prêt à partir
-Ok . Repondimes en choeur.
L'après midi se passa tranquillement , on jouait à des jeux de société , à la Xbox . Jusqu'à 17h, où des dizaines , des centaines d'hurlements se frient entendre dehors . Ben regardà par la fenêtre et je vis l'angoisse se dessiner sur son visage
- ILS ARRIVENT, VITE , SORTEZ TOUS PAR LE JARDIN. Cria t'il
On couru tous. Escalada la clôture , on était tous dehors . Il y avait mon frère , mon père , Julie et Alex et leurs parents et...merde , Ben était toujours pas revenu
- Faut aller l'aider , maintenant . Chuchotai-je de peur de nous faire repérer
J- Mais comment? J'te rappelé qu'on a pas d'armes
- On s'en fout ils nous a sauvé la vie ta oublié ? On improvisera mais 3 maximum. Bon alors qui me suit ?
- Moi . Dirent Alex et son père
La mère d'Alex n'avait pas l'air d'accord mais elle ne dis rien
On reescalada la clôture comme des clanpins et on s'approcha de la maison en faisant gaffe à être le plus discret possible. On avançait lentement jusqu'au moment où on entendit un bruit de vase ou de verre cassé . Mais il n'y avait visiblement aucune lutte dans la maison , ou en tout cas rien qui ne pouvait l'indiquer , j'espère que Sam à pu se cacher, vraiment.
On vit la porte arrière de la maison . Avant de rentrer il nous fallait des armes , on inspecte donc le jardin . Après moins de 15 secondes on trouva notre bonheur , un râteau , un marteau et une perceuse . Je pris le marteau ( genre Sam B de Dead Island ) , Alex le râteau ( il avait l'air d'un paysan ) et son père pris la perceuse . On ouvrait donc la porte . J'étais excité et en même ttemps j'avais peur comme jamais et une adrénaline de malade , mais on pouvait pas laisser Sam la , on pouvait le laisser mourir , sans même qu'on ne cherche à l'aider , mais j'aurais eu sa mort sur la conscience et je n'aurais pas pu le supporter. Si il était en vie , on devait l'aider , sinon , on lui offrira une belle mort.
Bref , on rentra donc la maison. Bordel ça puait la mort, mais il n'y avait personne , on fouilla le bas , sans succès , on passa à l'étage et la on vit une traînée de sang qui allait jusque dans la salle de bain..on entendait alors une respiration haletante
Pitié faites que ce ne soit pas son sang , pitié .
On se rapprochant donc de la salle de bain , mes mains tremblaient . On a alla donc dans la salle de bain.
Et la l'horreur , je ne pouvais croire ce que je voyais ...
To be Continued
Je me levai donc et je suis allé dans le salon , personne ( chaud les parents qui dorment jusqu'à midi ) . Je sorti donc un paquet de céréales et allumai la télé , cool je tombe sur Garfield sur France 3 mais , putin c'est quand qu'ils parlent de ce qui ce passe ici sérieux .
Bon je zappe , l'autre gros tas orange me saoule deja , enfaite j'ai fait que ça de tout mon p'tit dej , zapper , zapper , zapper..
C'est alors que Julie arriva dans le salon
J-" Bien dormi ?
- Ouais , j'étais tellement mort hier soir que voilà quoi. Et toi?
J- J'ai eu du mal à m'endormir , j'entendais des gens crié au loin c'était assez flippant en fait . J'me suis endormie que 2 h après
- Putin.. On est dans une belle merde..
J- Jte le fait pas dire Seb'..
- Aufait , ils sont ou les parents , ils dorment ?
J- Certains oui et d'autres non
- Comment ça ? Ils font des tours de garde tu veux dire ?
J- Oui , ils se relayent toutes les 2 heures.
- Mais jcroyais que l'endroit était sécurisé ?
J- Ouais bah apparemment ça l'est moins maintenant.
Sur ces mots elle mangea ses céréales . On passa 1h30 à regarderà télé comme des glands en attendant que les autres se réveillent .
Après cette attente tout le monde était dans le salon , y comprit les parents . Je dis bonjour à tout le monde , Julie fit de même .
L'oncle Ben pris donc la parole
B- " Bon , on a un problème . Ces..zombies..monstres..etc.. Savent qu'on est la , y'en a pas mal qui on commencé à se regrouper en bas de la rue. Il va falloir qu'on bouge d'ici au plus tard demain matin .
- Pour aller ou ? dis-je
A- Ouais et comment on rentrera à Castres tonton ?
B -On ira sur la côte au Sud direction Cap de Joux , là-bas on prendra mon yacht que j'ai acheter avant les vacances , direction Marseille , j'ai un stock d'essence au cas ou on tomberait en rade en mer, puis on rentre à Castres en bus ou en train , on verra.
J- Mais si en arrivant à Marseille des militaires surveille le port , on leur dit quoi ? Si ça se trouve ils ont mus un blocus et ils tirerons à vue , ils croiront qu'on sera infecté .
B- Cest justement ça le problème , j'ai aucune idée de de qui va nous arriver à Marseille
- Tant pis on doit tenter , si on meurt on sera tué par notre armée , ce sera déjà mieux que par ces zombies .
J- Ouais..jle sens pas trop moi..
- On a pas le choix Julie , si on reste sur l'île , notre mort ne sera qu'une question de temps
A- Ouais on a qu'à faire ça.
B- Ok , demain je veux tout le monde debout à 6h , prêt à partir
-Ok . Repondimes en choeur.
L'après midi se passa tranquillement , on jouait à des jeux de société , à la Xbox . Jusqu'à 17h, où des dizaines , des centaines d'hurlements se frient entendre dehors . Ben regardà par la fenêtre et je vis l'angoisse se dessiner sur son visage
- ILS ARRIVENT, VITE , SORTEZ TOUS PAR LE JARDIN. Cria t'il
On couru tous. Escalada la clôture , on était tous dehors . Il y avait mon frère , mon père , Julie et Alex et leurs parents et...merde , Ben était toujours pas revenu
- Faut aller l'aider , maintenant . Chuchotai-je de peur de nous faire repérer
J- Mais comment? J'te rappelé qu'on a pas d'armes
- On s'en fout ils nous a sauvé la vie ta oublié ? On improvisera mais 3 maximum. Bon alors qui me suit ?
- Moi . Dirent Alex et son père
La mère d'Alex n'avait pas l'air d'accord mais elle ne dis rien
On reescalada la clôture comme des clanpins et on s'approcha de la maison en faisant gaffe à être le plus discret possible. On avançait lentement jusqu'au moment où on entendit un bruit de vase ou de verre cassé . Mais il n'y avait visiblement aucune lutte dans la maison , ou en tout cas rien qui ne pouvait l'indiquer , j'espère que Sam à pu se cacher, vraiment.
On vit la porte arrière de la maison . Avant de rentrer il nous fallait des armes , on inspecte donc le jardin . Après moins de 15 secondes on trouva notre bonheur , un râteau , un marteau et une perceuse . Je pris le marteau ( genre Sam B de Dead Island ) , Alex le râteau ( il avait l'air d'un paysan ) et son père pris la perceuse . On ouvrait donc la porte . J'étais excité et en même ttemps j'avais peur comme jamais et une adrénaline de malade , mais on pouvait pas laisser Sam la , on pouvait le laisser mourir , sans même qu'on ne cherche à l'aider , mais j'aurais eu sa mort sur la conscience et je n'aurais pas pu le supporter. Si il était en vie , on devait l'aider , sinon , on lui offrira une belle mort.
Bref , on rentra donc la maison. Bordel ça puait la mort, mais il n'y avait personne , on fouilla le bas , sans succès , on passa à l'étage et la on vit une traînée de sang qui allait jusque dans la salle de bain..on entendait alors une respiration haletante
Pitié faites que ce ne soit pas son sang , pitié .
On se rapprochant donc de la salle de bain , mes mains tremblaient . On a alla donc dans la salle de bain.
Et la l'horreur , je ne pouvais croire ce que je voyais ...
To be Continued