Note de la fic : Non notée
OMG_J__ai_tue_ma_grand-mere_!!!
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 5 : Cap sur l'Angleterre !
Publié le 19/08/2013 à 01:12:24 par Pseudo supprimé
OMG J'ai tué ma grand-mère !!!
Chapitre IV)
J'arrivai assez rapidement à la Gare du Nord, j'y étais déjà venu plus d'une fois, l'endroit était assez immense... Je me dirigeai rapidement vers un guichet où se trouvait une sorte de gayzou...
_Bonjour
_Bonvour, ve peux vouvaider ?
_Je voudrais réserver un ticket d'Eurostar s'il vous plaît
_Première ou deuxième classe ?
_Deuxième
_D'accord, d'accord, d'accord, d'accooooooooord, puive avoir votre nom s'il vous plaît ?
_Euh... *Merde, j'avais pas pensé à ça... *
_Vous vavez oublié votre nom monsieur ?
_Laisse tomber, bye.
Avant que l'espèce de travelo puis dire quoique ce soit, je me cassai d'ici à grand pas, c'était cerné par les flics (et les tarlouzes ), fallait pas que je tourne trop...
Puis, l'Angleterre était pas pour tout de suite....
Je retournai vers l'entrée du RER que je pris en direction de Châtelet, armé de mon katana
Je savais que Châtelet était mal fréquenté, mais à ce niveau là, c'était carrément de la caricature... Des bancs de wesh de partout, toutes les sorties étaient cernés....
J'ai eu beau essayer de me faufiler discretos, pas moyen, j'me suis fait spotted
Une bande de suédois ( ) se mit à me suivre à l'intérieur de la gare, je me mets à courir à l'intérieur, me paumant dans les couloirs de la plus grande gare de Métro/RER de Paris....
Mais le résultat était là, je les avais semé
Ah non fail, ils étaient juste derrière en fait...
Yavait plus aucun moyen de fuir, j'avais pas le choix, j'allais devoir me battre. LET'S FIGHT ("> !!!
Une petite sous-merde d'environ 14 ans s'approcha de moi :
-Vid t poch pd
-...
-T sour ? Vid t poch jté di !
D'un seul coup, j'ai dégainé mon sabre, et j'ai bondi tel un panda sous cocaïne en rut sur le petit wesh, lui transperçant le bide, le faisant tourner, son dos contre mon torse, ma lame sous sa gorge : il s'agissait bel et bien d'une prise d'otage
Je m'adressai à ce qui semblait être le chef de la bande :
-Ecoute Jean-Mouloud ( ), si tu veux revoir ton fréro en vie, dis à tes macaque de se calmer
J'avais vraiment eu l'oeil, la ressemblance était frappante entre les deux, la même coupe (dégradé-steak ) et mêmes sapes de merde, je gérais
-Lui mon reuf ? C just une put ri1 a foutr, vné les mec, on lsaut
Fail...
L'équipe de suédois s'avançait vers moi, je jetais le petit merdeux sur les rails, et dégainait mon p'tit flingue de merde ( ), je tirai partout, mettait des coups de katanas dans tous les sens, je troue un bide, je tranche un bras, je mets une balle dans un oeil, je gérai
Rien ne pouvait m'arrê.... *PAN*
... Je venais de me prendre une balle dans le ventre, et pas un p'tit airsoft de merde, un vrai calibre
Je m'écroulais au sol, tandis que les 4 survivants me rouaient de coups, ils m'ont littéralement tabasser pendant 10 minutes, le sang giclait de chaque centimètre carré de mon visage, j'étais ouvert de partout, je sentais mes os craquer... Ils m'ont dépouillé, tout pris, ma thune, mes armes, mes fringues... J'étais à poil, sans rien, gisant dans mon propre sang...
Là c'était la fin, et je faisais plus le fier
J'entendais leurs rire résonner dans les couloirs, c'était fini...
Chapitre IV)
J'arrivai assez rapidement à la Gare du Nord, j'y étais déjà venu plus d'une fois, l'endroit était assez immense... Je me dirigeai rapidement vers un guichet où se trouvait une sorte de gayzou...
_Bonjour
_Bonvour, ve peux vouvaider ?
_Je voudrais réserver un ticket d'Eurostar s'il vous plaît
_Première ou deuxième classe ?
_Deuxième
_D'accord, d'accord, d'accord, d'accooooooooord, puive avoir votre nom s'il vous plaît ?
_Euh... *Merde, j'avais pas pensé à ça... *
_Vous vavez oublié votre nom monsieur ?
_Laisse tomber, bye.
Avant que l'espèce de travelo puis dire quoique ce soit, je me cassai d'ici à grand pas, c'était cerné par les flics (et les tarlouzes ), fallait pas que je tourne trop...
Puis, l'Angleterre était pas pour tout de suite....
Je retournai vers l'entrée du RER que je pris en direction de Châtelet, armé de mon katana
Je savais que Châtelet était mal fréquenté, mais à ce niveau là, c'était carrément de la caricature... Des bancs de wesh de partout, toutes les sorties étaient cernés....
J'ai eu beau essayer de me faufiler discretos, pas moyen, j'me suis fait spotted
Une bande de suédois ( ) se mit à me suivre à l'intérieur de la gare, je me mets à courir à l'intérieur, me paumant dans les couloirs de la plus grande gare de Métro/RER de Paris....
Mais le résultat était là, je les avais semé
Ah non fail, ils étaient juste derrière en fait...
Yavait plus aucun moyen de fuir, j'avais pas le choix, j'allais devoir me battre. LET'S FIGHT ("> !!!
Une petite sous-merde d'environ 14 ans s'approcha de moi :
-Vid t poch pd
-...
-T sour ? Vid t poch jté di !
D'un seul coup, j'ai dégainé mon sabre, et j'ai bondi tel un panda sous cocaïne en rut sur le petit wesh, lui transperçant le bide, le faisant tourner, son dos contre mon torse, ma lame sous sa gorge : il s'agissait bel et bien d'une prise d'otage
Je m'adressai à ce qui semblait être le chef de la bande :
-Ecoute Jean-Mouloud ( ), si tu veux revoir ton fréro en vie, dis à tes macaque de se calmer
J'avais vraiment eu l'oeil, la ressemblance était frappante entre les deux, la même coupe (dégradé-steak ) et mêmes sapes de merde, je gérais
-Lui mon reuf ? C just une put ri1 a foutr, vné les mec, on lsaut
Fail...
L'équipe de suédois s'avançait vers moi, je jetais le petit merdeux sur les rails, et dégainait mon p'tit flingue de merde ( ), je tirai partout, mettait des coups de katanas dans tous les sens, je troue un bide, je tranche un bras, je mets une balle dans un oeil, je gérai
Rien ne pouvait m'arrê.... *PAN*
... Je venais de me prendre une balle dans le ventre, et pas un p'tit airsoft de merde, un vrai calibre
Je m'écroulais au sol, tandis que les 4 survivants me rouaient de coups, ils m'ont littéralement tabasser pendant 10 minutes, le sang giclait de chaque centimètre carré de mon visage, j'étais ouvert de partout, je sentais mes os craquer... Ils m'ont dépouillé, tout pris, ma thune, mes armes, mes fringues... J'étais à poil, sans rien, gisant dans mon propre sang...
Là c'était la fin, et je faisais plus le fier
J'entendais leurs rire résonner dans les couloirs, c'était fini...