Note de la fic : Non notée
OMG_J__ai_tue_ma_grand-mere_!!!
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 43 : Pas le temps de trainer
Publié le 19/08/2013 à 01:12:24 par Pseudo supprimé
OMG J'ai tué ma grand-mère !!!
Chapitre XLII)
C'était vraiment epic, je filais à tout allure dans les couloirs de l'hôpital, j'avais pas fait ça depuis que j'avais tué le gros à Ste Marie....
*EDOUAAAAAAAAAAAAAAAAAARDDDD !!!!! ("> "
-D...D..Dieu ?
-T'es où p'tit branleur, reviens ici TOUT DE SUITE !!!!
-D'accoord !!!!
-T'as 30 secondes pour arriver.
-30 sec... *BAAAAAAAAAM*
OMAGAD
Je venais de rentrer dans un mur, ça avait résonné dans tout l'étage...
Je tombai par terre comme une merde, étalé devant la chambre 69, sans avoir la force de me relever.
Dieu allait me tuer
-
*BAAAAAAAAM*
Merde, il a foutu quoi encore cet autiste...
-Vous avez entendu ça ?
-Non, pas du tout non
-...
-Restez là vous deux, je vais ramasser le p'tit autiste, à tout de suite
Je sorti donc de la pièce, laissant Xavier seul avec Cécile (évanouie) et son oncle.
-
Après 9 mois, sans voir personne, ni ami, ni famille, je revoyais mon oncle, comme ça, au moment où je m'y attendais le moins.
-T'inquiète pas, on va rentrer, je vais te ramener chez ton père, on te cachera, tout ira bien...
-Non, c'est impossible tu comprends pas, j'ai vu mes 3 meilleurs potes se faire buter sous mes yeux par les hommes d père d'Olga, tout ça pour être sorti avec sa fille, et pour un peu de coc. C'est foutu, ma vie est foutu, j'ai du tué des gens pour me barrer de cet hosto, on a tué 400 personnes en une fraction de seconde, j'ai tué quelqu'un en lui plantant un couteau dans le bide, j'ai littéralement fait flamber des gardiens de Ste Marie, je me suis battu avec beaucoup de monde, j'en peux plus, ma vie est terminée, j'aurai jamais une vie normale comme avant tu comprends, c'est impossible...
Je m'écroulai à genoux au sol, c'en était trop d'un coup... Je ne pleurai pas, mais je me rendais juste compte que je n'aurai jamais de vie.
-Ca va aller, t'en fais pas...
Tonton me posa blouse sur les épaules, disant qu'il allait rester avec moi pour le moment, que je ferais mieux d'aller m'asseoir, ce que je fis.
Ca tenait chaud une blouse de médecin mine de rien...
Je sorti mon talkie walkie pour parler à Paul, histoire de savoir où il en était...
-
Bon, où est passé ce p'tit branleur
J'arpentai les couloirs du troisième à la recherche de mon lieutenant, passant devant toute les chambres, 1 par une. Il y avait 30 chambres à cet étage, de la numéro 40 à la numéro à la numéro 70, j'allais devoir toutes les faire une par une...
Bon, je vous détaillerai pas la recherche qui n'était pas très intéressante et se résuma pour moi à marcher jusqu'à le trouver étalé devant la chambre 69, quand mon talkie bipa.
-Paul ?
-Ouais ?
-Ca avance ?
-Ouais, je viens d'le trouver, à l'autre bout du couloir d'en face, j'arrive dans 3 minutes
-A toute
Je portai Edouard, le posant sur son fauteuil roulant, me dirigeant vers la chambre 42, en prenant bien soin de prendre le matos pour suturer et les pansements, et de le mettre dans MES poches, mesure de sécurité m'voyez
-
-J'arrive dans 3 minutes
-A toute.
Je rangeais mon talkie dans la poche de la blouse, sans me donner la peine de l'éteindre, je m'en foutais un peu pour tout dire...
C'était vraiment le dernier truc dont je pouvais me soucier à l'heure actuelle, vue l'état des choses...
-Xavier ?
-Oui ?
-Tu connais bien Allender ?
-Euh assez, je trouve que c'est un type sympa, sans lui je serais mort à l'heure qu'il est, même s'il est un peu chiant, je peux bien lui passer ses gamineries de temps en temps...
-Tu ne dois pas dire ça sur Allender, ce type est un psychopathe tu m'entends, un FOU !
-..
-Tu sais combien de personnes il a tué en à peine 3 mois ?
-Environ 440, je sais, mais qu'est ce que tu veux que j'te dise, j'm'en fous un peu ; la fin justifie les moyens comme on dit, tout ce que je vois, c'est que je suis dehors et en vie grâce à lui.
-Tu es un inconscient !
Ce type est un dangereux psychopathe, tu ne dois surtout pas dire ce genre de choses devant un jury tu m'entends, si on te pose la question, Allender est un dangereux criminel fou allié !
-Hors de question que je mente, je préfère croupir en taule plutôt que de devenir un traître.
*SBAF*
Tonton venait de me gifler, et pas gentiment.
-Ton père s'arracherait les cheveux à t'entendre parler comme ça. Qu'est ce qui a bien pu te rendre comme ça ?
-Voir mes 3 meilleurs amis se faire tuer sous mes yeux peut-être ? Oh non je sais, les 8 mois que j'ai passé enfermé dans 2m² en mangeant une fois par jour un jour sur deux ? Les centaines de personnes que j'ai vu mourir sous mes yeux ? Ca doit y être pour quelque chose je pense, t'en dis quoi toi ? ))">
-Silence !
-Puis d'ailleurs, j'en ai rien à foutre de c'que ce vieux con peut penser ; il a toujours Etienne de toutes façons, c'est pas comme si j'étais réellement important à ses yeux.
La porte s'ouvrit, nous interrompant dans notre discussion, Paul venant de rentrer dans la pièce avec Edouard évanoui sur un fauteuil roulant.
-Il dort ?
-Tu déconnes, il s'est évanoui, pour qu'il dorme, faut y aller avec lui
Bref, j'ai le matos.
-Parfait, tonton, tu vas pouvoir suturer ?
-..B...Bien sûr.
Donnez moi ça.
-
J'avais pas trop confiance en ce vieux con moi, les coups fourrés il m'en avait déjà fait, et il en était certainement pas à son coup d'essai, à en juger par la hauteur de l'entubage m'voyez
Il sutura assez rapidement, il mit un petit pansement, c'était vraiment clean, loin de la boucherie que j'avais fait subir à mon bras gauche le premier jour de ma cavale
-Bon, vous devez partir maintenant.
-Chapeau le vieux, on aurait pas pigé sinon
-Prenez les clés de ma voiture, j'ignore comment vous avez circulé jusqu'ici, mais je vous tire mon chapeau pour vous en être sorti.
-Ouais, c'est ça c'est ça, aboules clés, on s'taille
-Au revoir Tonton...
-Soit fort et courageux Xavier, je sais que tu peux réussir à retrouver cet homme que tu cherches, et tu lui feras payer tout ce qu'il a fait !
Pffff, pourquoi faut il toujours se répandre dans le larmoyant pour les scènes de famille dans l'genre ?
Il rendit sa blouse à son oncle, disant qu'ils se reverraient un jour, blablabla...
Enfin, je réveillai Edouard en lui mettant quelques petites tape sur les joues (euphémisme pour gifles énormes en masse ), nous prîmes Cécile, la posâmes sur le lit à roulette, et nous dirigeâmes vers l'ascenseur, descendant sur le parking de l'hôpital.
-On a vraiment eu de la chance croiser mon oncle, il a soigné Cécile, et on a une supère bagnole maintenant !
-Pfft, ouais.
Il avait pas tort, c'était une super BMW, le mec se faisait plaisir à ce que je vois
-
-Docteur Ferrarpasser, vous m'appelez si tard dans la nuit, vous voulez donc mourir ?
-Monsieur Kovalsky, je crois qu'on a un problème....
Chapitre XLII)
C'était vraiment epic, je filais à tout allure dans les couloirs de l'hôpital, j'avais pas fait ça depuis que j'avais tué le gros à Ste Marie....
*EDOUAAAAAAAAAAAAAAAAAARDDDD !!!!! ("> "
-D...D..Dieu ?
-T'es où p'tit branleur, reviens ici TOUT DE SUITE !!!!
-D'accoord !!!!
-T'as 30 secondes pour arriver.
-30 sec... *BAAAAAAAAAM*
OMAGAD
Je venais de rentrer dans un mur, ça avait résonné dans tout l'étage...
Je tombai par terre comme une merde, étalé devant la chambre 69, sans avoir la force de me relever.
Dieu allait me tuer
-
*BAAAAAAAAM*
Merde, il a foutu quoi encore cet autiste...
-Vous avez entendu ça ?
-Non, pas du tout non
-...
-Restez là vous deux, je vais ramasser le p'tit autiste, à tout de suite
Je sorti donc de la pièce, laissant Xavier seul avec Cécile (évanouie) et son oncle.
-
Après 9 mois, sans voir personne, ni ami, ni famille, je revoyais mon oncle, comme ça, au moment où je m'y attendais le moins.
-T'inquiète pas, on va rentrer, je vais te ramener chez ton père, on te cachera, tout ira bien...
-Non, c'est impossible tu comprends pas, j'ai vu mes 3 meilleurs potes se faire buter sous mes yeux par les hommes d père d'Olga, tout ça pour être sorti avec sa fille, et pour un peu de coc. C'est foutu, ma vie est foutu, j'ai du tué des gens pour me barrer de cet hosto, on a tué 400 personnes en une fraction de seconde, j'ai tué quelqu'un en lui plantant un couteau dans le bide, j'ai littéralement fait flamber des gardiens de Ste Marie, je me suis battu avec beaucoup de monde, j'en peux plus, ma vie est terminée, j'aurai jamais une vie normale comme avant tu comprends, c'est impossible...
Je m'écroulai à genoux au sol, c'en était trop d'un coup... Je ne pleurai pas, mais je me rendais juste compte que je n'aurai jamais de vie.
-Ca va aller, t'en fais pas...
Tonton me posa blouse sur les épaules, disant qu'il allait rester avec moi pour le moment, que je ferais mieux d'aller m'asseoir, ce que je fis.
Ca tenait chaud une blouse de médecin mine de rien...
Je sorti mon talkie walkie pour parler à Paul, histoire de savoir où il en était...
-
Bon, où est passé ce p'tit branleur
J'arpentai les couloirs du troisième à la recherche de mon lieutenant, passant devant toute les chambres, 1 par une. Il y avait 30 chambres à cet étage, de la numéro 40 à la numéro à la numéro 70, j'allais devoir toutes les faire une par une...
Bon, je vous détaillerai pas la recherche qui n'était pas très intéressante et se résuma pour moi à marcher jusqu'à le trouver étalé devant la chambre 69, quand mon talkie bipa.
-Paul ?
-Ouais ?
-Ca avance ?
-Ouais, je viens d'le trouver, à l'autre bout du couloir d'en face, j'arrive dans 3 minutes
-A toute
Je portai Edouard, le posant sur son fauteuil roulant, me dirigeant vers la chambre 42, en prenant bien soin de prendre le matos pour suturer et les pansements, et de le mettre dans MES poches, mesure de sécurité m'voyez
-
-J'arrive dans 3 minutes
-A toute.
Je rangeais mon talkie dans la poche de la blouse, sans me donner la peine de l'éteindre, je m'en foutais un peu pour tout dire...
C'était vraiment le dernier truc dont je pouvais me soucier à l'heure actuelle, vue l'état des choses...
-Xavier ?
-Oui ?
-Tu connais bien Allender ?
-Euh assez, je trouve que c'est un type sympa, sans lui je serais mort à l'heure qu'il est, même s'il est un peu chiant, je peux bien lui passer ses gamineries de temps en temps...
-Tu ne dois pas dire ça sur Allender, ce type est un psychopathe tu m'entends, un FOU !
-..
-Tu sais combien de personnes il a tué en à peine 3 mois ?
-Environ 440, je sais, mais qu'est ce que tu veux que j'te dise, j'm'en fous un peu ; la fin justifie les moyens comme on dit, tout ce que je vois, c'est que je suis dehors et en vie grâce à lui.
-Tu es un inconscient !
Ce type est un dangereux psychopathe, tu ne dois surtout pas dire ce genre de choses devant un jury tu m'entends, si on te pose la question, Allender est un dangereux criminel fou allié !
-Hors de question que je mente, je préfère croupir en taule plutôt que de devenir un traître.
*SBAF*
Tonton venait de me gifler, et pas gentiment.
-Ton père s'arracherait les cheveux à t'entendre parler comme ça. Qu'est ce qui a bien pu te rendre comme ça ?
-Voir mes 3 meilleurs amis se faire tuer sous mes yeux peut-être ? Oh non je sais, les 8 mois que j'ai passé enfermé dans 2m² en mangeant une fois par jour un jour sur deux ? Les centaines de personnes que j'ai vu mourir sous mes yeux ? Ca doit y être pour quelque chose je pense, t'en dis quoi toi ? ))">
-Silence !
-Puis d'ailleurs, j'en ai rien à foutre de c'que ce vieux con peut penser ; il a toujours Etienne de toutes façons, c'est pas comme si j'étais réellement important à ses yeux.
La porte s'ouvrit, nous interrompant dans notre discussion, Paul venant de rentrer dans la pièce avec Edouard évanoui sur un fauteuil roulant.
-Il dort ?
-Tu déconnes, il s'est évanoui, pour qu'il dorme, faut y aller avec lui
Bref, j'ai le matos.
-Parfait, tonton, tu vas pouvoir suturer ?
-..B...Bien sûr.
Donnez moi ça.
-
J'avais pas trop confiance en ce vieux con moi, les coups fourrés il m'en avait déjà fait, et il en était certainement pas à son coup d'essai, à en juger par la hauteur de l'entubage m'voyez
Il sutura assez rapidement, il mit un petit pansement, c'était vraiment clean, loin de la boucherie que j'avais fait subir à mon bras gauche le premier jour de ma cavale
-Bon, vous devez partir maintenant.
-Chapeau le vieux, on aurait pas pigé sinon
-Prenez les clés de ma voiture, j'ignore comment vous avez circulé jusqu'ici, mais je vous tire mon chapeau pour vous en être sorti.
-Ouais, c'est ça c'est ça, aboules clés, on s'taille
-Au revoir Tonton...
-Soit fort et courageux Xavier, je sais que tu peux réussir à retrouver cet homme que tu cherches, et tu lui feras payer tout ce qu'il a fait !
Pffff, pourquoi faut il toujours se répandre dans le larmoyant pour les scènes de famille dans l'genre ?
Il rendit sa blouse à son oncle, disant qu'ils se reverraient un jour, blablabla...
Enfin, je réveillai Edouard en lui mettant quelques petites tape sur les joues (euphémisme pour gifles énormes en masse ), nous prîmes Cécile, la posâmes sur le lit à roulette, et nous dirigeâmes vers l'ascenseur, descendant sur le parking de l'hôpital.
-On a vraiment eu de la chance croiser mon oncle, il a soigné Cécile, et on a une supère bagnole maintenant !
-Pfft, ouais.
Il avait pas tort, c'était une super BMW, le mec se faisait plaisir à ce que je vois
-
-Docteur Ferrarpasser, vous m'appelez si tard dans la nuit, vous voulez donc mourir ?
-Monsieur Kovalsky, je crois qu'on a un problème....