Note de la fic : Non notée
OMG_J__ai_tue_ma_grand-mere_!!!
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 13 : Retrouvailles avec le commissaire
Publié le 19/08/2013 à 01:12:24 par Pseudo supprimé
OMG J'ai tué ma grand-mère !!!
Chapitre XII
Je me réveillai, je voyais encore trouble, j'avais énormément mal à la mâchoire et au crane, j'entendais les sirènes, le bordel dehors, les flics à côté de moi... On m'avait retrouvé étalé au beau milieu du hall d'entrée du grand commissariat de St Nathanaël, 3 cadavres à proximité, les armes des crimes en main. J'étais déjà considéré comme violent, fou & dangereux, j'avais une quinzaine de meurtres sur le dos et cette histoire allait pas arranger mon cas.
Des flics me relevaient me passer les menottes, bafouillant leur procédure bidesque "Paul Allender, vous êtes en état d'arr..." blablabla blablabla, et ta mère enculé ? Cette fois, pas d'ambulance, on m'a mis dans une voiture de flics, la tête ouverte et la mâchoire pendante sans le moindre soin. J'avais un mal de chien (ah ok l'espression de papy) la voiture roulait vers je sais pas où, qu'ils m'emmènent n'importe où, j'm'en fous....
J'avais été trahi par le seul "ami" que je m'étais fait depuis des années, il s'était servi de moi comme otage, avait buté les 3 gardiens et m'avait collé leurs meurtres sur le dos, comme si j'avais pas déjà assez d'emmerdes, on m'y reprendra à me faire des "potes"....
Surprise on m'emmena, une fois de plus, à l'hôpital, je commençais à être abonné
On me foutait sur un énième brancard, sans m'endormir, on m'emmena juste au service des urgences, où on me recousu (à vif... ) le crâne, me fit une pratique douteuse pour me remettre la mâchoire en place puis on me plaça un bandage mousseux pour tenir ça en place. Sans temporiser, on me remit directement dans la voiture, et cette fois ci, on m'amena dans ce qui semblait être un autre commissariat. On me portait à bout de bras, on me balança, seul, dans une cellule, et on ferma la porte.
Je m'endormis dans la minute, sans autre forme de procès.
Le seau d'eau glacé qu'on venait de me balancer à la gueule me tira plutôt soudainement de mon sommeil, je n'avais absolument aucune idée du temps que j'avais passé à dormir, on m'amena dans un bureau et on me jeta sur une chaise.
Je patientai quelques minutes, en compagnie de 4 policiers, armés assez lourdement (casque, gilets, famas, matraque, taser, lacrymo...) quand soudain, la porte s'ouvra en fracas, mon grand ami ( ) le commissaire principal venait de débouler dans la salle, plus excédé que jamais.
-Commissaire Tartopaume, le prévenu est...
-Fermez là vous, je le vois bien qu'il est présent, il est sous mes yeux, dégagez maintenant.
-Bien commissaire.
-Et arrêtez la lèche, ça vous va très mal.
Quel enculé alors, il traitait ses subordonnés comme des merdes, merdes qui venaient de m'abandonner à mon triste sort.
*SBAF*
Le commissaire Tartopaume venait de m'envoyer une tarte énorme, qui me fit limite tomber dans les pommes (notez le jeu de mots ).
-Bordel de merde, qu'est ce qui se passe dans ta tête ?! Ca t'a pas suffit toutes tes conneries, il faut que tu ajoutes 3 agents de polices à ton tableau de chasse, dans MON commissariat ?!!! (">
C'est pas possible d'être aussi con, c'est incroyable !! Et n'essaie pas de te défendre, on t'as retrouvé, les armes ayant servi à tuer les gardiens dans les mains.
-..Je...
-T'as encore quelque chose à dire ? (">
-Oui
*SBAF*
Il venait de m'envoyer une seconde gifle, bien plus violente que la première.
-TA-GUEULE !
-C'est pas moi...
-Quoi ?! J'ai pas bien entendu.
-C'est pas moi...
-Ose le répéter encore une fois pour voir ?
-C'est-PAS-MOI !
*BOUM*
En une fraction de seconde, il avait dégainé son arme et m'avait foutu un coup de crosse dans la tempe, me jetant par terre, tempe sur laquelle il pointa son flingue
-Mais je vois qu'on a affaire à un p'tit rigolo...
Tu garderas tes salades pour les juge p'tit merdeux, si tu l'ouvres encore, j'te descends, pigé ?
-...
-Bien. On va te reconduire en cellule, et t'en bougeras pas jusqu'à ton procès.
Le commissaire siffla ses subalternes, qui s'empressèrent de me reconduire en cellule. En chemin, je les entendait déblatérer sur leur chef
-T'ain, quel enfoiré celui là, on peut dire qu'il est pas de bonne humeur, je peux plus l'supporter.
-Bah, tu t'en fous, c'est le métier, on s'était préparé à ça en s'engageant
-Préparer à quoi ? Des supérieurs chiants qui nous traitent comme de la merde et maltraitent les prévenus ? Regarde comme il a amoché le gosse...
A la différence de leurs collègues, ces deux là me posèrent doucement sur le sol de ma cellule, refermant la porte et me laissant seul, dans le noir. Je n'aimais pas le noir. Pas que j'en aie peur, juste que je ne l'appréciais pas plus que ça. Les atmosphère lugubres, c'est pas mon trip, au même titre que la pluie, les interros surprises, les murs invisibles dans les JV, les GFI-2 du 15-18, entre autres choses que je détestais...
J'allais devoir attendre jusqu'à demain, et mes chances de liberté étaient drôlement compromises avec cette nouvelle affaire.
Chapitre XII
Je me réveillai, je voyais encore trouble, j'avais énormément mal à la mâchoire et au crane, j'entendais les sirènes, le bordel dehors, les flics à côté de moi... On m'avait retrouvé étalé au beau milieu du hall d'entrée du grand commissariat de St Nathanaël, 3 cadavres à proximité, les armes des crimes en main. J'étais déjà considéré comme violent, fou & dangereux, j'avais une quinzaine de meurtres sur le dos et cette histoire allait pas arranger mon cas.
Des flics me relevaient me passer les menottes, bafouillant leur procédure bidesque "Paul Allender, vous êtes en état d'arr..." blablabla blablabla, et ta mère enculé ? Cette fois, pas d'ambulance, on m'a mis dans une voiture de flics, la tête ouverte et la mâchoire pendante sans le moindre soin. J'avais un mal de chien (ah ok l'espression de papy) la voiture roulait vers je sais pas où, qu'ils m'emmènent n'importe où, j'm'en fous....
J'avais été trahi par le seul "ami" que je m'étais fait depuis des années, il s'était servi de moi comme otage, avait buté les 3 gardiens et m'avait collé leurs meurtres sur le dos, comme si j'avais pas déjà assez d'emmerdes, on m'y reprendra à me faire des "potes"....
Surprise on m'emmena, une fois de plus, à l'hôpital, je commençais à être abonné
On me foutait sur un énième brancard, sans m'endormir, on m'emmena juste au service des urgences, où on me recousu (à vif... ) le crâne, me fit une pratique douteuse pour me remettre la mâchoire en place puis on me plaça un bandage mousseux pour tenir ça en place. Sans temporiser, on me remit directement dans la voiture, et cette fois ci, on m'amena dans ce qui semblait être un autre commissariat. On me portait à bout de bras, on me balança, seul, dans une cellule, et on ferma la porte.
Je m'endormis dans la minute, sans autre forme de procès.
Le seau d'eau glacé qu'on venait de me balancer à la gueule me tira plutôt soudainement de mon sommeil, je n'avais absolument aucune idée du temps que j'avais passé à dormir, on m'amena dans un bureau et on me jeta sur une chaise.
Je patientai quelques minutes, en compagnie de 4 policiers, armés assez lourdement (casque, gilets, famas, matraque, taser, lacrymo...) quand soudain, la porte s'ouvra en fracas, mon grand ami ( ) le commissaire principal venait de débouler dans la salle, plus excédé que jamais.
-Commissaire Tartopaume, le prévenu est...
-Fermez là vous, je le vois bien qu'il est présent, il est sous mes yeux, dégagez maintenant.
-Bien commissaire.
-Et arrêtez la lèche, ça vous va très mal.
Quel enculé alors, il traitait ses subordonnés comme des merdes, merdes qui venaient de m'abandonner à mon triste sort.
*SBAF*
Le commissaire Tartopaume venait de m'envoyer une tarte énorme, qui me fit limite tomber dans les pommes (notez le jeu de mots ).
-Bordel de merde, qu'est ce qui se passe dans ta tête ?! Ca t'a pas suffit toutes tes conneries, il faut que tu ajoutes 3 agents de polices à ton tableau de chasse, dans MON commissariat ?!!! (">
C'est pas possible d'être aussi con, c'est incroyable !! Et n'essaie pas de te défendre, on t'as retrouvé, les armes ayant servi à tuer les gardiens dans les mains.
-..Je...
-T'as encore quelque chose à dire ? (">
-Oui
*SBAF*
Il venait de m'envoyer une seconde gifle, bien plus violente que la première.
-TA-GUEULE !
-C'est pas moi...
-Quoi ?! J'ai pas bien entendu.
-C'est pas moi...
-Ose le répéter encore une fois pour voir ?
-C'est-PAS-MOI !
*BOUM*
En une fraction de seconde, il avait dégainé son arme et m'avait foutu un coup de crosse dans la tempe, me jetant par terre, tempe sur laquelle il pointa son flingue
-Mais je vois qu'on a affaire à un p'tit rigolo...
Tu garderas tes salades pour les juge p'tit merdeux, si tu l'ouvres encore, j'te descends, pigé ?
-...
-Bien. On va te reconduire en cellule, et t'en bougeras pas jusqu'à ton procès.
Le commissaire siffla ses subalternes, qui s'empressèrent de me reconduire en cellule. En chemin, je les entendait déblatérer sur leur chef
-T'ain, quel enfoiré celui là, on peut dire qu'il est pas de bonne humeur, je peux plus l'supporter.
-Bah, tu t'en fous, c'est le métier, on s'était préparé à ça en s'engageant
-Préparer à quoi ? Des supérieurs chiants qui nous traitent comme de la merde et maltraitent les prévenus ? Regarde comme il a amoché le gosse...
A la différence de leurs collègues, ces deux là me posèrent doucement sur le sol de ma cellule, refermant la porte et me laissant seul, dans le noir. Je n'aimais pas le noir. Pas que j'en aie peur, juste que je ne l'appréciais pas plus que ça. Les atmosphère lugubres, c'est pas mon trip, au même titre que la pluie, les interros surprises, les murs invisibles dans les JV, les GFI-2 du 15-18, entre autres choses que je détestais...
J'allais devoir attendre jusqu'à demain, et mes chances de liberté étaient drôlement compromises avec cette nouvelle affaire.