Je me réveille dans une position inconfortable, assis sur une chaise dure. je ne vois rien, la pièce est très sombre et non éclairée. Hier, je m'étais endormi dans mon lit deux places, la lumière était allumée. ou je suis ? J'essaye de bouger mes mains mais je n'y arrive pas, mes pieds non plus.

-C'est quoi ce bordel ? soupirais-je

Dès la fin de mes paroles, il y'eut un grand flash blanc et la lumière s'alluma, éclairant chaque recoin de la pièce, je pouvais mieux la voir, elle était petite, crasseuse, la tapisserie jaune très moche, se décollait. Ma chaise ressemblait aux chaises d'écoles en bois. Je sais que je ne suis pas chez moi. Je ne sais pas ou je suis. Je me sens très mal car je ne peux bouger. Je remarque que mes chevilles et mes poignets sont ligotés

J'entendais faiblement des voix derrière moi. je regardait mais ne vit qu'une porte. Les voix venaient de derrière. Une odeur d'oeuf pourri était présente dans la pièce depuis le début, me mettant mal a l'aise. La porte en bois s'ouvrit dans un grincement monstre.

-Bonjour Cyryl. Dit la voix qui venait de derrière moi.
Je ne répondit pas et l'homme passa devant moi, une cagoule sur le visage, posant une arme de poing sur un bureau a côté de moi.
-On ne répond pas ?
-Allez vous faire foutre.
-Pourquoi me parles-tu comme ça ? T'ais-je insulté ? Il ne me semble pas.
-Vous m'avez enlevé, je ne sais pas dans quel but ? Et vous me demandez d'être poli ? Suce ma b..
Je ne pus continuer ma phrase car je venais de me prendre un coup de poing.

L'homme mis son doigt devant sa bouche en faisant "Chuuuuuut"
-Vois-tu Cyryl Czeslawa...
-Comment vous connaissez mon nom ?
Il sortit son smartphone, et lança une application télé. Mettant une chaine d'info, je voyais la présentatrice parler de moi.

-Cyryl Czeslawa, cet ancien militaire des forces spéciales, a arrêté un dangereux terroriste hier, aidant la police dans son travail. Rachid Al Farik, l'homme qu'on voit sur ces images, se fait poursuivre par Cyryl, qui finira avec l'aide de la police, par le neutralis...
Il coupa les images.

-Vois tu, tu ne nous connais surement pas. Nous..
-Vous ?
-Oui, je ne suis pas seul, nous, sommes une organisation, terroriste. Tu nous déteste. Toi qui as passé ta vie a combattre des ordures dans mon genre. Nous sommes composés de gens comme toi. La plupart sont des ex-membres des forces spéciales. Moi c'est Carl, je suis ex-capitaine des SAS Anglais. On se bat pour une noble cau..
-Il n'y a pas de nobles causes terroristes. Vous êtes des chiens qui tuent des civi..
-Tu veux jouer au jeu du, "je coupe la parole a l'homme armé devant moi qui suis sans défenses " ? Vraiment ? NOUS NE TUONS PAS DE CIVILS ! IL Y'EUT DEUX CIVILS MORTS DANS TOUTES NOS OPERATIONS, ILS NE DEVAIENT PAS SE TROUVER LA UN POINT C'EST TOUT.

Mes oreilles souffraient, il venait de crier juste dedans.
-Ah oui ? Quels types de terroristes êtes vous alors ?
-Nous sommes des terroristes, anti-terroristes.
-Hein ?
-Pour toi un terroriste c'est quoi ? Un pauvre arabe en Afghanistan avec sa kalash ? Petit con va.
-Je ne vous permets pa..
-Je me permets. J'ai une arme chargée, tu fermes ta gueule. Nous menons des opérations contre des terroristes, mais les vrais, les plus grandes nations, comme les Etats-Unis, la France, sont les vrais terroristes, ils vendent des armes aux pays en guerre comme les pays d'Afrique qui firent des génocides. Ils envahissent des pays, ils SONT DES TERRORISTES.
-Je n'accepte pas votre opinion.
-Bien, bonne nuit alors tu réfléchiras dans ton sommeil.
Il se saisit de son arme, la prit par le canon, et me frappa avec la poignée m’assommant.