Note de la fic : Non notée
Le_printemps_ou_VOUS_devez_annuler_l__anniversaire_de_O_one_
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 3 : Echapper à tout cela
Publié le 19/08/2013 à 01:11:58 par Pseudo supprimé
Le chagrin dure et ne se finit pas. Non loin de là, votre odieuse compagne tambourine à la porte.
« OUVRE ! ADAM ! ADAM OUVRE CETTE PORTE ! »
Vous l'entendez mais ne lui répondez pas, les larmes coulent encore et toujours sur votre visage.
« ADAM ! CHERI, OUVRE ! POURQUOI TU T'ENFERMES TOUJOURS POUR PLEURER ?
-Ne...non...je...je ne pleure pas, articulez vous sans sécher vos larmes.
-OUVRE MOI ! JE TE PREVIENS, SI TU ME QUITTES … JE TE TUE !
-Mais non mais je t'aime...mais tu me fais souffrir.
-ARRETE DE JOUER AVEC MES SENTIMENTS ET OUVRE CETTE PUTAIN DE PORTE ! ADAM ! OUVRE ! »
Suite à cette déclaration, vos sanglots reprennent. Si seulement...si seulement vous pouviez échapper à tout cela. Courir loin, fuir pour ne pas revenir, tout abandonner. Oublier tout vos problèmes, même pour quelques heures. Ou mieux...vivre une nouvelle vie.
Ces pensées traversent votre esprit. Elles vous font oublier le vacarme et vous calment sans que vous ne vous en rendiez compte. Vos larmes cessent de couler, vous réfléchissez à ce que serait votre vie sans cette horrible femme et ce fils odieux. Le résultat est...plutôt positif.
Malheureusement, sortie de nulle part, une légère brise s'engouffre dans la pièce et fait claquer la fenêtre ; vous sortant ainsi de vos rêveries. Vous vous rendez compte que votre compagne s'est mise à frapper de toutes ses forces contre la porte, celle-ci commence à sortir de ses gonds. Pris de panique, vous vous levez, avant de vous approcher de la fenêtre. En jetant un coup d'œil à l'extérieur, vous vous rendez compte de la hauteur vous séparant du rez-de-chaussée. Sauter vous serait impossible. Mais de toute manière, vous ne savez pas si fuir est la bonne solution. Vous regardez derrière vous, la porte commence à se fissurer.
…fuir est la bonne solution.
De là où vous êtes, il vous est possible de sauter sur le toit de la maison voisine. C'est la seule chose à faire et c'est ce que vous ferez . La porte menace de céder, vous montez sur le rebord vous menant à la liberté. Vous vous cambrez, le saut peut vous être fatal mais vous n'avez pas le temps d'hésiter. Sans prendre aucun élan, vous sautez droit devant vous, la distance est juste suffisante, vous atterrissez à genoux sur les tuiles.
Dans votre dos, un bruit de porte brisée se fait entendre. Un puissant cri raisonne dans la pièce que vous venez de quitter, votre compagne vient de comprendre que vous n'étiez plus là. Paniqué, vous vous remettez vite debout, vous avancez. Malheur, le toit est trop haut et il n'y a aucun moyen de descendre, vous êtes pris au piège. Votre terrible poursuivante passe sa tête par la fenêtre et hurle à plein poumon.
« ALORS C'EST CHEZ LA VOISINE QUE TU TE REFUGIES ? ÇA DURE DEPUIS COMBIEN DE TEMPS ELLE ET TOI ? »
La peur prend possession de vous, vous êtes bel et bien prisonnier. Votre compagne, à son tour, monte sur le rebord de la fenêtre et saute pour vous rejoindre. Vos yeux s'écarquillent, votre gorge se noue, la jolie femme n'est pas venue les main vide. Avec elle, j'ai nommé la très célèbre et digne de confiance, l'originale faite en bois d'arbre de la forêt, la Batte de Baseball.
« Qu...qu'est-ce que tu fais avec ça dans la main ? Chérie, écoute...je m'excuse, je me suis emporté tout à l'heure.
-C'EST POUR CETTE SALOPE QUE TU ME QUITTES ?
-Je t'assure que c'est un malentendu...écoute, tu sais, je... »
Vous ne pouvez finir, l'objet s'abat sur le coté gauche de votre crâne. De par la puissance du coup, vous vous envolez, perdez l'équilibre et chutez du toit, en ne manquant pas de former de grands arcs de cercles pendant votre chute. Une chose en entrainant une autre, vous perdez connaissance en heurtant le sol.
« OUVRE ! ADAM ! ADAM OUVRE CETTE PORTE ! »
Vous l'entendez mais ne lui répondez pas, les larmes coulent encore et toujours sur votre visage.
« ADAM ! CHERI, OUVRE ! POURQUOI TU T'ENFERMES TOUJOURS POUR PLEURER ?
-Ne...non...je...je ne pleure pas, articulez vous sans sécher vos larmes.
-OUVRE MOI ! JE TE PREVIENS, SI TU ME QUITTES … JE TE TUE !
-Mais non mais je t'aime...mais tu me fais souffrir.
-ARRETE DE JOUER AVEC MES SENTIMENTS ET OUVRE CETTE PUTAIN DE PORTE ! ADAM ! OUVRE ! »
Suite à cette déclaration, vos sanglots reprennent. Si seulement...si seulement vous pouviez échapper à tout cela. Courir loin, fuir pour ne pas revenir, tout abandonner. Oublier tout vos problèmes, même pour quelques heures. Ou mieux...vivre une nouvelle vie.
Ces pensées traversent votre esprit. Elles vous font oublier le vacarme et vous calment sans que vous ne vous en rendiez compte. Vos larmes cessent de couler, vous réfléchissez à ce que serait votre vie sans cette horrible femme et ce fils odieux. Le résultat est...plutôt positif.
Malheureusement, sortie de nulle part, une légère brise s'engouffre dans la pièce et fait claquer la fenêtre ; vous sortant ainsi de vos rêveries. Vous vous rendez compte que votre compagne s'est mise à frapper de toutes ses forces contre la porte, celle-ci commence à sortir de ses gonds. Pris de panique, vous vous levez, avant de vous approcher de la fenêtre. En jetant un coup d'œil à l'extérieur, vous vous rendez compte de la hauteur vous séparant du rez-de-chaussée. Sauter vous serait impossible. Mais de toute manière, vous ne savez pas si fuir est la bonne solution. Vous regardez derrière vous, la porte commence à se fissurer.
…fuir est la bonne solution.
De là où vous êtes, il vous est possible de sauter sur le toit de la maison voisine. C'est la seule chose à faire et c'est ce que vous ferez . La porte menace de céder, vous montez sur le rebord vous menant à la liberté. Vous vous cambrez, le saut peut vous être fatal mais vous n'avez pas le temps d'hésiter. Sans prendre aucun élan, vous sautez droit devant vous, la distance est juste suffisante, vous atterrissez à genoux sur les tuiles.
Dans votre dos, un bruit de porte brisée se fait entendre. Un puissant cri raisonne dans la pièce que vous venez de quitter, votre compagne vient de comprendre que vous n'étiez plus là. Paniqué, vous vous remettez vite debout, vous avancez. Malheur, le toit est trop haut et il n'y a aucun moyen de descendre, vous êtes pris au piège. Votre terrible poursuivante passe sa tête par la fenêtre et hurle à plein poumon.
« ALORS C'EST CHEZ LA VOISINE QUE TU TE REFUGIES ? ÇA DURE DEPUIS COMBIEN DE TEMPS ELLE ET TOI ? »
La peur prend possession de vous, vous êtes bel et bien prisonnier. Votre compagne, à son tour, monte sur le rebord de la fenêtre et saute pour vous rejoindre. Vos yeux s'écarquillent, votre gorge se noue, la jolie femme n'est pas venue les main vide. Avec elle, j'ai nommé la très célèbre et digne de confiance, l'originale faite en bois d'arbre de la forêt, la Batte de Baseball.
« Qu...qu'est-ce que tu fais avec ça dans la main ? Chérie, écoute...je m'excuse, je me suis emporté tout à l'heure.
-C'EST POUR CETTE SALOPE QUE TU ME QUITTES ?
-Je t'assure que c'est un malentendu...écoute, tu sais, je... »
Vous ne pouvez finir, l'objet s'abat sur le coté gauche de votre crâne. De par la puissance du coup, vous vous envolez, perdez l'équilibre et chutez du toit, en ne manquant pas de former de grands arcs de cercles pendant votre chute. Une chose en entrainant une autre, vous perdez connaissance en heurtant le sol.