Que les flammes de la femme damne mon âme
Entrain d'une étreinte dure faite d'airain,
Amusant ma dame à mon mariage à la lame
Entrainant mon être vers une triste fin.

Ces infâmes finitions faisant fuir les faits,
Création d'un craquant corps croulant sous ses torts,
Effacés d'un souffle familier et feinté
Au prix de la vérité et de grands efforts.

Quoique quelqu'un puisse claquer la correction,
Laminant la lame et luisant les illusions,
Réparer les restes, replacer les morceaux

Jadis joyaux de ma joie et jeux de magie
Titubant maintenant et contrôlant ma vie
M'emmenant malement aux limites des mots.