Note de la fic : Non notée
Publié le 19/08/2013 à 01:11:49 par Pseudo supprimé
13 Mars 1941, Atoll de Tarawa.
Nous étions dans les bateaux de débarquement, les tirs fusaient de partout.
« Eh les mecs, si les bateaux continuent de canarder, il y aura plus un jap à 2 km à la ronde ! »
« La ferme les bleus ! On approche de la plage » Dit le commandant.
« Colin ! Prend la Mitrailleuse de 30 ! »
Je grimpait sur la plate forme et m’agrippait à la 30.
« INFANTERIE SUR LA DIGUE ! COLIN, FEU !! »
Je tirais, et essayait de maintenir la 30.
Un bruit m’intriguait, je tournais la tête et j’aperçus une rangée de «Mitsubishi Zéro »
« Alerte les gars, baissez vous ! »
Je tirais et abattais un des Zéros.
« Merde ! Les Zéros nous ont vus »
La dernière chose que j’entendis, c’était un sifflement strident et une explosion proche.
« Colin ! Bordel réveille toi ! »
C’était le médecin de mon équipe.
« Minos, ça va, je vais bien. » lui répondais-je
« Ok, mais pas le temps de pioncer, tiens, tes armes »
Il me tendit, un Fusil à Pompe et un B.A.R 1918.
« Merci »
Je me remis debout, et commença à chercher l’ennemi des yeux.
« Colin, repli sous la digue »
Je m’exécutai et me retrancha dans un trou, sous un rocher.
« On est pas assez nombreux, planquez vous ! Sullivan, le radio ! Demande un appui, on va creuser une tranchée. »
Je prit la pelle, que chaque Marines a sur le dos, et commença à creuser
La tranchée commençait à s’élargir, lorsque que Minos hurla :
« Les Japs ! Ils attaquent ! »
Je sortait de la tranchée, et prit mon B.A.R.
En effet, une vingtaine de Japonais arrivait sur nous.
Je chargeai mon B.A.R et dit :
« Tous dans la tranchée, vite ! »
Je tirais sur les Japonais quand un moteur se fit entendre :
Un F4U Corsair survola la plage et mitrailla les Japs
Sullivan prit la parole :
« Colin ! Les renforts arrivent, et j’ai le F4U Corsair de là-haut pour vous ! »
Je prit l’écouteur Radio et dit :
« Ici le Sergent Colin, que se passe t’il ? »
« Rien Sergent. Je voulais savoir si vous aviez des blessés, et si il restait des Japs ? Je vois rien d’ici.
« Il reste quelques Japs, mais ils se sont retranchés. »
« Très bien Sergent, les secours arrivent, moi je rentre à mon Porte Avion. »
« Ok, et merci encore. »
Nous finîmes la journée en creusant le reste de la tranchée, les renforts ne pouvaient pas venir à cause des épaves de bateaux dans l’eau.
Nous allions passer la nuit ici...
Nous étions dans les bateaux de débarquement, les tirs fusaient de partout.
« Eh les mecs, si les bateaux continuent de canarder, il y aura plus un jap à 2 km à la ronde ! »
« La ferme les bleus ! On approche de la plage » Dit le commandant.
« Colin ! Prend la Mitrailleuse de 30 ! »
Je grimpait sur la plate forme et m’agrippait à la 30.
« INFANTERIE SUR LA DIGUE ! COLIN, FEU !! »
Je tirais, et essayait de maintenir la 30.
Un bruit m’intriguait, je tournais la tête et j’aperçus une rangée de «Mitsubishi Zéro »
« Alerte les gars, baissez vous ! »
Je tirais et abattais un des Zéros.
« Merde ! Les Zéros nous ont vus »
La dernière chose que j’entendis, c’était un sifflement strident et une explosion proche.
« Colin ! Bordel réveille toi ! »
C’était le médecin de mon équipe.
« Minos, ça va, je vais bien. » lui répondais-je
« Ok, mais pas le temps de pioncer, tiens, tes armes »
Il me tendit, un Fusil à Pompe et un B.A.R 1918.
« Merci »
Je me remis debout, et commença à chercher l’ennemi des yeux.
« Colin, repli sous la digue »
Je m’exécutai et me retrancha dans un trou, sous un rocher.
« On est pas assez nombreux, planquez vous ! Sullivan, le radio ! Demande un appui, on va creuser une tranchée. »
Je prit la pelle, que chaque Marines a sur le dos, et commença à creuser
La tranchée commençait à s’élargir, lorsque que Minos hurla :
« Les Japs ! Ils attaquent ! »
Je sortait de la tranchée, et prit mon B.A.R.
En effet, une vingtaine de Japonais arrivait sur nous.
Je chargeai mon B.A.R et dit :
« Tous dans la tranchée, vite ! »
Je tirais sur les Japonais quand un moteur se fit entendre :
Un F4U Corsair survola la plage et mitrailla les Japs
Sullivan prit la parole :
« Colin ! Les renforts arrivent, et j’ai le F4U Corsair de là-haut pour vous ! »
Je prit l’écouteur Radio et dit :
« Ici le Sergent Colin, que se passe t’il ? »
« Rien Sergent. Je voulais savoir si vous aviez des blessés, et si il restait des Japs ? Je vois rien d’ici.
« Il reste quelques Japs, mais ils se sont retranchés. »
« Très bien Sergent, les secours arrivent, moi je rentre à mon Porte Avion. »
« Ok, et merci encore. »
Nous finîmes la journée en creusant le reste de la tranchée, les renforts ne pouvaient pas venir à cause des épaves de bateaux dans l’eau.
Nous allions passer la nuit ici...