Note de la fic : Non notée
Publié le 19/08/2013 à 01:11:32 par Pseudo supprimé
Chapitre 5 - Lunéa 98725 - Un instant plus tard
Un colosse d'un mètre quatre-vingt se tenait sur les pas de la porte. Grand manteau noir, chemise, costume parfaitement ajusté, cravate impeccable.
Les cheveux d'un noir de jais, de petites lunettes rondes vissées sur le nez. C'étais le genre d'homme qu'il ne fallait pas emmerder.
- Place D4 ?
- En bas monsieur ! répondis-je la gorge quelque peu nouée. :peur :
- Merci.
Je regardais ma compagnonne de galère l'air interrogatif.
Elle haussa les épaules 
, prit son sac qui était posé au-dessus d'elle, en sortit un manga et remis son sac à sa place.
Pendant ce temps, du haut de mon lit, j'observais du coin de l'œil le nouvel arrivant. Il avait défait ses affaires, inspecté les draps soigneusement et sorti ce qui semblait un sandwich à la terrine de campagne. Bizarre pour un homme aussi bien soigné
J'espère au moins qu'il ronfle pas, parce qu'avec cette cage thoracique ça va ressembler à l'intérieur d'un réacteur d'A380 si c'est le cas
- Sinon tu t'appelles comment au fait ? C'était elle, j'étais tellement absorbé dans mes pensées que je ne l'avais pas vu lever le nez et se tourner vers moi.
- Appelle moi Hypo
et toi ?
- Gristy
- Et tu viens d'ou toi ? Je ne pas eu le temps de te demander.
- Marseille
- T'as l'air quand même beaucoup moins méchante quand tu parles comme une personne civilisée que comme tout à l'heure
- Hum...
Je commence à vraiment avoir faim, je regarde l'heure sur ma mettre : 22h30. Ouai tu m'étonnes. J'vais quand même pas bouffer des princes jusqu'à demain...
- Excusez-moi monsieur, vous savez s’il y a une voiture restaurant ?
- Deux wagons sur la gauche il me semble mais je ne suis sûr de rien.
- Merci !
Pas si méchant que ça au final le colosse
- Tu veux m'accompagner ? Demandai-je à Gristy.
- Euh... Oh et puis ouai pourquoi pas ça me dégourdira les jambes mais j'ai tout ce qu'il faut.
Nous sortons donc du compartiment, face à moi le paysages défilent tranquillement. Je la laisse passer devant et referme la porte.
- T'as pas peur pour tes affaires ?
- Non j'ai rien à voler. Tout ce qui m'est précieux, ou qui a de la valeur est sur moi. me rétorqua-t-elle.
- Ouai, il me parait louche un peu le mec au costard
- Mauviette.
- Prudent.
Le train tanguait de tous les côtés et j’avais l’impression d’être bourré
Au fait, je ne vous ai pas encore décrit Gristy maintenant que j’y pense
Elle est brunes aux cheveux long attachés en queue de cheval, des yeux verts, un nez fins, la peau un peu mate typiques des gens du sud. Un bon mètre 70, jean délavé, haut bleu marine qui épouse ses formes, et ça pour avoir des formes elle en a enfin pile ce qu’il faut Je ne suis pas un expert mais je dirai un 95C à vue d’œil Des converses basses qui ont déjà bien fait leurs temps. Et un détail que je n’avais pas remarqué, un tatouage sur l’épaule gauche. Un tatouage très simple, quatre lettres posées sur sa peau : HOPE.
Un colosse d'un mètre quatre-vingt se tenait sur les pas de la porte. Grand manteau noir, chemise, costume parfaitement ajusté, cravate impeccable.
Les cheveux d'un noir de jais, de petites lunettes rondes vissées sur le nez. C'étais le genre d'homme qu'il ne fallait pas emmerder.
- Place D4 ?
- En bas monsieur ! répondis-je la gorge quelque peu nouée. :peur :
- Merci.
Je regardais ma compagnonne de galère l'air interrogatif.
Elle haussa les épaules , prit son sac qui était posé au-dessus d'elle, en sortit un manga et remis son sac à sa place.Pendant ce temps, du haut de mon lit, j'observais du coin de l'œil le nouvel arrivant. Il avait défait ses affaires, inspecté les draps soigneusement et sorti ce qui semblait un sandwich à la terrine de campagne. Bizarre pour un homme aussi bien soigné
J'espère au moins qu'il ronfle pas, parce qu'avec cette cage thoracique ça va ressembler à l'intérieur d'un réacteur d'A380 si c'est le cas
- Sinon tu t'appelles comment au fait ? C'était elle, j'étais tellement absorbé dans mes pensées que je ne l'avais pas vu lever le nez et se tourner vers moi.
- Appelle moi Hypo
et toi ?- Gristy
- Et tu viens d'ou toi ? Je ne pas eu le temps de te demander.
- Marseille
- T'as l'air quand même beaucoup moins méchante quand tu parles comme une personne civilisée que comme tout à l'heure
- Hum...
Je commence à vraiment avoir faim, je regarde l'heure sur ma mettre : 22h30. Ouai tu m'étonnes. J'vais quand même pas bouffer des princes jusqu'à demain...
- Excusez-moi monsieur, vous savez s’il y a une voiture restaurant ?
- Deux wagons sur la gauche il me semble mais je ne suis sûr de rien.
- Merci !
Pas si méchant que ça au final le colosse
- Tu veux m'accompagner ? Demandai-je à Gristy.
- Euh... Oh et puis ouai pourquoi pas ça me dégourdira les jambes mais j'ai tout ce qu'il faut.
Nous sortons donc du compartiment, face à moi le paysages défilent tranquillement. Je la laisse passer devant et referme la porte.
- T'as pas peur pour tes affaires ?
- Non j'ai rien à voler. Tout ce qui m'est précieux, ou qui a de la valeur est sur moi. me rétorqua-t-elle.
- Ouai, il me parait louche un peu le mec au costard
- Mauviette.
- Prudent.
Le train tanguait de tous les côtés et j’avais l’impression d’être bourré
Au fait, je ne vous ai pas encore décrit Gristy maintenant que j’y pense
Elle est brunes aux cheveux long attachés en queue de cheval, des yeux verts, un nez fins, la peau un peu mate typiques des gens du sud. Un bon mètre 70, jean délavé, haut bleu marine qui épouse ses formes, et ça pour avoir des formes elle en a
enfin pile ce qu’il faut Je ne suis pas un expert mais je dirai un 95C à vue d’œil Des converses basses qui ont déjà bien fait leurs temps. Et un détail que je n’avais pas remarqué, un tatouage sur l’épaule gauche. Un tatouage très simple, quatre lettres posées sur sa peau : HOPE.