Note de la fic : Non notée

Cellule_Secrete_:_Annihilation


Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué



Chapitre 2 : Mayday


Publié le 19/08/2013 à 01:11:14 par Pseudo supprimé

« Hey ! Eteins ta clope ! »
C’était le copilote de l’hélico qui m’avait parlé à travers la vitre. Oui je fumais avant de sauter. Je ne voyais pas pourquoi je devais écouter cet homme. Il a tapé contre la vitre plusieurs fois comme Hitler quand il tape sur son bureau en criant « Nein ! Nein ! Nein ! »
Le mec m’avait regardé à travers la vitre avec des yeux ronds comme une des billes
« Hey ! T’a pas compris ? Jette ta putain de clope ! »
Il a commencé a m’énerver celui là quand il m’avait dit cette phrase. Je ne voulais pas trop faire de boucan, alors je me suis levé doucement pour aller vers la vitre, la cigarette toujours dans la bouche quand mon supérieur hiérarchique en l’occurrence Sommovigo m’a parlé via mes implant auriculaire (ce qui me sers a parlé directement avec lui sans téléphone ou autre connerie du genre). Il m’avait dit calmement :
« Deryck… éteignez votre cigarette et allez vous assoir. Le largage est prévu dans deux minutes »
Avec la force qu’il me restait, je suis allé me rassoir en regardant méchamment le copilote qui me baissa les yeux et retourna auprès du pilote. Devant moi il y avait un miroir, j’ai pu voir à quoi je ressemblais dans ma combinaison. J’avais l’air d’un extra-terrestre d’une race supérieur avec les grosse lunettes orange et les deux tube qui partait du masque jusqu’au bas du dos pour la respiration. Je ne savais pas encore vraiment ce qui devait se passer une fois sur le terrain ni même ce que je devais faire. Intrigué par ces questions j’ai demandé à Sommovigo
« Colonel, que dois-je faire au juste ?
- Vous le saurez une fois sur place. Largage dans 30 secondes… »
Déjà ? Apparemment c’était le cas, bon le colonel m’avait ensuite dit de me lever alors j’avais obéit. La trappe de l’engin s’est ouverte et j’ai attendu que le colonel me crie dans mes oreilles « 1 ! » après le compte a rebours pour sauter. Evidemment je ne suis pas de ses soldats qui font des acrobaties en chute libre, ça gène la trajectoire et on risque d’atterrir plus loin que prévu. Je me résolu à courir vers le vide et a sauter en croisant les bras tel un ange. Une fois dans les airs, mon corps s’est mit automatiquement à plat les jambes et bras relevés. C’était du sérieux car j’avais un endroit bien définis pour atterrir. Dans les airs, je me sentais léger, la combi me protégeait du froid et du vent donc aucun problème de ce coté là. Mais je me rapprochais de plus en plus du sol et je voyais le sol. Des forêts a perte de vue et au loin mais très au loin : Moscou. J’étais parallèle à la foret point de vue position. Bon je me disais sur le coup de faire attention à ne pas me prendre les branches dans la tronche. L’atterrissage se fit en douceur. Aucune branche ne me percuta mais comme beaucoup de saut en parachute dans la foret mon parachute s’est accroché à une branche d’arbre. Une fois avoir coupé les fils du parachute avec mon couteau, mon je tombai a terre en mettant mes mains en avant. BAM ! Atterrissage en douceur. Tout doucement, je me relève quand j’entends une petite sonnerie dans mon oreille signe que le colonel veut me parler.
« Alors Harper ? La situation ?
- J’aurais voulu finir ma clope chef
- Je vous on offre 10 paquets si vous réussissez la mission dit le colonel pour rigoler
- Oui enfin bon ça revient au même. Oui alors je suis en un seul morceau un peu loin de Moscou
- Vous pouvez enlever votre masque c’est bon »
Enfin, ce n’est pas trop tôt ! Je pris le cordon de mon masque et je tirais le plus fort possible, je sentis le masque se décollait un petit peu puis la seconde d’après il était dans le creux de ma main. Hum ! Je respirais l’air frais de la nature, un peu fraiche mais c’est la Russie en même temps enfin je devrais dire l’URSS. Mes cheveux longs châtain sont coincés dans ma combinaison. Argh ! Je n’aime pas trop ça parce que ça tire et c’est gênant pendant les fusillades.
« Enlevez aussi la combinaison me dit le colonel »
Bon très bien c’est partit. Je choppe le zip de ma combi que je descends jusqu’en bas avant de sortir une jambe de cet uniforme en caoutchouc puis l’autre en enfin le reste du corps. Je jette la combi au même endroit où j’avais jeté le masque. Etant donné que je suis en forêt, il m’en fournit un camouflage militaire. Une chance car si il ya des patrouilles il vaut mieux être caché.
« Avancez Harper, allez à Moscou
- Je ne peux pas savoir pourquoi ? Demandais-je
- Vous le saurez bien assez tôt… »
Je ne discute pas les ordres du colonel et je me lance dans l’aventure. Il doit y avoir plein de bestiole ici. Pendant que j’y suis faut que je pense à regarder mon sac a dos pour voir l’équipement fournis je n’ai pas eut le temps de le regarder avant le saut. Hum… j’ai un pistolet tranquillisant, un 9mm, un couteau de survie. Bon ça devrait suffire même si ce n’est pas un arsenal de guerre le bazar.
Je me suis baissé immédiatement car un craquement se fit entendre au loin. Un pied sur une branche morte. Une fois a plat ventre je suis presque indétectable avec ce camo. Oui… j’avais vu deux soldats… impossible de définir leur nationalité… il avait une capuche, un foulard rouge et équipé de AK-47. A part des soldats de l’URSS je ne vois pas qui ils peuvent servir.
« Colonel, j’ai repéré deux soldats équipé de AK
- Bon sang, ils ne sont pas censés être ici. D’après nos sources le gouvernement n’a pas ce type d’arme pour les soldats. »
Bon comme je n’ai pas d’ordre genre « Ne les tuez pas » je ne me fait pas prier. Tel un loup j’avance près d’eux. Ils sont autour d’un arbre… moi je suis j’avance a plat ventre vers les deux zigotos. Les gars ne me remarquent toujours pas… Je me plaque sur leur arbre et j’attends. Les deux se rejoignent pour se parler et j’interviens. Je me détourne de l’arbre et un des soldats qui avait prévu ça, dégaine son AK et me vise. Mais moi je l’avais aussi prévu. Je choppe son p’tit copain et m’en sers de bouclier humain. Pour qu’ils ne se débattent pas je sers bien fort le poignet et le bougre n’a pas l’air de vouloir bouger. Bien sûr, son pote envoie la sauce sur son collègue criblé de balle. Une fois que le chargeur est vidé, je lâche le bonhomme et j’attrape le bras de mon adversaire avant de lui tordre et de lui donner un bon coup de pied dans le ventre. Il se courbe et met ses deux bras sur son ventre. Je recule d’un pas et lui colle ma botte sur son front. Le pauvre homme tombe a terre mais il n’est surement pas mort. Pas grave, je sors mon 9mm. Avant je le vise, il lève la tête et me regarde pétrifié avec des yeux écarquillé. Tant pis pour lui… je tire


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