Note de la fic : 
Publié le 19/08/2013 à 01:11:12 par Pseudo supprimé
Une formidable explosion retentit. Fendant les cieux, elle pulvérisa tout sur son passage en une abominable déflagration de pure puissance. L'horreur détonna en une terrible gerbe de sang, propulsant les corps sur dix mètres à la ronde. Le bras déchiqueté, Marc hurlait dans un silence macabre. Maculé d'écarlate, il criait de rage :
« Putain ! Tu triches ! On avait dit pas de grenades ! Tu m'as encore tué, merde !
— Allé quoi, c'est le jeu, 7 à 6 ! T'es pas loin derrière ! Je vais jouer au sniper maintenant, t'as intérêt à bien te cacher !
— Ah ouais ? Marc pestait. Bah je vais prendre le bazooka et je vais te mettre ta race ! Tu vas pas comprendre ta douleur !»
Abrutis devant la console, ils bouffaient des chips en se tirant dessus. Un bon vieux call of. Les graphismes étaient si saisissants de réalité, qu'on se serait cru dans le jeu. Mais tous deux le savaient bien ; très bientôt, ils allaient vraiment faire péter un truc, et le monde virtuel paraîtrait bien pâle à côté de la réalité !
« Ils en sont où les cristaux ?
— J'en sais rien ! Loyd plaisanta. Je vais aller voir. Je te jure que si tu me descends pendant que je suis pas là, je te fais ta fête !
— Quoi ? Alors là, tu me connais mal !»
Son air faussement offusqué ne parvint pas à convaincre le jeune chimiste totalement. Mais, au fond, il s'en foutait un peu. Ils n’avaient pas dormis, évacuant la pression à la mode de la nouvelle génération. C'était juste un jeu, ils se marraient bien. C'est pas comme s'il tenait à gagner.
Rapidement il posa le pied dans la cuisine. Il avait mis le chauffage avant d'aller se laver, et se délectait encore de la chaleur. C'était tellement mieux que dehors. D'ailleurs, la nuit commençait à tomber, ils allaient pouvoir y aller. Il leur manquait juste à vérifier...
« C'est bon !»
Loyd hurlait pour se faire entendre jusque dans la chambre.
« Ramène-toi, c'est sec !
— Attends, deux seconde, je suis en train de monter mon score !
— Putain j'hallucine ! Le jeune homme s'exclama. T'es vraiment trop con !
— AH ? Bon en attendant j'ai gagné 10 à 7 !»
Marc déboula dans l'escalier, demandant à voir les cristaux. Aussitôt, il put voir un énorme tas de poudre blanche.
« Tain, on dirait du sucre. J'vais en mettre un peu dans le café pour voir ! ça fera l'effet d'un bon repas en m'explosant le bide !
— Ouais, ou alors carrément dans une poêle bien chaude, pour assaisonner le poisson d'un peu de sel, aussi ?
— Tu sais que t'es un génie ?!»
Loyd sourit jusqu'aux oreilles. Précautionneusement, il transvasa le peroxyde d'acétone jusque dans une petite boite fermée, elle-même déposée dans une grosse caisse métallique. Dans cette dernière, il y rajouta des enveloppes de pétards, des sacs, et toutes sortes de conneries inutiles, mais fun, comme un gros détonateur à l'ancienne, ou encore des costumes de soldats.
« Ce coup-ci, on est bon ! Clama-t-il. On file dehors, prends ta caméra !»
« Putain ! Tu triches ! On avait dit pas de grenades ! Tu m'as encore tué, merde !
— Allé quoi, c'est le jeu, 7 à 6 ! T'es pas loin derrière ! Je vais jouer au sniper maintenant, t'as intérêt à bien te cacher !
— Ah ouais ? Marc pestait. Bah je vais prendre le bazooka et je vais te mettre ta race ! Tu vas pas comprendre ta douleur !»
Abrutis devant la console, ils bouffaient des chips en se tirant dessus. Un bon vieux call of. Les graphismes étaient si saisissants de réalité, qu'on se serait cru dans le jeu. Mais tous deux le savaient bien ; très bientôt, ils allaient vraiment faire péter un truc, et le monde virtuel paraîtrait bien pâle à côté de la réalité !
« Ils en sont où les cristaux ?
— J'en sais rien ! Loyd plaisanta. Je vais aller voir. Je te jure que si tu me descends pendant que je suis pas là, je te fais ta fête !
— Quoi ? Alors là, tu me connais mal !»
Son air faussement offusqué ne parvint pas à convaincre le jeune chimiste totalement. Mais, au fond, il s'en foutait un peu. Ils n’avaient pas dormis, évacuant la pression à la mode de la nouvelle génération. C'était juste un jeu, ils se marraient bien. C'est pas comme s'il tenait à gagner.
Rapidement il posa le pied dans la cuisine. Il avait mis le chauffage avant d'aller se laver, et se délectait encore de la chaleur. C'était tellement mieux que dehors. D'ailleurs, la nuit commençait à tomber, ils allaient pouvoir y aller. Il leur manquait juste à vérifier...
« C'est bon !»
Loyd hurlait pour se faire entendre jusque dans la chambre.
« Ramène-toi, c'est sec !
— Attends, deux seconde, je suis en train de monter mon score !
— Putain j'hallucine ! Le jeune homme s'exclama. T'es vraiment trop con !
— AH ? Bon en attendant j'ai gagné 10 à 7 !»
Marc déboula dans l'escalier, demandant à voir les cristaux. Aussitôt, il put voir un énorme tas de poudre blanche.
« Tain, on dirait du sucre. J'vais en mettre un peu dans le café pour voir ! ça fera l'effet d'un bon repas en m'explosant le bide !
— Ouais, ou alors carrément dans une poêle bien chaude, pour assaisonner le poisson d'un peu de sel, aussi ?
— Tu sais que t'es un génie ?!»
Loyd sourit jusqu'aux oreilles. Précautionneusement, il transvasa le peroxyde d'acétone jusque dans une petite boite fermée, elle-même déposée dans une grosse caisse métallique. Dans cette dernière, il y rajouta des enveloppes de pétards, des sacs, et toutes sortes de conneries inutiles, mais fun, comme un gros détonateur à l'ancienne, ou encore des costumes de soldats.
« Ce coup-ci, on est bon ! Clama-t-il. On file dehors, prends ta caméra !»