Note de la fic : Non notée

Arcanes_secretes_d__une_vie_inconnue.


Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué



Chapitre 5 : La banane vengeresse


Publié le 19/08/2013 à 01:16:26 par Pseudo supprimé

Arcane III, ou la banane à la tronçonneuse tuant les tas de cacao pour venger sa soeur transformée en banania.

ELLE ARRIVA DEVANT SA CIBLE SUPRÊME, ALLUMA SON ARME ET SE MIS EN GARDE.

- Je suppose que tu veut continuer de vivre.
- Ou... oui !
- Et bien avant cela, dit moi pourquoi vous tuez des bananes.
Une banane masquée, armée d'une tronçonneuse, interrogeait une graine de cacao.
- Pour... pour avoir meilleur goût. Comme ça, on nous achète plus.
- Vous aimez être manger ?
- Oui, la sensation qu'on a en fondant dans le lait est très... douce.
- Ben pas nous.

La banane leva sa tronçonneuse et coupat la graine de cacao.
Elle poursuivit son chemin, sa vengeance. Ses amis, et surtout sa soeur, avaient été tués par des grains de cacao, dans le but de faire du banania. La vengeance ne sera pas douce.

Au bout d'un long, très long périple de vengeance ( Non, en fait, ça fait trois minutes qu'elle marche, mais c'est pour la légende ), elle arrivat enfin devant le chef cacao du secteur. Oui, elle arrivat devant sa cible suprême, alluma son arme et se mit en garde. Son ennemi se leva de son trône, sortit un sabre parsemé d'or, et s'approcha doucement de la banane vengeresse. Un combat débuta. Les coups fusaient, le jus coulait. Cette légende sera plus tard retenue ( ou pas ) pour avoir été sanglante et tragique. Elle se termine sur un acte désespéré.

En effet, la banane, bien que mortellement blessée et désarmée, sauta sur son ennemi et retourna son arme contre lui.
Tant était grande sa rage, qu'elle ne vit passé l'orge ( bien la rime ? ). Un dixième de seconde, et la banane mourut. Son ennemi mourut aussi de ses blessures. La vengeance était réussi, mais elle y laissa la vie ( chaud, mais c'est quoi ces rimes ? ).

Ce récit très court est fait pour se rendre compte qu'il y a vraiment des fous dans ce monde. Mais chaud le pretexte, en fait ça sert à rien.

FIN


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