Note de la fic : Non notée
Operation_Hourglass_Of_Saturn
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 2 : 17 :53 – 21 :30
Publié le 19/08/2013 à 01:10:41 par Pseudo supprimé
« Premier jour, 17 :53 – 21 :30 »
Magic, ayant la tête un peu plongé dans son radar, nous annonça que nous étions à vingt mètres du bâtiment. Il s’était avéré être une sorte chalet, à un étage. Personne pour faire une garde autour de la bâtisse. Nous nous mîmes en position sur les deux cotés de la porte en bois, peinte en marron. Je poussai doucement en prenant soin de regarder la pièce, et m’aventurai silencieusement en compagnie de mes trois équipiers, pistolet au poing. Apparemment personne dans le salon, alors j’allais dans la cuisine, lorsque soudain un ennemi était en train de boire un verre d’eau. Il ne me vit pas approcher derrière lui, et j’en profitai pour lui choper le verre avant qu’il puisse avaler, puis lui rabattre ma main sur sa bouche, tout en pointant mon silencieux dans ses côtes :
« Un mot à dire avant de terminer dans les bras de Satan ?
Le milicien poussait des cris étouffés sur ma main
– Remballe ta salive…connard ! lui dis-je tout en lui collant deux balles dans les côtes et de l’achever d’un dans la tête.
– Le rez-de-chaussée est vérifié. dit Helldog.
– Montons, un ennemi abattu pour le moment. » ajoutai-je en faisant un signe de main.
Nous montâmes les marches une par une, en guettant la présence d’un ennemi. Mais arrivé au bout, je remarquai quatre personnes en train de discuter autour d’une table, fumant des cigares aussi gros qu’un barreau de chaise. Je fis arrêter mon équipe derrière moi, et pris un 9-Bang. Je la dégoupillai et la balança dans la pièce. Après les neuf détonations, nous en profitâmes pour cribler de balles les miliciens, qui virent eux la mort arriver droit dans leurs gueules. Selon la procédure, il fallait identifier les corps. Mais bien sur, personne qui vaille la peine d’être rapporté au QG. Nous ressortîmes de la maison, personne pour nous accueillir, sauf les arbres. Nous nous repartîmes dans la dense forêt, et la pluie fit son apparition.
« L’envers du décor me fait penser à Platoon ! remarqua Helldog.
– C’est vrai que maintenant que tu le dis ! ajoutai-je l’air railleur.
– Rien à faire Charlie Sheen, c’est moi ! dit Casper.
– Désolé de te décevoir le frenchie, mais c’est plutôt à Charlie d’être Charlie Sheen. plaisanta Magic.
– Va te faire mettre buveur de Vodka ! »
On aurait dit que les FARC n’établissent jamais de contact entre leur relais, donc pendant près de deux heures, personne ne s’étaient présenté dans nos viseurs.
« Neptune-Quatre, contact avec Black Bull ? questionna le QG.
– Négatif, des nouvelles de Mantaray-Deux ? retournais-je
– Ils ont réussi à s’en sortir, ils sont à deux vallées derrières vous. Pour le reste des unités, les Rangers en ont bavé dans un village et ont réussi à choper le numéro trois. Vingt-deux pertes à déplorer de notre côté. Rapport terminé. »
Les familles de ces hommes vont être marqué par se jour sombre. M’enfin, c’est une opération militaire, donc de pertes il y en aura quelque soit les conséquences. Sept heures et demie à ma montre, toujours à marcher dans des racines, et autres bordel du genre. Mais, Magic repéra une très forte activité ennemie, plus de vingt personnes à deux kilomètres. Et d’ailleurs, le périmètre était bourré de piège en tout genre, tel que des explosifs filaires, mines, les pieux…Pire que Satanas dans « Les Fous du Volant ». Après une douzaine de minutes nous arrivons à deux cents mètres du point infesté. C’était carrément surréaliste :
« Depuis quand les FARC ont un terrain d’aviation ? s’étonna Casper
– Le passage de la drogue par les airs…quelle merde !
– QG, on a trouvé un terrain d’aviation. Environ une dizaine de Piper Arrow, sur piste aménagée, caché sous des bâches de couleur vertes kakis. Vous pouvez confirmer qu’il se trouvait ici depuis les dernières cartes relevée ? A vous.
– Un terrain d’aviation vous dites ? On vérifie, attendez.
– Je pense savoir pourquoi aucun avion n’aurait été repéré avec des cargaisons de drogues sur les aéroports et aérodromes avoisinants. dit Helldog
– On t’écoute. ajoutai-je tardant de connaitre son explication.
– Ils doivent parachuter la cargaison vers un bateau privé, ou sur les quais. Ils récupèrent leurs merdes, et le tour est joué. expliqua-t-il.
– Pas bête, il va falloir mobiliser un escadron aérien, à eux de choisir entre hélico ou avion. Déclarai-je plongé dans mes investigations.
– Neptune-Quatre ici le QG, on a effectivement aucune trace d’un quelconque aérodrome. Comment allez-vous procéder ?
– On va mettre un traceur sur l’appareil qui est en train d’être préparé. Vers une heure du matin, on prendra d’assaut le terrain. D’ici la, l’avion aura décollé, et vous chargerez pour le suivre. Après l’attaque on va continuer l’ascension vers la cache présumée. Qu’est-ce que vous en pensez ? m’enquis-je.
– Capitaine Matthews, je suis le président des Etats-Unis d’Amérique. Je vous donne carte blanche pour vos agissement. Ce sont vos lois, vos règles ! Le QG donnera quelques informations, mais ce sera à vous de donner les ordres. Essayez de maintenir le silence radio pour les trois prochaines heures. Soutint le président par l’intermédiaire des lignes du QG.
– Bien compris Monsieur le Président ! »
Je présentai au reste de l’équipe ce que nous allons faire avant l’attaque :
« Ecoutez, on va rester ici, manger, et se reposer. Et je dis bien se reposer ! Pas dormir. Nous n’allumerons pas de feu pour cuire des Marshmallows ni quoique ce soit d’autre. On se cantonne aux Corned Beef. Maintenant silence. »
Magic, ayant la tête un peu plongé dans son radar, nous annonça que nous étions à vingt mètres du bâtiment. Il s’était avéré être une sorte chalet, à un étage. Personne pour faire une garde autour de la bâtisse. Nous nous mîmes en position sur les deux cotés de la porte en bois, peinte en marron. Je poussai doucement en prenant soin de regarder la pièce, et m’aventurai silencieusement en compagnie de mes trois équipiers, pistolet au poing. Apparemment personne dans le salon, alors j’allais dans la cuisine, lorsque soudain un ennemi était en train de boire un verre d’eau. Il ne me vit pas approcher derrière lui, et j’en profitai pour lui choper le verre avant qu’il puisse avaler, puis lui rabattre ma main sur sa bouche, tout en pointant mon silencieux dans ses côtes :
« Un mot à dire avant de terminer dans les bras de Satan ?
Le milicien poussait des cris étouffés sur ma main
– Remballe ta salive…connard ! lui dis-je tout en lui collant deux balles dans les côtes et de l’achever d’un dans la tête.
– Le rez-de-chaussée est vérifié. dit Helldog.
– Montons, un ennemi abattu pour le moment. » ajoutai-je en faisant un signe de main.
Nous montâmes les marches une par une, en guettant la présence d’un ennemi. Mais arrivé au bout, je remarquai quatre personnes en train de discuter autour d’une table, fumant des cigares aussi gros qu’un barreau de chaise. Je fis arrêter mon équipe derrière moi, et pris un 9-Bang. Je la dégoupillai et la balança dans la pièce. Après les neuf détonations, nous en profitâmes pour cribler de balles les miliciens, qui virent eux la mort arriver droit dans leurs gueules. Selon la procédure, il fallait identifier les corps. Mais bien sur, personne qui vaille la peine d’être rapporté au QG. Nous ressortîmes de la maison, personne pour nous accueillir, sauf les arbres. Nous nous repartîmes dans la dense forêt, et la pluie fit son apparition.
« L’envers du décor me fait penser à Platoon ! remarqua Helldog.
– C’est vrai que maintenant que tu le dis ! ajoutai-je l’air railleur.
– Rien à faire Charlie Sheen, c’est moi ! dit Casper.
– Désolé de te décevoir le frenchie, mais c’est plutôt à Charlie d’être Charlie Sheen. plaisanta Magic.
– Va te faire mettre buveur de Vodka ! »
On aurait dit que les FARC n’établissent jamais de contact entre leur relais, donc pendant près de deux heures, personne ne s’étaient présenté dans nos viseurs.
« Neptune-Quatre, contact avec Black Bull ? questionna le QG.
– Négatif, des nouvelles de Mantaray-Deux ? retournais-je
– Ils ont réussi à s’en sortir, ils sont à deux vallées derrières vous. Pour le reste des unités, les Rangers en ont bavé dans un village et ont réussi à choper le numéro trois. Vingt-deux pertes à déplorer de notre côté. Rapport terminé. »
Les familles de ces hommes vont être marqué par se jour sombre. M’enfin, c’est une opération militaire, donc de pertes il y en aura quelque soit les conséquences. Sept heures et demie à ma montre, toujours à marcher dans des racines, et autres bordel du genre. Mais, Magic repéra une très forte activité ennemie, plus de vingt personnes à deux kilomètres. Et d’ailleurs, le périmètre était bourré de piège en tout genre, tel que des explosifs filaires, mines, les pieux…Pire que Satanas dans « Les Fous du Volant ». Après une douzaine de minutes nous arrivons à deux cents mètres du point infesté. C’était carrément surréaliste :
« Depuis quand les FARC ont un terrain d’aviation ? s’étonna Casper
– Le passage de la drogue par les airs…quelle merde !
– QG, on a trouvé un terrain d’aviation. Environ une dizaine de Piper Arrow, sur piste aménagée, caché sous des bâches de couleur vertes kakis. Vous pouvez confirmer qu’il se trouvait ici depuis les dernières cartes relevée ? A vous.
– Un terrain d’aviation vous dites ? On vérifie, attendez.
– Je pense savoir pourquoi aucun avion n’aurait été repéré avec des cargaisons de drogues sur les aéroports et aérodromes avoisinants. dit Helldog
– On t’écoute. ajoutai-je tardant de connaitre son explication.
– Ils doivent parachuter la cargaison vers un bateau privé, ou sur les quais. Ils récupèrent leurs merdes, et le tour est joué. expliqua-t-il.
– Pas bête, il va falloir mobiliser un escadron aérien, à eux de choisir entre hélico ou avion. Déclarai-je plongé dans mes investigations.
– Neptune-Quatre ici le QG, on a effectivement aucune trace d’un quelconque aérodrome. Comment allez-vous procéder ?
– On va mettre un traceur sur l’appareil qui est en train d’être préparé. Vers une heure du matin, on prendra d’assaut le terrain. D’ici la, l’avion aura décollé, et vous chargerez pour le suivre. Après l’attaque on va continuer l’ascension vers la cache présumée. Qu’est-ce que vous en pensez ? m’enquis-je.
– Capitaine Matthews, je suis le président des Etats-Unis d’Amérique. Je vous donne carte blanche pour vos agissement. Ce sont vos lois, vos règles ! Le QG donnera quelques informations, mais ce sera à vous de donner les ordres. Essayez de maintenir le silence radio pour les trois prochaines heures. Soutint le président par l’intermédiaire des lignes du QG.
– Bien compris Monsieur le Président ! »
Je présentai au reste de l’équipe ce que nous allons faire avant l’attaque :
« Ecoutez, on va rester ici, manger, et se reposer. Et je dis bien se reposer ! Pas dormir. Nous n’allumerons pas de feu pour cuire des Marshmallows ni quoique ce soit d’autre. On se cantonne aux Corned Beef. Maintenant silence. »