Bouark, c'était vraiment un sale petit branleur ce gosse !
Sa chambre était remplit de mouchoirs et magazines porno en tout genres.
Yvette regarda sous le lit et vit des moutons de poussière plus gros qu'elle, ils devaient être là depuis un bon moment.

Hum, elle allait profiter qu'il soit partit pour nettoyer sa chambre, ça ne fera pas de mal.
C'est en passant l'aspirateur sous le lit qu'elle découvrit une boite de mouchoir qui n'était bizarrement pas entamée.

Elle l'ausculta de plus près et découvrit une impressionnante somme d'argent, elle n'en revenait pas.

Son petit neveu était un criminel !

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Ma découverte de l'IRL - Episode 32

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- bon lé gar, vous devez suivre la caisse de flic mais arriver avant eux.
- lol mais pk ya les condé ??
- Woué pk ?
- Ils vont l'arrété, mai si on arive avant on pourra lui faire sa fête bien avant
- ouaaa, la justice de la rue !!
- ouaaaii on vaut mieux que les condé!!
- Allez goooooooooo !

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- cé koi ?
- Des clefs, ça se voit pas ?
- oui mé dé klef de koi ?
- Ben de la maison, il y a sans doute les clefs de la cave, bougez pas je vais vérifier.

Je montai les escaliers et arrivé à la porte j'essayai les clefs une par une.

Au bout de la huitième un petit *clictic* se fit entendre.

- alors ?
- Ouais c'est bon, restez là je vais vérifier ce qui se passe dehors.

J'entrouvris légèrement la porte et je regardai autour de moi.

Robert se trimballait avec une valise dans toute la maison, il prenait tout ce qu'il avait à prendre.
De l'argent surtout, mais des vêtements ... etc ....

Ce con allait se barrer.

La question était, souhaitait t-il partir en nous laissant ou voulait-il nous emmener avec lui ?

C'est en essayant de comprendre que la sonnette de la maison retentit.

"Raaaaah bordel ! ("> "

Robert ouvrit la porte et je découvris Tata Yvette.

Oui tata, c'est bien, fait diversion !

- Heuh, le vaurien est ici ?
- Ah hum ... oui on a travaillé très tard, il est entrain de prendre une douche là.
- Monsieur Robert, j'ai peur.
- .. hein, que ...
- On ma chargé d'être sa tutrice mais je ne sais pas m'y prendre avec lui. J'ai peur qu'il tourne mal.
- Arf ... euh c'est un bon gars vous faites pas de soucis ... je ... excusez moi je suis pressé.
- Attendez, il a vraiment besoin de quelqu'un comme vous pour le remettre sur le droit chemin.
Regardez, j'ai découvert ça en nettoyant sa chambre.

Et elle sortit MON trésor de sa poche !

Sale raclure de biday de sale pute de salope de vieille vache qui suce le cul de Pampo en regardant cauet sur TF1 !

- Je pense qu'il a gagné tout cet argent illégalement, il y en a un gros paquet ... aidez moi, je ne sais pas quoi faire.

Robert n'en revenait pas !

Son argent, son labeur !
Sa vie, dans les mains de cette vielle conne.

Le gosse, c'était lui qui avait son argent !
Raaah il aurait dut s'en douter !

Il ne voulait pas avoir un cadavre de plus sur le dos, alors il allait devoir s'y prendre différemment pour récupérer ses économies.

C'était vraiment pas son genre, elle était vraiment trop vieille.
Mais c'était la seule solution ...

- Je peux t'aider, c'est quoi ton nom ma belle ?
- Euh .. Yvette ...
- Et bien Yvette, tu aimes les hommes comme moi hein ?
- Monsieur Robert voyons ....
- Tu aimes les plaisirs de la chair Yvette ? Ça se voit dans tes yeux.
- OH MONSIEUR ROBERT, PRENEZ MOI, ICI MAINTENANT !

Baaaaaaaaah.
Je ne voulais pas voir ça !

Berk, Robert et Yvette qui copulaient sur la table de la cuisine.

Mais c'était ma chance de filer.

- Pssst, venez ! La voie est libre.
- go lé mec
- on peut y allé ?
- Oui c'est bon, magnez vous.

Et c'est ainsi que moi et les Tecktogay sortîmes discrètement de la cave en rampant, en évitant de regarder ce qui se passait dans la pièce d'à côté.

Nous atteignîmes assez rapidement la porte d'entrée, nous pouvions sortir de la maison.

Puis, mon corps se figea.
J'hésitais à partir ... et mon argent ?
Sans argent plus de pouvoir et sans pouvoir je n'étais plus rien.

- Kes ce ke tu fait, vien
- allé avance
- depeche !
- Euh ... oui. Sortons de là !

Et nous sortîmes enfin de la maison, nous étions libre.

Soudain, une voiture arriva en trombe dans le pâté de maison, elle se gara et huit racailles en sortirent avec des barres de fer et autres battes de baseball.

Houla, ça sentait le Pampo sévère.

- Tééé mortttttt !
- ouéééééé, à ton tour d'être pivouaide !!!

*Viouuuu Viouuuuuuu*

Emilio et sa bande arrivèrent à fond, juste après les Weshs.

Ils se garèrent et me braquèrent avec une sorte de pistolet à fléchette.

- Nous avons un mandat contre toi, après analyse de ton ordinateur il a était reconnut que tu souffrait d'une pathologie sévère de cyberdépendance accouplé à une problème de discernement des environnements.
Vous avez le droit de garder le silence, tout ce que vous direz pourra être retenus contre vous.

- Ptain fait chier !

- Tu bouges pas, tu te laisses faire nous allons t'emmener dans un endroit ou des gens vont te prendre en charge.
- Hein ... que quoi ?

- Yooo les condé, il est a nous. Il appartient à la rue, barrez vous !
- Vouéé, he is at the striiit !
- Les racailles, occupez-vous de vos affaires et barrez vous.
- Allez vous faire foutre !
- Ouééééé
- A mort les keuuuffsssss !!!

Et soudain, ils foncèrent sur les policiers.

Ceux ci firent face au flot et commencèrent à sortir les matraques.

Whouaaa, c'était la guerre !

Et c'est là que je la vis, la kikoo-th.
Elle sortit de la voiture des racailles puis commença à courir vers moi et les tecktogay !

- Mon frère, c'est mon frèeeeeee !!!!
- Steph !!!

Elle le pris dans ses bras, c'était gerbant.

- Ta retrouvé mon frère ?
- euh ouais ...
- merci merci merci !

Et elle se jeta dans mes bras pour m'embrasser langoureusement.

J'ai crus que mon zizi allait exploser, mon premier baisé de geek.

____

Robert avait allongé Yvette sur la table et commençait à lui toucher le vagin.
Berk.

Ça sentait la vielle crevette sortit du réfrigérateur.

Lui ne pensait qu'a son argent, pendant que la vielle prenait son pied comme pas possible.

"OOOOOOOOOOWWWWWWWWWWIIIII MONSIEUUURRR ROBERRRRRTTTTTTT"

La main de Robert se dirigeai discrètement vers la liasse de billet qui se trouvait dans la poche d'Yvette.

Puis, il la récupéra !
Il était fier de lui, il la tendit en l'air comme une coupe.

- Ah ah !
- !!??

Il donna alors un énorme coup de boule à la truie, il eu l'impression que sa vieille tête de mémé allait exposer sous le choc.

Elle perdit connaissance sur la table quand Robert entendit des sirènes de police qui provenaient de dehors.

Il jeta un rapide coup d'œil par la fenêtre et vit le garçon ainsi que les tecktoniks encerclés par des jeunes racailles et des policiers.

Merde, ils s'étaient échappés !
Comment c'était possible ? (">

Il devait filer, et en vitesse !
Il pris ses affaire, se precipita dans le garage et rentra dans la voiture de Thomas.

____


Les policiers avaient maitrisés toutes les racailles, ils étaient plaqués contes les voitures.

Vous auriez vus les têtes de rageux.

- Putaiiinnn !!!
- nannnnn
- apelé pas ma mèreeeeee éssvééépéééé !

J'étais aux cotés de Stéphanie (Oui, je connaissais son nom à présent. ) et nous regardâmes toute la scène avec beaucoup d'humour.

Nous étions main dans la main.
C'était bizarre, j'avais quelque chose à l'estomac.
Encore un virus ?
C'était peut être ça, l'amour.

Soudain la porte du garage de Thomas vola en eclat et Robert en sortit au volant d'une voiture.

Emilio, qui venait de coffrer les racailles regarda la scène bouche bée.

- C'est Cisleauk, attrapez le !

Trop tard, celui-ci partit à une vitesse impressionnante.
Personne n'eut le temps de prendre la voiture pour le poursuivre. (D'autant plus qu'il y avait tous les wesh dedans. )

"Central central, on a Cisleauk, il se dirige vers l'autoroute. On a Cisleauk je répète, vers l'autoroute !"

Emilio était comme un fou !

- Les gars, emmenez vite ces racailles au poste, moi j'attends les renforts ici.
- Bien monsieur...

Et la voiture partit.
Il se dirigea alors vers moi, avec un regard mi-sérieux, mi triste.

- Je suis désolé, je vais devoir t'emmener avec moi.
- Quoi ? Non, je n'ai aucuns problèmes.
- Je suis désolé, tu vas devoir me suivre.
- Naaaaaan j'ai pas de problèmes, lâche moi enfoiré !
- lachééé le !!!
- je suis désolé, je ne fais que mon boulot.

Et Emilio me plaqua contre le sol, me mit des menottes et attendit que les renforts arrivent.

Cinq minutes plus tard une voiture de police était garé devant moi.
Emilio m'attrapa et me mis à l'arrière.

- mais pourquoiii ?

Stéphanie était en larme, ah ok la kikoo sentimentale.

Je la regardai à travers la vitre et je lui fis un clin d'œil, signe que tout allait bien se passer.
Mais j'en était pas si sur.

Les tecktoniks eux, s'en foutaient complètement et regardaient les policiers en uniformes. (Chaud YMCA )

Emilio prit le volant.

- Je ne voulais pas ça, vraiment je suis obligé.
- Mais ou vous m'emmenez ?
- Là où est désormais ta place.

La voiture démarra, laissant Stéphanie en pleure au milieu de la route.

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Robert arriva à l'aéroport tard dans la nuit.
Il allait prendre un billet d'avion pour le Mexique.
Il avait l'intention de disparaitre, pour toujours.

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Fin de la première saison.