Note de la fic : Non notée
Publié le 04/04/2013 à 05:16:06 par ironat123
[c]Chapitre 1 : Une journée bien ennuyeuse. [/c]
Ce jour là, Aaron n'avait pas grand chose à faire. Son père ayant quitté la maison pendant la nuit pour allé à son rendez-vous d'affaire qui se trouve à 7 heures de route de Genève, il n'avait eu comme message qu'un bout de papier placé sur le clavier d'ordinateur du salon.
Il savait bien qu'à chaque réveil, Aaron sortait du lit pour allé voir ses messages sur son compte facebook.
Il était déjà midi et Aaron voyait le temps passé à une allure lente... Ce qui le plongea dans une certaines lassitude. Ennuyer de ne pas voir ses amis pendant toute une semaine car la plus part sont partis en vacance ou ont décidés de pioncé toute la journée, Aaron se décida à allé réchauffer la pizza qu'il avait entamé dans le frigo. Le micro-onde sonna, il prit son assiette, se posa sur sa chaise, la tête contre la paume de sa main droite et il commença à mâché sa part de pizza à moitié froide. L'air rêveur, il contempla son reflet dans le miroir incrusté dans le mur. Les yeux bleu foncé, les cheveux débonnairement et l'air lasse qui ne se décidait toujours pas à s'en allé.
Après avoir terminé son pseudo-repas, il déposa son assiette dans l'évier et choisi de la nettoyer plus tard. Quoi de plus déprimant que de devoir lavé une pauvre assiette?
Il se retourna, marqua un temps de pose et choisit d'allé jouer à sa console dans la pièce qu'il s'était faite lui même.
Il descendit donc à l'étage du bas. La pièce étant totalement dans le noir, Aaron appuya sur l'interrupteur. Un clipti résonna dans l'antre de l'enfant et il alla se posé sur son canapé nappé d'un vieux draps ornée de moto. Il n'avait pas réellement envie de jouer, en réalité, il n'avait pas envie de faire grand chose, sauf peut-être traînailler dans sa maison en quête de découvertes quelconques.
Il soupira, de manière à s'encouragé à sortir du canapé de de ne pas s'endormir et décida d'allé faire un tour dans le bureau de son père.
De nature très indépendant et à la dégaine du gars dont tout l'ennui, il partit de la salle froide en éteignant la lumière derrière lui.
Il alla ouvrir la porte du bureau de son père, se trouvant au fond du couloir à sa droite.
"N'entre pas sans mon autorisation ! " était écrit sur un panneau métallique qui était attaché à la poignée de la porte.
-Cooooool. dit Aaron sous un long soupire. Il ouvrit la porte doucement, comme dans l'idée de ne pas réveillé une personne inexistante et sous le long grincement de la porte, il la referma derrière lui.
La pièce était assez grande et lumineuse. Les murs était tous blanc et tout au fond de la pièce se trouvait un énorme bureau avec des tonnes de papier et d'affaire de son père. Surement des papiers pour son boulot.
S'ennuyant terriblement, il commença à cherché une quelconque connerie pouvant être intéressante à lire... Mais rien. Il choisit donc d'allé fouiller dans la buanderie de son paternel en sachant pertinemment que c'était souvent la où se trouvait les "Choses interdites de découvrir sous peine de sanction" !
Il fouilla donc à l'intérieur et y vit une grosse boite en carton, il l'ouvrit et y vit des tas de babioles bizarre. L'une de ces babioles était une boite en ferraille très classe non pas à cause du design mais bien évidemment car elle faisait partit de ces boites des années 70 qui faisait l'effigie de films ou série Z. Ce genre de chose pouvait se revendre à prix d'or dans certains magasins ou sur le web.
Mais la n'en était pas la question, Aaron ouvrit la boite et y trouva une grande clé toute en argent avec des tas de petit dessins sur les contours.
Curieusement, Aaron décida de cherché dans sa petite tête de jeune homme de 16 ans ce que pouvait ouvrir cette clé. Une boite? Trop grosse. Une porte? On a pas l'habitude de créer des porte avec des clés aussi grosse... Sauf celle de la salle de jeu où se trouvait sa console!
Il commença à marché attifement jusqu'à la dite porte ! En y réfléchissant bien, il n'avait jamais su ce qu'il y avait derrière cette grosse porte en bois ornée de symbole ne voulant surement rien dire. Il était fasse à la porte planta sa clé au creux de la serrure, voyant que c'était bien la bonne porte, il tourna la clé et en fît de même avec la poignet. Il attira la porte vers lui
Et une lumière blanche l'éblouie.
Ce jour là, Aaron n'avait pas grand chose à faire. Son père ayant quitté la maison pendant la nuit pour allé à son rendez-vous d'affaire qui se trouve à 7 heures de route de Genève, il n'avait eu comme message qu'un bout de papier placé sur le clavier d'ordinateur du salon.
Il savait bien qu'à chaque réveil, Aaron sortait du lit pour allé voir ses messages sur son compte facebook.
Il était déjà midi et Aaron voyait le temps passé à une allure lente... Ce qui le plongea dans une certaines lassitude. Ennuyer de ne pas voir ses amis pendant toute une semaine car la plus part sont partis en vacance ou ont décidés de pioncé toute la journée, Aaron se décida à allé réchauffer la pizza qu'il avait entamé dans le frigo. Le micro-onde sonna, il prit son assiette, se posa sur sa chaise, la tête contre la paume de sa main droite et il commença à mâché sa part de pizza à moitié froide. L'air rêveur, il contempla son reflet dans le miroir incrusté dans le mur. Les yeux bleu foncé, les cheveux débonnairement et l'air lasse qui ne se décidait toujours pas à s'en allé.
Après avoir terminé son pseudo-repas, il déposa son assiette dans l'évier et choisi de la nettoyer plus tard. Quoi de plus déprimant que de devoir lavé une pauvre assiette?
Il se retourna, marqua un temps de pose et choisit d'allé jouer à sa console dans la pièce qu'il s'était faite lui même.
Il descendit donc à l'étage du bas. La pièce étant totalement dans le noir, Aaron appuya sur l'interrupteur. Un clipti résonna dans l'antre de l'enfant et il alla se posé sur son canapé nappé d'un vieux draps ornée de moto. Il n'avait pas réellement envie de jouer, en réalité, il n'avait pas envie de faire grand chose, sauf peut-être traînailler dans sa maison en quête de découvertes quelconques.
Il soupira, de manière à s'encouragé à sortir du canapé de de ne pas s'endormir et décida d'allé faire un tour dans le bureau de son père.
De nature très indépendant et à la dégaine du gars dont tout l'ennui, il partit de la salle froide en éteignant la lumière derrière lui.
Il alla ouvrir la porte du bureau de son père, se trouvant au fond du couloir à sa droite.
"N'entre pas sans mon autorisation ! " était écrit sur un panneau métallique qui était attaché à la poignée de la porte.
-Cooooool. dit Aaron sous un long soupire. Il ouvrit la porte doucement, comme dans l'idée de ne pas réveillé une personne inexistante et sous le long grincement de la porte, il la referma derrière lui.
La pièce était assez grande et lumineuse. Les murs était tous blanc et tout au fond de la pièce se trouvait un énorme bureau avec des tonnes de papier et d'affaire de son père. Surement des papiers pour son boulot.
S'ennuyant terriblement, il commença à cherché une quelconque connerie pouvant être intéressante à lire... Mais rien. Il choisit donc d'allé fouiller dans la buanderie de son paternel en sachant pertinemment que c'était souvent la où se trouvait les "Choses interdites de découvrir sous peine de sanction" !
Il fouilla donc à l'intérieur et y vit une grosse boite en carton, il l'ouvrit et y vit des tas de babioles bizarre. L'une de ces babioles était une boite en ferraille très classe non pas à cause du design mais bien évidemment car elle faisait partit de ces boites des années 70 qui faisait l'effigie de films ou série Z. Ce genre de chose pouvait se revendre à prix d'or dans certains magasins ou sur le web.
Mais la n'en était pas la question, Aaron ouvrit la boite et y trouva une grande clé toute en argent avec des tas de petit dessins sur les contours.
Curieusement, Aaron décida de cherché dans sa petite tête de jeune homme de 16 ans ce que pouvait ouvrir cette clé. Une boite? Trop grosse. Une porte? On a pas l'habitude de créer des porte avec des clés aussi grosse... Sauf celle de la salle de jeu où se trouvait sa console!
Il commença à marché attifement jusqu'à la dite porte ! En y réfléchissant bien, il n'avait jamais su ce qu'il y avait derrière cette grosse porte en bois ornée de symbole ne voulant surement rien dire. Il était fasse à la porte planta sa clé au creux de la serrure, voyant que c'était bien la bonne porte, il tourna la clé et en fît de même avec la poignet. Il attira la porte vers lui
Et une lumière blanche l'éblouie.
