Note de la fic :
Werevolf, Vampire and Demon...
Par : Sevelith
Genre : Action, Fantastique
Statut : C'est compliqué
Chapitre 34
Publié le 16/03/2013 à 17:17:31 par Sevelith
Je me réveille, je ne sais pas réellement où je suis, en tous cas, je ne suis pas chez Sabrina, mais sur une surface blanche.
Un esprit s'approche de moi. C'est une femme que je ne connais pas.
-Bonjour, me dis t-elle, Loïc Olympie, tu est dans le coma, tu ne te réveilleras que quand tu auras trouvé la clé de ce monde.
-La quoi ? répondis-je
-On est dans le monde de tes souvenirs, et la clé de ce monde est différente pour chaque personne.
-Je vois, mais tu es ?
-Moi, je suis la clé de tes souvenirs, je peux t'y permettre d'y accéder. Je peux aussi voir le monde des vivants et voir ce qui se passe autour de toi. Par exemple, actuellement, Sabrina est à côté de ton lit, en train de parler aux médecins.
-Je vois, peux-tu me faire entrer dans un souvenir ?
-Non, je ne peux pas te faire uniquement un souvenir, tu vas voir tous les souvenirs les plus importants de ta vie. et le premier date d'il y a environ 5 ans. Si tu vois lequel c'est.
-L'accident de Sabrina. Fais-moi y entrer.
-Bien.
Elle matérialise le souvenir, je sais que je ne peux pas intervenir, mais je peux voir ce qui s'est passé.
C'était le 17 juillet 2007, j'étais avec Sabrina, on jouait ensemble au foot, elle a toujours aimé le sport, quel qu'il soit. On était sur un terrain communal. On faisait un match l'un contre l'autre.
Elle avait la balle, elle me place deux-trois passements de jambe, puis une points, je suis fixé, tout ce que je peux faire, c'est la voir marquer. Elle célébrait son but, quand tout à coup, un véhicule entra sur le terrain.
Sabrina ne vit pas la voiture, j'ai essayé de la pousser en dehors de la trajectoire mais il a manqué deux centimètres, elle se fit heurter de plein fouet. La voiture repartit ensuite. Sabrina avait le visage en sang. Des voisins qui avaient assisté à la scène sont arrivés, ils ont appelé les urgences. L'ambulance est arrivée 10 minutes plus tard. Ils ont emmené Sabrina.
Le souvenir se dématérialise. Je regrette tant de ne pas avoir pu la protéger et par extension, détruit une partie de sa vie.
Un esprit s'approche de moi. C'est une femme que je ne connais pas.
-Bonjour, me dis t-elle, Loïc Olympie, tu est dans le coma, tu ne te réveilleras que quand tu auras trouvé la clé de ce monde.
-La quoi ? répondis-je
-On est dans le monde de tes souvenirs, et la clé de ce monde est différente pour chaque personne.
-Je vois, mais tu es ?
-Moi, je suis la clé de tes souvenirs, je peux t'y permettre d'y accéder. Je peux aussi voir le monde des vivants et voir ce qui se passe autour de toi. Par exemple, actuellement, Sabrina est à côté de ton lit, en train de parler aux médecins.
-Je vois, peux-tu me faire entrer dans un souvenir ?
-Non, je ne peux pas te faire uniquement un souvenir, tu vas voir tous les souvenirs les plus importants de ta vie. et le premier date d'il y a environ 5 ans. Si tu vois lequel c'est.
-L'accident de Sabrina. Fais-moi y entrer.
-Bien.
Elle matérialise le souvenir, je sais que je ne peux pas intervenir, mais je peux voir ce qui s'est passé.
C'était le 17 juillet 2007, j'étais avec Sabrina, on jouait ensemble au foot, elle a toujours aimé le sport, quel qu'il soit. On était sur un terrain communal. On faisait un match l'un contre l'autre.
Elle avait la balle, elle me place deux-trois passements de jambe, puis une points, je suis fixé, tout ce que je peux faire, c'est la voir marquer. Elle célébrait son but, quand tout à coup, un véhicule entra sur le terrain.
Sabrina ne vit pas la voiture, j'ai essayé de la pousser en dehors de la trajectoire mais il a manqué deux centimètres, elle se fit heurter de plein fouet. La voiture repartit ensuite. Sabrina avait le visage en sang. Des voisins qui avaient assisté à la scène sont arrivés, ils ont appelé les urgences. L'ambulance est arrivée 10 minutes plus tard. Ils ont emmené Sabrina.
Le souvenir se dématérialise. Je regrette tant de ne pas avoir pu la protéger et par extension, détruit une partie de sa vie.