Note de la fic :
Publié le 10/03/2013 à 10:14:22 par Mati07
Je n'arrivais pas à y croire. Cette révélation m'avais frappé d'un coup, et cette révélation avait suffit à me faire voir clair dans toute cette affaire. Les traits tendus, je me tourna vers le fils d'Antoine Bernardin de Fualdès, qui lui me regardait d'un air las ? presque amusé ? depuis le bureau où il était assis. Il me parla d'une voix calme :
-Et... comment avez-vu réussit à découvrir ceci ?
-Simple déduction. Je ne suis pas enquêteur pour rien.
-En effet. Mais je suppose que les raisons pour lesquelles j'ai fait cela ne vous on pas échappées ?
-Exact. Mais cela ne vous en excuse pas moins : vous restez un monstre. (Je commença à m'énerver.) Comment pouvez-vous être aussi calme ?
De colère, je fis demi-tour et marcha à grands pas dans la pièce qui tombait en ruine -comme tout le reste du château.
-Votre père, Monsieur ( j?insistai bien sur ce dernier mot, avec tout le mépris dont j'étais capable.) était un homme respectable, ainsi qu'un ancien procureur impérial ! Comment avez-vous pu ?!
-Vous ne semblez pas bien comprendre les circonstances, Mr. Le détective. Laissez-moi vous...
-Non ! m'écriais-je en revenant devant le bureau. Non, au contraire, Monsieur (toujours cette marque de mépris.), je comprends très bien les circonstances. Vous êtes un être abject, et vous allez finir votre vie en prison, à moins d'être condamné à mort !
-Tentez donc au moins de sortir de ce château, dit le fils Fualdès tranquillement. Vous remarquerez que vous avez déjà eu du mal pour réunir tous les éléments pour votre stupide enquête, simplement parce que je ne voulais pas que vous les trouviez. Mais... je ne veux pas que vous sortiez d'ici. Avec plus de volonté encore, je vous empêcherais de sortir, oh ça oui ! Mais je vous en prie, essayez donc de fuir. Vous pouvez mourir comme un homme, debout, en tentant de me résister ? bien que vous n'en soyez pas réellement capable ? soit comme un lâche, en voulant fuir. Alors ?
-Allez vous faire voir !
Sur ces mots, je me dirigea hors de la pièce. Lorsque la porte eu claquée derrière moi, et que j'ai commencé à descendre les escaliers, le fils Fualdès ria. Un rire démoniaque, à donner la chair de poule. Puis un énorme rugissement bestial, qui semblait venir du château lui-même, commença à faire trembler les murs et le toit, qui étaient déjà en ruine. Je manqua de me prendre d'énormes rochers sur la tête, mais je continua de descendre. J'atteignis le pallier du deuxième étage, le château continuait de trembler. Tout le deuxième étage sembla s'effondrer sur lui-même, et la porte du pallier se fracassa en mille morceaux. Un autre rugissement, d'autres débris qui tombaient. Je continuait inlassablement ma descente. A peine eu-je atteint le pallier du premier étage que quelqu'un tambourina à la porte en hurlant. Mais la porte était verrouillée, et je n'avais pas le temps de m'arrêter.
Enfin ! j'atteignis le rez-de-chaussée. J'ouvris la porte d'un coup d'épaule et déambula dans le hall. Encore un rugissement. La porte de sortie était en vue. Je courus de plus belle, tendis la main, prêt à saisir la poignée qui se rapprochait de plus en plus...
Juste au-dessus de moi, d'énormes débris me tombèrent dessus. Je ne pu rien faire. Un rocher me tomba sur la tête. Et, durant ces quelques secondes avant de mourir, je me rappela ce qui m'avait poussé à entrer ici..
C'était il y a une semaine seulement, le Lundi au petit matin. Mais cela semblait déjà être une éternité...
-Et... comment avez-vu réussit à découvrir ceci ?
-Simple déduction. Je ne suis pas enquêteur pour rien.
-En effet. Mais je suppose que les raisons pour lesquelles j'ai fait cela ne vous on pas échappées ?
-Exact. Mais cela ne vous en excuse pas moins : vous restez un monstre. (Je commença à m'énerver.) Comment pouvez-vous être aussi calme ?
De colère, je fis demi-tour et marcha à grands pas dans la pièce qui tombait en ruine -comme tout le reste du château.
-Votre père, Monsieur ( j?insistai bien sur ce dernier mot, avec tout le mépris dont j'étais capable.) était un homme respectable, ainsi qu'un ancien procureur impérial ! Comment avez-vous pu ?!
-Vous ne semblez pas bien comprendre les circonstances, Mr. Le détective. Laissez-moi vous...
-Non ! m'écriais-je en revenant devant le bureau. Non, au contraire, Monsieur (toujours cette marque de mépris.), je comprends très bien les circonstances. Vous êtes un être abject, et vous allez finir votre vie en prison, à moins d'être condamné à mort !
-Tentez donc au moins de sortir de ce château, dit le fils Fualdès tranquillement. Vous remarquerez que vous avez déjà eu du mal pour réunir tous les éléments pour votre stupide enquête, simplement parce que je ne voulais pas que vous les trouviez. Mais... je ne veux pas que vous sortiez d'ici. Avec plus de volonté encore, je vous empêcherais de sortir, oh ça oui ! Mais je vous en prie, essayez donc de fuir. Vous pouvez mourir comme un homme, debout, en tentant de me résister ? bien que vous n'en soyez pas réellement capable ? soit comme un lâche, en voulant fuir. Alors ?
-Allez vous faire voir !
Sur ces mots, je me dirigea hors de la pièce. Lorsque la porte eu claquée derrière moi, et que j'ai commencé à descendre les escaliers, le fils Fualdès ria. Un rire démoniaque, à donner la chair de poule. Puis un énorme rugissement bestial, qui semblait venir du château lui-même, commença à faire trembler les murs et le toit, qui étaient déjà en ruine. Je manqua de me prendre d'énormes rochers sur la tête, mais je continua de descendre. J'atteignis le pallier du deuxième étage, le château continuait de trembler. Tout le deuxième étage sembla s'effondrer sur lui-même, et la porte du pallier se fracassa en mille morceaux. Un autre rugissement, d'autres débris qui tombaient. Je continuait inlassablement ma descente. A peine eu-je atteint le pallier du premier étage que quelqu'un tambourina à la porte en hurlant. Mais la porte était verrouillée, et je n'avais pas le temps de m'arrêter.
Enfin ! j'atteignis le rez-de-chaussée. J'ouvris la porte d'un coup d'épaule et déambula dans le hall. Encore un rugissement. La porte de sortie était en vue. Je courus de plus belle, tendis la main, prêt à saisir la poignée qui se rapprochait de plus en plus...
Juste au-dessus de moi, d'énormes débris me tombèrent dessus. Je ne pu rien faire. Un rocher me tomba sur la tête. Et, durant ces quelques secondes avant de mourir, je me rappela ce qui m'avait poussé à entrer ici..
C'était il y a une semaine seulement, le Lundi au petit matin. Mais cela semblait déjà être une éternité...
Commentaires
- Mati07
04/11/2012 à 13:00:57
Avant qu'on me le dise, oui je sais pour le fail de "Chapitre 1 : Prologue" ;)
Et ça décalera comme ça à chaque fois, et je n'y peut rien :/