Note de la fic : Non notée
Publié le 18/02/2013 à 18:24:03 par Bibah
Tout a commencé avec un coup. Un poing dans une mâchoire, j’aurais aimé que ce soit mon poing mais malheureusement ce n’était pas le cas. Se battre ce n’est pas comme dans les films, se battre c’est gérer l’adrénaline qui nous fait trembler, c’est une centaines d’émotions contradictoires qui nous habitent. Mais pour se battre faut-il encore rendre les coups, j’étais au sol, lui était devant moi, fier. Je ne savais pas quoi faire, j’étais tétanisé je ne pouvais pas me lever, un coup de pied et puis plus rien.
Je me réveille dans une infirmerie ma tête me fait mal, cette enflure n’y a pas été de main morte, et comme d’habitude je n’ai pas réagi. Je pars on me sermonne, on me dit de faire attention. J’ignore tous ces commentaires, ce n’était qu’une humiliation de plus. Je marche, le visage endolori, les yeux vers le sol. On me bouscule, je ne suis rien dans ce monde, juste un autre fou du roi dont on rit et que l’on regarde pour se rassurer.
Je n’ai jamais eu de talent, je ne me suis démarqué que part m’a fâcheuse tendance à m’attirer des ennuis que je ne cherchais pas. Il est dur d’être une personne normale dans notre monde. Je rentre chez moi jette mon sac sur le sol et j’allume mon ordinateur, je flâne sur internet, regarde un film et je vais me poser dans mon lit, je réfléchis, je cherche comme à chaque moment de ma vie un sens à celle ci. Le lendemain matin j’entame une journée des plus banales, fais mon rituel de chaque matin avant de partir en cours, mais avant de partir j’entends que l'on m’appelle, c’est ma mère.
« -J’ai entendu dire que tu avais encore eu des ennuis hier, tu ne veux toujours pas en parler ?
-Toujours pas, allez bonne journée à ce soir.
-Oui, à ce soir, fais attention à toi. »
Je ne veux pas qu’elle s’inquiète pour moi, je n’en peux plus de décevoir le peu de personne qui s’inquiètent pour moi. Sur le chemin je traîne, je ne veux pas retourner subir les brimades de ceux que je censé considérer comme mes camarades.
J’arrive la tête basse sous des regards moqueurs, je me dépêche d’aller en classe, le cours s’enchaînent, sans intérêt.
Je n’en peux plus, je veux que tout cela finisse, je ne pourrais pas fuir toute ma vie. On me demande d’être fort, mais fort pour quoi ? Comment ? Je ne veux plus subir ma vie, je veux vivre. Mais pourrais-je un jour ?
Je me réveille dans une infirmerie ma tête me fait mal, cette enflure n’y a pas été de main morte, et comme d’habitude je n’ai pas réagi. Je pars on me sermonne, on me dit de faire attention. J’ignore tous ces commentaires, ce n’était qu’une humiliation de plus. Je marche, le visage endolori, les yeux vers le sol. On me bouscule, je ne suis rien dans ce monde, juste un autre fou du roi dont on rit et que l’on regarde pour se rassurer.
Je n’ai jamais eu de talent, je ne me suis démarqué que part m’a fâcheuse tendance à m’attirer des ennuis que je ne cherchais pas. Il est dur d’être une personne normale dans notre monde. Je rentre chez moi jette mon sac sur le sol et j’allume mon ordinateur, je flâne sur internet, regarde un film et je vais me poser dans mon lit, je réfléchis, je cherche comme à chaque moment de ma vie un sens à celle ci. Le lendemain matin j’entame une journée des plus banales, fais mon rituel de chaque matin avant de partir en cours, mais avant de partir j’entends que l'on m’appelle, c’est ma mère.
« -J’ai entendu dire que tu avais encore eu des ennuis hier, tu ne veux toujours pas en parler ?
-Toujours pas, allez bonne journée à ce soir.
-Oui, à ce soir, fais attention à toi. »
Je ne veux pas qu’elle s’inquiète pour moi, je n’en peux plus de décevoir le peu de personne qui s’inquiètent pour moi. Sur le chemin je traîne, je ne veux pas retourner subir les brimades de ceux que je censé considérer comme mes camarades.
J’arrive la tête basse sous des regards moqueurs, je me dépêche d’aller en classe, le cours s’enchaînent, sans intérêt.
Je n’en peux plus, je veux que tout cela finisse, je ne pourrais pas fuir toute ma vie. On me demande d’être fort, mais fort pour quoi ? Comment ? Je ne veux plus subir ma vie, je veux vivre. Mais pourrais-je un jour ?
Commentaires
- Droran
19/02/2013 à 19:14:07
Tu devrais relire à haute voix, voir si certaines phrases sonnent étrangement.