Note de la fic : 
Publié le 27/01/2013 à 21:32:13 par Exxplicit
Chapitre 2 :
Le paquebot accostait au port. Enfin port, c'est un grand mot, je devrais plutôt dire vieux ponton en bois usé. L'ile était magnifique, du vert, du vert et encore du vert. Une eau propre et transparente, des palmiers, des cocotiers, tout un tas d'arbres exotiques que je ne connaissais pas. Ma troupe et moi approchions de l’accueil en se frayant un chemin à travers la foule.
- Vous avez une réservation ? demanda gentillement la jolie vietnamienne du comptoir
- Euh oui...
Je cherchai précipitamment le reçu de la réservation dans mon sac
- Ah voila, tenez !
- Merci, voici vos clefs, votre maison est le numéro 274. Bon séjour !
- Merci, Au revoir.
Nous nous écartions de l'accueil afin d'arriver à notre emplacement. Après un petit quart d'heure de marche, nous y étions enfin.
- Et ils osent appeler ça une maison ? J'appelle ça une cabane moi, pas une maison ! Se moqua Alex
- On y est enfin les gars ! Ça va être E-N-O-R-M-E ! s'agita Tim
- C'est nous qui prenons la chambre les mecs ! lança Chloé
- Ouais, c'est pour vous le salon, hors de question que je dorme par terre moi, il me faut un lit ! continua Camille
Chacun installait ses affaires tranquillement dans les placards mis à disposition. L'heure avançait, la fête approchait, il y en avait chaque soir, et c'est ça qui était énorme.
- Bon bah c'est pas tout mais faut se préparer quoi ! Thomas éclata de rire et sorti quelque chose de sa poche.
- Putain c'est de l’ecstasy !! T'es énorme mec ! s'exita Alex
- Hé ouais, et j'ai un comprimé pour chacun pour 2 soirs. Je vous le répète les gars, on va s'éclater.
J'avais jamais touché à ça, Tim non plus, avec qui j'étais le plus complice. Je le regardai, il faisait de même. Nous eûmes chacun un sourire.
- Après tout, me dit-il
- Ouais, faut en profiter !
Chacun avala son comprimé avec envie, la soirée commençait enfin...
...
Le présent s'est envolé, les fantasme font partie de la réalité, et en enlève les freins. On pense clairement et pourtant... On ne pense pas, et cela nous semble bien. On arrête d'essayer de tout maitriser. Des flots tièdes de substances chimiques en nous en fluctuent. Est-ce l'effet de lésions cérébrales ? On oublis les chagrins, les blessures de la vie. On se sent ailleurs, on ne se sent plus menacé par les autres. Toutes nos inquiétudes se sont évaporées. On est dans les nuages à présent, on est grand ouvert. On est des spationautes en orbite autour de la terre. Tout le monde à l'air superbe d'ici. On est ivre d'émotion. On désire l'inatteignable. On met notre santé mentale en péril pour quelques instant de claire voyance. Tant d'idées... Si peu de mémoire. La dernière pensée est tuée par anticipation de la prochaine. On est saisi par un irrésistible sentiment d'amour. On flotte à l'unissons. On est ensemble, on veut un niveau universel d'harmonie, où on se sentira à l'aise, avec tout le monde. On est en rythme. Élément d'un mouvement, mouvement d'évasion. En fin de compte, on veut juste... Etre heureux.
Le paquebot accostait au port. Enfin port, c'est un grand mot, je devrais plutôt dire vieux ponton en bois usé. L'ile était magnifique, du vert, du vert et encore du vert. Une eau propre et transparente, des palmiers, des cocotiers, tout un tas d'arbres exotiques que je ne connaissais pas. Ma troupe et moi approchions de l’accueil en se frayant un chemin à travers la foule.
- Vous avez une réservation ? demanda gentillement la jolie vietnamienne du comptoir
- Euh oui...
Je cherchai précipitamment le reçu de la réservation dans mon sac
- Ah voila, tenez !
- Merci, voici vos clefs, votre maison est le numéro 274. Bon séjour !
- Merci, Au revoir.
Nous nous écartions de l'accueil afin d'arriver à notre emplacement. Après un petit quart d'heure de marche, nous y étions enfin.
- Et ils osent appeler ça une maison ? J'appelle ça une cabane moi, pas une maison ! Se moqua Alex
- On y est enfin les gars ! Ça va être E-N-O-R-M-E ! s'agita Tim
- C'est nous qui prenons la chambre les mecs ! lança Chloé
- Ouais, c'est pour vous le salon, hors de question que je dorme par terre moi, il me faut un lit ! continua Camille
Chacun installait ses affaires tranquillement dans les placards mis à disposition. L'heure avançait, la fête approchait, il y en avait chaque soir, et c'est ça qui était énorme.
- Bon bah c'est pas tout mais faut se préparer quoi ! Thomas éclata de rire et sorti quelque chose de sa poche.
- Putain c'est de l’ecstasy !! T'es énorme mec ! s'exita Alex
- Hé ouais, et j'ai un comprimé pour chacun pour 2 soirs. Je vous le répète les gars, on va s'éclater.
J'avais jamais touché à ça, Tim non plus, avec qui j'étais le plus complice. Je le regardai, il faisait de même. Nous eûmes chacun un sourire.
- Après tout, me dit-il
- Ouais, faut en profiter !
Chacun avala son comprimé avec envie, la soirée commençait enfin...
...
Le présent s'est envolé, les fantasme font partie de la réalité, et en enlève les freins. On pense clairement et pourtant... On ne pense pas, et cela nous semble bien. On arrête d'essayer de tout maitriser. Des flots tièdes de substances chimiques en nous en fluctuent. Est-ce l'effet de lésions cérébrales ? On oublis les chagrins, les blessures de la vie. On se sent ailleurs, on ne se sent plus menacé par les autres. Toutes nos inquiétudes se sont évaporées. On est dans les nuages à présent, on est grand ouvert. On est des spationautes en orbite autour de la terre. Tout le monde à l'air superbe d'ici. On est ivre d'émotion. On désire l'inatteignable. On met notre santé mentale en péril pour quelques instant de claire voyance. Tant d'idées... Si peu de mémoire. La dernière pensée est tuée par anticipation de la prochaine. On est saisi par un irrésistible sentiment d'amour. On flotte à l'unissons. On est ensemble, on veut un niveau universel d'harmonie, où on se sentira à l'aise, avec tout le monde. On est en rythme. Élément d'un mouvement, mouvement d'évasion. En fin de compte, on veut juste... Etre heureux.