Note de la fic :
Publié le 29/12/2012 à 00:30:56 par WatiSaucisse
J'avais l'impression d'approcher de la vérité et pourtant il restait un dernier point à prendre en compte, et pas des moindres .. Je fais quoi, maintenant ? Je vois le jardin de là où je suis, mais les scènes que j'ai vu se passent derrière la maison dans le jardin inférieur .. Comment faire pour entrer ? Il fallait que je réfléchisse, j'ai réussi jusque ici sans me faire repérer avec beaucoup de chance, il devait bien y avoir un moyen d'entrer. J'ai fait le tour du propriétaire, une fois, puis une deuxième où j'ai pu remarqué qu'il y avait un endroit avec juste des buissons et pas de grillage.
J'ai prit mon courage à deux mains, je voyait les épines grosses et imposantes se tenir sur les branches de ce que j'allait traverser, mais c'est le seul moyen, je vais quand même pas tenter de me faire passer pour un livreur de pizza ? C'est bidon ça, ça marche même pas dans les films.
J'ai prit de l'élan et j'ai couru, les yeux fermés, j'ai eut l'impression de courir pendant au moins 15 secondes alors qu'en vrai à peine 4 se sont écoulées du moment ou j'ai commencer à courir et celui où j'ai prit ma première épine, dans la joue. Je mettait mes bras devant mes yeux pour ne pas qu'une de ces salopes me crève l'oeil, même si c'était fort probable.
Avec de la chance, je sens que j'arrive au bout et .. merde. Il y a un grillage à la sortie de ce tas de piquants. Désespéré, je regarde le sol, m'apprêtant à prendre mon vélo et à rentrer chez moi chercher un moyen efficace de me suicider, j'entend une voix de femme "Mais, tu es sûr que ça va pas me faire mal ?" et un homme répondit "Si bien sûr, mais montre toujours à la caméra que tu prends du plaisir".
Ils arrivaient. Les acteurs. Il y a avaient la femme que ma mère a récupéré, seins nus, en maillot de bain, l'homme que ma mère a récupérer, habillé en homme d'entretient, une deuxième femme en soutient-gorge et maillot de bain, le caméra-man, le directeur de la scène habillé en costard, et ... ma mère, habillé en servante. Les deux femmes s'allongèrent sur des transats au bord de la piscine, l'homme ratissaient les feuilles au sol.
Un silence de dix secondes où les acteurs prenaient la pose, et le caméra-man cria "ça tourne !"
J'ai prit mon courage à deux mains, je voyait les épines grosses et imposantes se tenir sur les branches de ce que j'allait traverser, mais c'est le seul moyen, je vais quand même pas tenter de me faire passer pour un livreur de pizza ? C'est bidon ça, ça marche même pas dans les films.
J'ai prit de l'élan et j'ai couru, les yeux fermés, j'ai eut l'impression de courir pendant au moins 15 secondes alors qu'en vrai à peine 4 se sont écoulées du moment ou j'ai commencer à courir et celui où j'ai prit ma première épine, dans la joue. Je mettait mes bras devant mes yeux pour ne pas qu'une de ces salopes me crève l'oeil, même si c'était fort probable.
Avec de la chance, je sens que j'arrive au bout et .. merde. Il y a un grillage à la sortie de ce tas de piquants. Désespéré, je regarde le sol, m'apprêtant à prendre mon vélo et à rentrer chez moi chercher un moyen efficace de me suicider, j'entend une voix de femme "Mais, tu es sûr que ça va pas me faire mal ?" et un homme répondit "Si bien sûr, mais montre toujours à la caméra que tu prends du plaisir".
Ils arrivaient. Les acteurs. Il y a avaient la femme que ma mère a récupéré, seins nus, en maillot de bain, l'homme que ma mère a récupérer, habillé en homme d'entretient, une deuxième femme en soutient-gorge et maillot de bain, le caméra-man, le directeur de la scène habillé en costard, et ... ma mère, habillé en servante. Les deux femmes s'allongèrent sur des transats au bord de la piscine, l'homme ratissaient les feuilles au sol.
Un silence de dix secondes où les acteurs prenaient la pose, et le caméra-man cria "ça tourne !"