Note de la fic :
Le périple de la peur
Par : Kriekcerise51
Genre : Fantastique, Horreur
Statut : C'est compliqué
Chapitre 10 : ~*Chapitre 10*~
Publié le 21/10/2012 à 13:46:05 par Kriekcerise51
Je recula, et fonça dans la porte. Ma jambe pris chère. Je recommença une bonne fois pour toute et la porte s'ouvrit. Les meubles qui servaient à fermer la porte étaient étalés par terre. A l'intérieur, il faisait noir, très noir. Rien en vu pour l'instant. Je pense que c'est, enfin c'était l'hôtel de ville. La raisonnance faisait peur. Chaque bruit de mes pas faisait un son grave et long. Au loin, se trouvait un bureau. Je m'approche, et découvris plusieurs papiers. Dont ce que je cherchais: un plan.
N'etant pas rassuré, je sortis avec le plan. Mon dieu, cette ville est grande, l'exploration va être longue. Nelo était resté dehors, s'amusa à dénicher des mauvaises herbes. Je le siffla et go. Nous commençons à rentrer dans un quartier assez terrifiant, de grands immeubles pourris, gris, tristes. Je pris la direction d'un de ses immeubles. En rentrant, il faisait sombre, et sa sentait l'humidité. Des flaques d'eaux, des traces noirs sur les murs. J'avais faim, alors je cassais tout tiroirs, mais ça ne servait à rien. En sortant, l'immeuble en face était en construction abandonné. A l'intérieur je voyais une caisse noirs. Je rentre donc voir ce qu'il se passe et arrivant devant la caisse, la clef était deja dans la serrure. J'ouvris. Je fis un bon en arrière lorsque je découvris ce que contenais cette caisse. Un arsenal d'arme inimaginable ! Des pompes, mitraillettes et flingue s'y trouvaient. Comment étaient-ils arrivé là ? ou que faisaient-ils là ? Je referme en grande vitesse et descends pour retrouver Nelo. C'est au bout de la rue que je me stoppa net. En regardant le plan de plus près, j'aperçu quelque chose d'étrange. Une croix était marqué exactement à l'endroit ou se trouve la caisse, mais ce n'était pas la seule croix, il y en avait deux en tout. La deuxième était à l'opposé de ce quartier. Environ 400 mètres plus au nord. Je couru rapidement et remarqua que l'endroit ou étit censé se trouver quelque chose, était dans une piscine municipale vide. Je rentra dans ce vieux batiment, il n'y avait plus d'eau, mais quelques traces de sang le long d'un mur. Je chercha les vestiaire, à l'opposé de l'entrée et fouilla ces vestiaires, j'ouvris tout casiers, un par un les claquants forts pour les refermer. bingo ! Le casier 303. Une enveloppe proprement fermée. Avec mes dents, j'arracha une partie pour terminer avec les doigts, sortis l'élément. C'était une lettre.
N'etant pas rassuré, je sortis avec le plan. Mon dieu, cette ville est grande, l'exploration va être longue. Nelo était resté dehors, s'amusa à dénicher des mauvaises herbes. Je le siffla et go. Nous commençons à rentrer dans un quartier assez terrifiant, de grands immeubles pourris, gris, tristes. Je pris la direction d'un de ses immeubles. En rentrant, il faisait sombre, et sa sentait l'humidité. Des flaques d'eaux, des traces noirs sur les murs. J'avais faim, alors je cassais tout tiroirs, mais ça ne servait à rien. En sortant, l'immeuble en face était en construction abandonné. A l'intérieur je voyais une caisse noirs. Je rentre donc voir ce qu'il se passe et arrivant devant la caisse, la clef était deja dans la serrure. J'ouvris. Je fis un bon en arrière lorsque je découvris ce que contenais cette caisse. Un arsenal d'arme inimaginable ! Des pompes, mitraillettes et flingue s'y trouvaient. Comment étaient-ils arrivé là ? ou que faisaient-ils là ? Je referme en grande vitesse et descends pour retrouver Nelo. C'est au bout de la rue que je me stoppa net. En regardant le plan de plus près, j'aperçu quelque chose d'étrange. Une croix était marqué exactement à l'endroit ou se trouve la caisse, mais ce n'était pas la seule croix, il y en avait deux en tout. La deuxième était à l'opposé de ce quartier. Environ 400 mètres plus au nord. Je couru rapidement et remarqua que l'endroit ou étit censé se trouver quelque chose, était dans une piscine municipale vide. Je rentra dans ce vieux batiment, il n'y avait plus d'eau, mais quelques traces de sang le long d'un mur. Je chercha les vestiaire, à l'opposé de l'entrée et fouilla ces vestiaires, j'ouvris tout casiers, un par un les claquants forts pour les refermer. bingo ! Le casier 303. Une enveloppe proprement fermée. Avec mes dents, j'arracha une partie pour terminer avec les doigts, sortis l'élément. C'était une lettre.