Le royaume Desfir
Par : ironat123
Genre : Fantastique
Statut : Terminée
Chapitre 1 : La mélodie angelique
Publié le 19/08/2012 à 19:00:20 par ironat123
La peur est en chacun de ces êtres, hommes comme animaux.
L'un des royaumes que l'on appeller Desfir est surement l'endroit le plus triste et malsain de toute cette triste planète. Seul une poignée de personne essayaiaient encore d'aider leurs royaume, les autres se sont replié sur eux même au point d'en devenir des êtres égoïste ne cherchant qu'à survivre.
Alfonse Dosse, voila le nom de cette légende.
Le visage doux, les yeux couleur soleil, de long cheveux sombre ondules de manière à resplendir son visage. C'est un homme tourmenté, oh oui, tourmenté par le but de changer ce monde, ce triste monde.
Tout les jours, il alla au milieu de la cour, face aux château Desfir, et il jouait, oui, il jouait toute les musiques possible pour calmer la peur qui ronge les villageois de ce monde.
Mais rien n'y faire, il n'y arrivait pas. Il s'en voulait de ne pas pouvoir les aidaient mieux qu'ainsi.
Pour lui, la musique fût la chose la plus merveilleuse de se monde, la chose la plus importante, bien plus importante que de l'or, que de gagner une guerre.
Le temps passa, les villageois, rongé par la tristesse, décidèrent de faire partir ce jeune troubadour loin de cette ville, ils en avaient marre, oui, marre de le voir se dépensé à essayer de les aidaient, en vint.
Alfonse fut donc obliger de partir, avec tristesse, évidemment.
Il ne connaissait d'autre endroit qu'ici, c'est la qu'il fût née, jamais l'idée qu'il devrait partir lui avait traverser l'esprit.
Alors il marcha, tout droit, sans jamais s'arrêtait, ne pensant plus à rien, ne pensant plus à ce don qu'il avait obtenue, celui de jouer de la musique.
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La déesse d'Inif, la divine reine de la paix et de l'amour, le regarda de son royaume des cieux, il était temps pour elle d'agir et de changer ce monde à jamais.
Alors elle descendit de son nuage et posa sa main sur l'épaule du jeune homme triste.
-Repenses à ton but, Alfonse, repenses à ce que tu veux faire.
Alfonse se retourna et ce qu'il vit l'étonna, il n'en croyait pas ses yeux. Cette femme aux yeux vert et aux formes angélique... Elle était vétue d'une robe blanche, fait d'un tissu presque transparent et léger qui rendait sa silhouette des plus alléchante. Un couronne d'or était posé sur ses cheveux noir qui ondulé le long de son visage la rendait des plus douce.
-Par dieu, qui êtes vous? Et comment connaissez vous mon nom?
-Je te regarde, je regarde la tristesse que tu ressens, cette envie d'aider qui te ronge jusqu'à te détruire.
Un long moment de silence prit place et elle reprit:
-Prend cette instrument et joues. Joues la plus belle mélodie de ta composition, offre leurs ton sentiment de regret, fait leurs comprendre ce que tu ressens, retourne à ta ville natal et montre leurs toute la force que tu contiens au fond de toi.
Offre leurs le don d'écouter, de ressentir. Change le monde.
Stupéfait des dits de cette femme, il resta bouche bée.
-C...C.. Comment? Que voulez vous dire...
Elle avait disparue.
-Va, maintenant, je te regarderais de l'endroit où je vie, je verrais le sauveur de ce monde.
Sa voix résonna dans l'air.
Alfonse resta debout pendant toute la nuit qui suivi et le jour suivant, il décida de retourner à Desfir.
Lorsque les villageois le virent, il semblait changer, ses yeux montrait un tout autre sentiment, celui qu'on a lorsqu'on a choisit d'agir et que rien nous arrétera.
Alfonse se s'assit au centre de la cité et prit l'objet en main, lorsque sa main eu effleurer dedans, une voix lui rappelant celle de la femme d'hier lui vint à l'esprit.
"Souffle dedans, joue de cette instrument, acquières sa mélodie et tu verras le monde d'avant devenir un nouveau."
Le garçon posa ses lèvre dessus, un son sortit, un son tellement doux et envoûtant qu'il ne perdit pas un temps de plus, il se mit à jouer de tout son coeur et alors que les notes de musiques s'entre-choquèrent à en rendre la mélodie harmonieuse, le son augmenta, bientôt il fut assez fort pour que tout le continent l'entendes, jusqu'à ce que tout la planète la planète l'entende.
La peur disparue, la tristesse se changea en bonheur et la haine disparue à jamais.
Les guerriers ne se battaient plus, les animaux sauvage arrêtèrent de chasser leurs proie, tous écouta la mélodie d'Alfonse et tous eurent les larmes aux yeux, des larmes de bonheur.
Le monde avait changer à jamais mais pour combien de temps ?
Commentaires
- Pseudo supprimé
21/08/2012 à 22:40:06
Tu peux corriger le titre via le panneau d'administration.
- ironat123
19/08/2012 à 23:35:49
Au fail de ma pars, Daz! Merci de me l'avoir fait remarquer!
Merci de tes remarques que je mettrais en pratique pour refaire ce texte ! - Gregor
19/08/2012 à 23:35:36
Bien l'auto-notation ?
- Droran
19/08/2012 à 22:05:19
Un royame, des roillomes, Daz...
- Daz
19/08/2012 à 21:13:59
Suis-je le seul à avoir vu la faute dans le titre ?
- Gregor
19/08/2012 à 20:16:59
Le récit est très jolie. L'idée est géniale, belle. En revanche la mise en place est difficile. Nombre de fautes entachent le récit. je ne suis pas chiant, mais là, c'est au delà du raisonnable. Quand je lis "Alfonse n'en croyait pas ses yeux, cette femme aux yeux vert et au corps si fin et si doux qu'on penserait qu'elle était capable de se cassé au simple fait de marcher connaissait son nom.", aïe ... Tu devrais, outre la relecture, passer ton texte au correcteur orthographique.
De la même façon, le champ lexical du texte est parfois bancal. Des mots sont mals utilisés, le niveau de langage varie beaucoup trop. Le rythme est trop rapide, même pour une si courte histoire. L'ambiance qui se dégage du récit est trop faible pour réellement entraîner le lecteur.
J'ai conscience de la dureté de mon commentaire. mais je ne peux que t'encourager à retravailler et à persévérer. Car si la forme pêche, les idées sont là. Et c'est bien le principal ...