Note de la fic :
Et si notre vie était tracée ?
Par : Marley
Genre : Action, Sayks
Statut : Abandonnée
Chapitre 1 : Des informations inédites
Publié le 13/10/2012 à 01:42:16 par Marley
«Bonjour Lucas, tout cela peut vous semblez comme dans un rêve, mais c'est réel, ce ne sont pas de fausses balles, ni des faux meurtres. Dans les documents qui vont suivre, vous allez découvrir ce que je tentais de vous expliquez, je veux le souligner, je tentais, parce que je savais que ma mort était proche…»
J'ai dû faire le tour du document plusieurs fois, j'ai enfin saisi. Le camion voulait ma mort, c'était prévu, en fait, je suis censé être déjà mort, mais l' «Entreprise» m'avait protégé, le conducteur fut éliminé et sa tête heurta le volant qui actionna le klaxon. Ceci étant dit, il y avait un flacon dans la mallette, je devais le cacher, même «l'Entreprise» ne savait pas le contenu de la mallette, j'ai dû cacher le flacon le mieux possible dans mon pantalon. Une chance que j'étais seul durant cette intervention, car la fin de la première page du message m'indiqua que je pourrais mourir si on découvrait ce que je venais de faire. Je m'étais moi-même donné peur lorsque j'avais pensé être surveillé, mais après vérification, ce n'était pas le cas. Je retournai à ma lecture.
« Si vous saviez... Pour ma part, tout à commencé vers mes 15 ans. J'étais jeune, naïf et très influençable. On m'a recruté, pour ne pas dire kidnapper, après une session d'art martial, dans ce temps, on m'appelait Sébastien. Dans ce temps ? On m'appelle toujours Sébastien, du moins, pour ceux qui m'ont connu avant cet évènement, car pour mes rencontres futures, j'avais différents noms, passant de prénom Français à des prénoms Anglais. Vous allez vivre cela vous aussi, vous n'avez pas le choix, vous N'AVEZ plus le choix. La curiosité est une preuve d'intelligence, vous avez pu remarquer que le flacon est scellé et aucune étiquette n'y indique ce qu'il contient. C’est bien. Il est très important que peu de gens sache sa présence…»
Cette remarque, je dois l'avouer, me fit un peu sourire, serais-je une sorte d'élu ? Un missionnaire recruté pour des raisons qui me sont encore inconnu, mais tout cela n'a pas de sens. J'avais toujours été une personne bien, je n'avais jamais rien fait de mal, malgré mes folies d’adolescence. Malgré toutes ces questions, je repensais encore à Marie, mais pourquoi ? Certes, elle est très jolie, mais surtout, elle est plus vieille que moi. Du moins, peut-être aurais-je une chance malgré mes 21 ans ? Quoique, notre rencontre n'est pas digne des grands films d'amour !
«Sachez, pour commencer, que où vous vous trouvez n'est pas la place officielle, disons que l'on traite les données ici, c'est pour cela qu'il est important que peu de gens sache pour le flacon, vous êtes presque en sécurité. Après 48h dans cet endroit, on vous enverra dans un autre lieu. D'ailleurs, je vous invite à vous mettre à vos aises, faites ce que vous voulez, détentez-vous ! Il y a une salle de muscu, une salle de massage et pour ce qui est de la nourriture et les boissons, tout est à volonté !»
Ça, par contre, ça devenait très intéressant, peut-être qu'un peu d'alcool, pour ne pas dire beaucoup, pourrait m’aider. Je décidais de prendre une pause pour regarder autour de moi, je n'y avais pas pensé avant. La salle était propre, on pouvait y voir une bibliothèque remplit de livre, un bureau en bois bien entretenu, une chaise cousiné ainsi que des vitres givrées, heureusement pour moi. Décidément, c'est un bureau ordinaire pour une entreprise hors de l'ordinaire. J'allais me remettre à ma lecture, mais on toquait à la porte avant qu'elle ne s’ouvrit.
Marie : Désolé de vous dérangez durant votre lecture, mais j'ai pensé qu'un verre d'eau pourrait vous aidez, dit-elle en s'approchant de moi.
Elle déposa le verre d'eau près de moi en laissant passer sa main vers ma joue droite et la ramener doucement vers mon épaule. Étonné de ce geste, mais surtout de la réaction qu'elle avait suscitée en moi, je la regardais. Elle me fixait dans les yeux avec un sourire avant de me souhaiter une bonne fin de lecture avant de quitter.
«N'oublie pas Lucas, ta vie et celle de plusieurs personnes sont en jeu.»
Je retournai la feuille, rien. C'était la dernière phrase de la page. Je me suis dirigé vers les autres feuilles, mais je n'y découvris pas un texte, mais des images de personne, leur nom, leur prénom, leur date de naissance, leur spécialisation et leur date de leur mort. La photo de Sébastien y figurait. Il avait 40 ans, je fis le calcul, cela faisait 25 ans qu'il faisait ce métier. J'ai remarqué aussi qu'il était réellement dans le domaine de la santé, du moins, pour l'Entreprise et non pour le gouvernement. Par la suite, je me suis questionné, pourrais-je prendre une retraite ? Quitter ce métier après cette mission ? Je ne veux pas faire cela de ma vie… D'ailleurs, on m'y a forcé avec de très bon argument.
______________________________________________
Note de l'auteur : Bonjour, j'espère que vous allez bien. Pour commencer, j'explique ma démarche. J'essaie d'écrire un chapitre par semaine, sachant que j'ai commencé à mettre ma fic' en ligne lorsque j'avais environ 10 chapitres, je garde une parfaite avance et je peux prendre en considération vos critiques. Malheureusement, la vie continue, mais je suis tombé malade et je n'ai pas vraiment la tête à l'écriture, j'essaierai d'écrire 2 chapitres cette semaine (Avec le syndrome de la page blanche, au passage).
J'ai dû faire le tour du document plusieurs fois, j'ai enfin saisi. Le camion voulait ma mort, c'était prévu, en fait, je suis censé être déjà mort, mais l' «Entreprise» m'avait protégé, le conducteur fut éliminé et sa tête heurta le volant qui actionna le klaxon. Ceci étant dit, il y avait un flacon dans la mallette, je devais le cacher, même «l'Entreprise» ne savait pas le contenu de la mallette, j'ai dû cacher le flacon le mieux possible dans mon pantalon. Une chance que j'étais seul durant cette intervention, car la fin de la première page du message m'indiqua que je pourrais mourir si on découvrait ce que je venais de faire. Je m'étais moi-même donné peur lorsque j'avais pensé être surveillé, mais après vérification, ce n'était pas le cas. Je retournai à ma lecture.
« Si vous saviez... Pour ma part, tout à commencé vers mes 15 ans. J'étais jeune, naïf et très influençable. On m'a recruté, pour ne pas dire kidnapper, après une session d'art martial, dans ce temps, on m'appelait Sébastien. Dans ce temps ? On m'appelle toujours Sébastien, du moins, pour ceux qui m'ont connu avant cet évènement, car pour mes rencontres futures, j'avais différents noms, passant de prénom Français à des prénoms Anglais. Vous allez vivre cela vous aussi, vous n'avez pas le choix, vous N'AVEZ plus le choix. La curiosité est une preuve d'intelligence, vous avez pu remarquer que le flacon est scellé et aucune étiquette n'y indique ce qu'il contient. C’est bien. Il est très important que peu de gens sache sa présence…»
Cette remarque, je dois l'avouer, me fit un peu sourire, serais-je une sorte d'élu ? Un missionnaire recruté pour des raisons qui me sont encore inconnu, mais tout cela n'a pas de sens. J'avais toujours été une personne bien, je n'avais jamais rien fait de mal, malgré mes folies d’adolescence. Malgré toutes ces questions, je repensais encore à Marie, mais pourquoi ? Certes, elle est très jolie, mais surtout, elle est plus vieille que moi. Du moins, peut-être aurais-je une chance malgré mes 21 ans ? Quoique, notre rencontre n'est pas digne des grands films d'amour !
«Sachez, pour commencer, que où vous vous trouvez n'est pas la place officielle, disons que l'on traite les données ici, c'est pour cela qu'il est important que peu de gens sache pour le flacon, vous êtes presque en sécurité. Après 48h dans cet endroit, on vous enverra dans un autre lieu. D'ailleurs, je vous invite à vous mettre à vos aises, faites ce que vous voulez, détentez-vous ! Il y a une salle de muscu, une salle de massage et pour ce qui est de la nourriture et les boissons, tout est à volonté !»
Ça, par contre, ça devenait très intéressant, peut-être qu'un peu d'alcool, pour ne pas dire beaucoup, pourrait m’aider. Je décidais de prendre une pause pour regarder autour de moi, je n'y avais pas pensé avant. La salle était propre, on pouvait y voir une bibliothèque remplit de livre, un bureau en bois bien entretenu, une chaise cousiné ainsi que des vitres givrées, heureusement pour moi. Décidément, c'est un bureau ordinaire pour une entreprise hors de l'ordinaire. J'allais me remettre à ma lecture, mais on toquait à la porte avant qu'elle ne s’ouvrit.
Marie : Désolé de vous dérangez durant votre lecture, mais j'ai pensé qu'un verre d'eau pourrait vous aidez, dit-elle en s'approchant de moi.
Elle déposa le verre d'eau près de moi en laissant passer sa main vers ma joue droite et la ramener doucement vers mon épaule. Étonné de ce geste, mais surtout de la réaction qu'elle avait suscitée en moi, je la regardais. Elle me fixait dans les yeux avec un sourire avant de me souhaiter une bonne fin de lecture avant de quitter.
«N'oublie pas Lucas, ta vie et celle de plusieurs personnes sont en jeu.»
Je retournai la feuille, rien. C'était la dernière phrase de la page. Je me suis dirigé vers les autres feuilles, mais je n'y découvris pas un texte, mais des images de personne, leur nom, leur prénom, leur date de naissance, leur spécialisation et leur date de leur mort. La photo de Sébastien y figurait. Il avait 40 ans, je fis le calcul, cela faisait 25 ans qu'il faisait ce métier. J'ai remarqué aussi qu'il était réellement dans le domaine de la santé, du moins, pour l'Entreprise et non pour le gouvernement. Par la suite, je me suis questionné, pourrais-je prendre une retraite ? Quitter ce métier après cette mission ? Je ne veux pas faire cela de ma vie… D'ailleurs, on m'y a forcé avec de très bon argument.
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Note de l'auteur : Bonjour, j'espère que vous allez bien. Pour commencer, j'explique ma démarche. J'essaie d'écrire un chapitre par semaine, sachant que j'ai commencé à mettre ma fic' en ligne lorsque j'avais environ 10 chapitres, je garde une parfaite avance et je peux prendre en considération vos critiques. Malheureusement, la vie continue, mais je suis tombé malade et je n'ai pas vraiment la tête à l'écriture, j'essaierai d'écrire 2 chapitres cette semaine (Avec le syndrome de la page blanche, au passage).
Commentaires
- Pseudo supprimé
01/10/2012 à 17:34:49
Le sayks va venir, je vous introduis surtout dans l'histoire
Mais merci et je n'ai rien copié d'un autre site, même si l'histoire est peu original pour le moment - Deady25
01/10/2012 à 02:46:24
Il est ou le sayks?
à part ca c'est pas mal du tout, j,aime bien ton style d'écriture et le scénario pour L'instant ressemble à du quand même un peu connus(pas beaucoup de sens cette phrase non? ) Bref, tout cela pour dire que je need la sweet avant de poser une critique réel