Note de la fic :
Skins *pouembout*
Par : Citizen1245
Genre : Réaliste, Sentimental
Statut : Terminée
Chapitre 25 : Guillaume (partie 3)
Publié le 12/05/2012 à 10:29:31 par Citizen1245
*Pour se mettre dans l'ambiance *
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***
C'est la sortie des cours, 16h15, la rue devant le collège est bondée. Les cars passent et repassent, les 750 élèves non-internes rentrent chez eux à la même heure. C'est Idyl qui est venue chercher son fils et son neveux. Guillaume qui a été pour une fois un des premiers à sortir, est assis sur la banquette arrière, la portière est ouverte et ses pieds ressortent. Thibault arrive en courant.
Guillaume : "T'en as foutu du temps..."
Thibault : "Je me suis fait des potes, t'avais raison, Mélanie c'est une fille sympa. Mais toi, tu ne traînes pas avec les tiens ?"
Guillaume : "Nan, ils sont chiant aujourd'hui. Allez, bouges ton cul et monte dans la bagnole."
Thibault est un peu surpris de la réaction de Guillaume à son égard. Il rentre alors dans la voiture, met sa ceinture et pose son sac par terre. Guillaume ne le regarde même pas, il se sent victime d'une sorte d'injustice. Thibault ne comprend pas ce qui a pu ce passer en 1 journée.
À peine arrivé à la maison, Guillaume s'empresse d'aller dans sa chambre, fermant la porte assez rapidement juste derrière lui.
Thibault : "Y a un truc qui ne va pas chez lui ?"
Idyl : "C'est sans doute passager, ça devrait lui passer. Va donc regarder la télé."
Plus tard, vers 18h, Guillaume sort enfin de sa chambre et se dirige vers les toilettes. Mais Thibault est déjà dedans. Guillaume frappe du poing sur la portes.
Guillaume : "Bouges ton cul, j'ai une envie pressante."
Thibault : à l'intérieur des toilettes "Attends un peu, j'ai presque fini."
Thibault sort des toilettes.
Guillaume : "Tu fais chier, putain."
Thibault : "Mais, ta gueule !"
Guillaume : "Je t'emmerde."
Idyl a été témoin malgré elle de la scène. Elle pensait que Guillaume et Thibault s'entendrait bien.
Les jours passèrent et la situation ne s'améliorait pas. Guillaume ignorant Thibault, il le poussait quand ils marchaient au collège. Et la bande ne faisait rien, elle en était ravie. Guillaume retrouvait sa place de mec cool.
Mais pour Thibault, c'était pire, les traitement que lui inflige son cousin ont influencé les autres. Hors de son groupe de 6ème, il était aussi ignoré. Le soir après être rentré, ils se mettent chacun de leurs côté. Et ne se revoient qu'à table pour manger. Et même là, il y a des tensions.
Thibault : "Tu m'passes le sel, Guillaume ?"
Guillaume lui envoie le sel à la gueule. La salière se défait à l'impact sur le T-Shirt de Thibault.
Guillaume : "Oups."
Idyl : "Guillaume, s'était pas sympa. Excuses-toi." elle garde son calme.
Thibault : renvoie tout le sel qu'il a pu ramasser de ses mains à la gueule de Guillaume "On va voir si t'aimes ça, tronche de zgeg !"
Idyl : toujours en gardant son calme "Ne réponds pas à ses idioties, Thibault."
Guillaume : "Tu sais pas t'écraser quand il le faut, alors je vais t'apprendre, maintenant c'est le moment." Guillaume se lève et envoie de la purée qu'il y avait dans son assiette sur son cousin.
Thibault : lui envoie de sa purée "Je ne vais pas m'écraser face à un bouffon comme toi !"
Idyl : "Les garçons, je vous en prie, arrêtez !" elle commence à paniquer.
Guillaume : "Il a fallu que tu viennes ici ! C'est parce que t'avais pas d'amis chez qui rester !"
Thibault : "Crois-moi si j'avais eu le choix je serai allez chez un junky qui pue plutôt que d'être avec toi !"
Guillaume : "Au moins tu partages le look du junky !"
Les deux sont debout et commence à s'envoyer de la nourriture plutôt que des mots. Quand Jean-Jacques, le père de Guillaume, se lève brutalement et se met à crier.
Jean-Jacques : "Mais putain bande de petit con ! Vous allez arrêter ces conneries ! Vous dégagez de la table et allez vous nettoyer ! Et vous avez intérêt à faire la paix car je serai votre pire ennemi sinon ! Allez ! Dégagez !"
Les 2 se lèvent et courent pour être le premier à la salle de bain. Ils sont exæquo et rentrent tous les deux dans la salle de bain. Thibault est le premier à se laver le visage.
Guillaume : "Qu'est-ce que tu voulais dire par : "si t'avais eu le choix ?" ?"
Thibault : "C'est mon père, il a insisté pour que je vienne ici avec le tien. Il a vraiment beaucoup insisté."
Guillaume : "Tu trouves pas qu'ils mettent du temps à divorcer tes parents ? De plus, ils ne sont toujours pas venu, ni t'ont appelé pour savoir ce que tu pensais de telle ou telle chose."
Thibault : "C'est vrai qu'ils ne m'ont pas appelé... Mais ça ne devrait tarder."
Guillaume : "En espérant que t'ai raison..."
Une autre semaine passa, mais leur relation ne se détériora pas, ils se contentaient de ne plus se parler. Le reste allait. Idyl était enfin contente que leurs chamailleries se soient finies. Pour elle, rien n'est plus important que la famille. Et elle espère que Guillaume pensera de même un jour.
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C'est la sortie des cours, 16h15, la rue devant le collège est bondée. Les cars passent et repassent, les 750 élèves non-internes rentrent chez eux à la même heure. C'est Idyl qui est venue chercher son fils et son neveux. Guillaume qui a été pour une fois un des premiers à sortir, est assis sur la banquette arrière, la portière est ouverte et ses pieds ressortent. Thibault arrive en courant.
Guillaume : "T'en as foutu du temps..."
Thibault : "Je me suis fait des potes, t'avais raison, Mélanie c'est une fille sympa. Mais toi, tu ne traînes pas avec les tiens ?"
Guillaume : "Nan, ils sont chiant aujourd'hui. Allez, bouges ton cul et monte dans la bagnole."
Thibault est un peu surpris de la réaction de Guillaume à son égard. Il rentre alors dans la voiture, met sa ceinture et pose son sac par terre. Guillaume ne le regarde même pas, il se sent victime d'une sorte d'injustice. Thibault ne comprend pas ce qui a pu ce passer en 1 journée.
À peine arrivé à la maison, Guillaume s'empresse d'aller dans sa chambre, fermant la porte assez rapidement juste derrière lui.
Thibault : "Y a un truc qui ne va pas chez lui ?"
Idyl : "C'est sans doute passager, ça devrait lui passer. Va donc regarder la télé."
Plus tard, vers 18h, Guillaume sort enfin de sa chambre et se dirige vers les toilettes. Mais Thibault est déjà dedans. Guillaume frappe du poing sur la portes.
Guillaume : "Bouges ton cul, j'ai une envie pressante."
Thibault : à l'intérieur des toilettes "Attends un peu, j'ai presque fini."
Thibault sort des toilettes.
Guillaume : "Tu fais chier, putain."
Thibault : "Mais, ta gueule !"
Guillaume : "Je t'emmerde."
Idyl a été témoin malgré elle de la scène. Elle pensait que Guillaume et Thibault s'entendrait bien.
Les jours passèrent et la situation ne s'améliorait pas. Guillaume ignorant Thibault, il le poussait quand ils marchaient au collège. Et la bande ne faisait rien, elle en était ravie. Guillaume retrouvait sa place de mec cool.
Mais pour Thibault, c'était pire, les traitement que lui inflige son cousin ont influencé les autres. Hors de son groupe de 6ème, il était aussi ignoré. Le soir après être rentré, ils se mettent chacun de leurs côté. Et ne se revoient qu'à table pour manger. Et même là, il y a des tensions.
Thibault : "Tu m'passes le sel, Guillaume ?"
Guillaume lui envoie le sel à la gueule. La salière se défait à l'impact sur le T-Shirt de Thibault.
Guillaume : "Oups."
Idyl : "Guillaume, s'était pas sympa. Excuses-toi." elle garde son calme.
Thibault : renvoie tout le sel qu'il a pu ramasser de ses mains à la gueule de Guillaume "On va voir si t'aimes ça, tronche de zgeg !"
Idyl : toujours en gardant son calme "Ne réponds pas à ses idioties, Thibault."
Guillaume : "Tu sais pas t'écraser quand il le faut, alors je vais t'apprendre, maintenant c'est le moment." Guillaume se lève et envoie de la purée qu'il y avait dans son assiette sur son cousin.
Thibault : lui envoie de sa purée "Je ne vais pas m'écraser face à un bouffon comme toi !"
Idyl : "Les garçons, je vous en prie, arrêtez !" elle commence à paniquer.
Guillaume : "Il a fallu que tu viennes ici ! C'est parce que t'avais pas d'amis chez qui rester !"
Thibault : "Crois-moi si j'avais eu le choix je serai allez chez un junky qui pue plutôt que d'être avec toi !"
Guillaume : "Au moins tu partages le look du junky !"
Les deux sont debout et commence à s'envoyer de la nourriture plutôt que des mots. Quand Jean-Jacques, le père de Guillaume, se lève brutalement et se met à crier.
Jean-Jacques : "Mais putain bande de petit con ! Vous allez arrêter ces conneries ! Vous dégagez de la table et allez vous nettoyer ! Et vous avez intérêt à faire la paix car je serai votre pire ennemi sinon ! Allez ! Dégagez !"
Les 2 se lèvent et courent pour être le premier à la salle de bain. Ils sont exæquo et rentrent tous les deux dans la salle de bain. Thibault est le premier à se laver le visage.
Guillaume : "Qu'est-ce que tu voulais dire par : "si t'avais eu le choix ?" ?"
Thibault : "C'est mon père, il a insisté pour que je vienne ici avec le tien. Il a vraiment beaucoup insisté."
Guillaume : "Tu trouves pas qu'ils mettent du temps à divorcer tes parents ? De plus, ils ne sont toujours pas venu, ni t'ont appelé pour savoir ce que tu pensais de telle ou telle chose."
Thibault : "C'est vrai qu'ils ne m'ont pas appelé... Mais ça ne devrait tarder."
Guillaume : "En espérant que t'ai raison..."
Une autre semaine passa, mais leur relation ne se détériora pas, ils se contentaient de ne plus se parler. Le reste allait. Idyl était enfin contente que leurs chamailleries se soient finies. Pour elle, rien n'est plus important que la famille. Et elle espère que Guillaume pensera de même un jour.